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societé - Page 238

  • Poème

    Une lumière luit… à l’horizon :

    Par une nuit noire, un certain François Hollande, fût ébloui par une étoile lumineuse sur le chemin de Damas, et un miracle faillit se produire : comment retrouver le doux Jésus… Après une formation technocratique au Colbertisme, une carrière dans la pénombre rue de Solférino à consolider une partition à jouer mais avec des musiciens non mélomanes et plutôt chahuteurs, indisciplinés, arrivé presque par hasard au trône suprême par un élan amoureux sanctionné de son leader, et, après vingt mois de béatitude au sommet de l’État, voici qu’un éclair soudain, l’oriente dans une direction opposée…

    Oui mais, en fin normand mâtiné de corrézien, à ses dires, il ne faut pas se fier outre-mesure, car au langage des sots, comme maitre Corbeau sut si bien en profiter, il ne lâchera pas le fromage tout en laissant croire monts et merveilles, le déni de réalité étant si ancré en lui, et son désir de ne point lasser ses fervents supporters, il déclare tout benoîtement que le chariot de l’État est bien trop lourd et pesant. Croyez-vous qu’il proposa une solution pour donner de l’air à ce moyen de transport embourbé, nenni, tout un chacun eusse crû qu’une part du fardeau fusse enlevé des épaules de cet Hercule, encore non, rappelez-vous, il fait nuit noire, à chacun de trouver ses petits, ses espoirs, ses illusions…

    Nous voici donc en fâcheuse posture avec un maître d’attelage vociférant, agitant un fouet à l’intention des entreprises qui ne sont pas ( à son goût) assez flatteuses et productrices pour nourrir les cohortes technocratiques… ces élites voraces…

    Comment, ces gens que l’on a taxé, subtilisé les bénéfices avant même qu’ils ne soient produits, qui s’évertuent dans un maquis administratif peuplé de chausses-trappes et poursuivis par des questeurs féroces, donc ces gens ont des hésitations à lécher les chausses du maître…

    Qu’il soit dit qu’on leur fera rendre gorge, foi de Cégétistes en pneumatiques assurés… Voyez-vous mes amis, les fables ont toujours une morale, bien que cette dernière soit bannie dans le royaume de ce maitre d’attelage, Ah cher La fontaine et Ésope, que vos écrits ont été déformés à des vils fins….

    ……………***par Cagouille.Le 9.1.2014- blog :  »Saintongeais.wordpress.com »’…

  • Hé??? qu'est-tu dis????

    Il avait un cafard de 2 cm à l’origine de son terrible mal d’oreille

    Un Australien vient de vivre une drôle de mésaventure… qui se termine bien pour lui. Réveillé par une forte douleur dans une de ses oreilles, il a aussitôt compris qu’une petite bête s’y était faufilée mais qu’elle n’était plus encline à en sortir. Après plusieurs tentatives, l’insecte a finalement été tué : il s’agissait d’un cafard de 2 cm.

    Hendrik Helmer se rappellera sûrement longtemps de cette expérience qui en dégoûteraient plus d’un.

    Comme le confie ABC, cet Australien habitant la banlieue de Darwin a été réveillé mercredi vers 2 h 30 du matin à cause d’une douleur dans l’oreille droite. Aussitôt, il comprend qu’une petite bête s’est installée dans son conduit auditif.

    Bien que supportable dans un premier temps, la situation a commencé à empirer. L’homme, inquiet et effrayé à l’idée d’avoir une araignée mortelle qui pourrait le piquer, a tenté de déloger l’intrus par ses propres moyens, d’abord avec un aspirateur, puis en mettant de l’eau dans son oreille. Mauvaise idée : ces initiatives ont mis en colère l’hôte indésirable.

    Hendrik Helmer décide alors d’aller à l’hôpital local. Les médecins le prennent aussitôt en charge et lui versent de l’huile d’olive dans le conduit auditif. La petite bête s’enfonce alors plus profondément encore. Mais au bout de 10 minutes, son activité se réduit fortement, et elle finit par mourir. Alors, l’intrus est retiré à l’aide d’une pince.

    À la surprise générale, il s’agissait d’un cafard… long de 2 cm. Une taille bien plus imposante que ce que le personnel médical envisageait, car jamais il n’avait eu affaire à un insecte aussi gros.

    La douloureuse expérience n’a cependant pas l’air de pousser le malheureux Australien à revoir ses habitudes. L’homme n’a pas prévu d’entreprendre une éradication des cafards, ne se sentant pas envahi. Il a déclaré ne pas prendre de précautions particulières à l’avenir pour se prémunir d’une récidive d’un autre blatoptère un peu trop aventureux.

  • Si ma tante en avait...

    Programme ABCD de l’égalité : la porte ouverte sur la théorie du genre à l’école

    C’est LA grande mesure de la rentrée pour Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des droits des femmes. Le programme « ABCD » de l’égalité sera mené à titre expérimental dans les établissements scolaires de dix académies volontaires : « Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse. Une généralisation est prévue en septembre 2014, après évaluation des premiers résultats" [1]

    Mené conjointement par le ministère de l’Education nationale, le ministère des Droits des femmes et le Centre National de Documentation Pédagogique (CNDP), ce dispositif a pour objectif « d’agir dès l’école primaire pour lutter contre la formation de ces inégalités [de traitement, de réussite scolaire, d’orientation et de carrière professionnelle entre filles et garçons] dès le plus jeune âge, en agissant sur les représentations des élèves et les pratiques des acteurs de l’éducation  » [2]

     

    D’ores et déjà, on peut noter que ce programme tend à se baser sur des hypothèses datées. A titre d’exemple, le guide pédagogique « Clichés en tous genres » adressé aux équipes pédagogiques de l’Académie de Clermont-Ferrand, part du postulat que « si les jeunes filles réussissent davantage à l’école, elles se dirigent souvent vers les filières les moins porteuses d’emploi » [3]. Pourtant, selon l’INSEE, 61,2% des étudiants inscrits en médecine à l’université sont des femmes, et elles représentent 64.7% des effectifs de la filière droit et sciences politiques [4]. Comme le montre l’enquête du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ces filières sont parmi les plus porteuses puisque le taux d’insertion après un master juridique est de 92% et de 95% après des études de médecine [5]. L’idée selon laquelle les femmes seraient sous-représentées dans ces filières était donc sans doute vraie il y a encore quelques années mais n’est plus une hypothèse valide aujourd’hui.

     
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    "Ma mère est une femme à barbe", ce que vos enfants vont devoir lire à l’école

     Par ailleurs, le programme ABCD de l’égalité semble viser des objectifs de lutte contre des stéréotypes en réalité fantasmés. Ainsi, dans les outils pédagogiques proposés sur le site du programme trouve-t-on notamment le document « les ptits égaux » [6]qui propose aux enseignants différentes activités pour « Faire expérimenter aux jeunes le plaisir de décorer selon leurs fantaisies, indépendamment des stéréotypes sexués pouvant être associés à la naissance d’un enfant ». Jusqu’ici, rien d’alarmant, quoi que l’on puisse s’interroger sur la nécessité réelle d’un tel exercice. Les enfants sont donc invités à colorier une chambre d’enfant, et l’enseignant à choisir « quelques dessins (de préférence ceux qui comportent des éléments non traditionnels pour décorer une chambre de nouveau-né fille)  » et « Expliquez aux enfants que les filles et les garçons peuvent aimer de la même manière les poupées, les voitures ou les jeux de construction et qu’ils ont le droit d’exprimer ces préférences. De même, l’utilisation des couleurs rose et bleu permet aux gens de reconnaître facilement le sexe d’un enfant. C’est comme une entente prise par les gens d’un même groupe. Cela aurait pu être différent (comme jaune pour les garçons et vert pour les filles). Certains parents utilisent cette convention du rose et du bleu, d’autres non (caractère arbitraire et culturel d’une convention sociale)" [7]. Or, il est ridicule de croire et/ou de prétendre qu’aujourd’hui encore un garçon de maternelle se voit interdit de colorier son dessin avec du rose, ou qu’une petite fille soit menacée de punition si elle a le malheur de jouer au camion de pompiers… Y a-t-il réellement besoin de dépenser l’argent du contribuable dans une formation onéreuse pour que les professeurs des écoles puissent « apprendre » à des enfants ce qu’ils font déjà naturellement ? L’entreprise est plus que douteuse. 

    Et c’est bien là que le bât blesse. Si personne ne conteste la nécessité d’une égalité de traitement entre filles et garçons – que ce soit en termes d’orientation, de salaire ou de carrière – est-ce vraiment la mission prioritaire de l’école que d’apprendre aux élèves « qu’une fille peut être chirurgien et un garçon professeur des écoles » ? Cela est plus que contestable à l’heure où 32% des garçons en fin de troisième ne maîtrisent pas les compétences de base en français (contre 17.7% des filles) [8].On songe effectivement que le premier rôle de l’institution scolaire est l’apprentissage des savoirs fondamentaux que sont la lecture, l’écriture et le calcul. Or, aujourd’hui 10h hebdomadaires consacrées au français en CP-CE1 et seulement 8h en CM1 CM2 [9] (voir notre article sur les priorités à donner à l’école). Les activités prévues par le programme ABCD tendent donc à empiéter sur le renforcement des savoirs fondamentaux, sans doute au détriment des compétences de bases nécessaires aux élèves pour leur réussite scolaire et professionnelle future.

     Au-delà d’une erreur en termes de priorité, ce programme ABCD de l’égalité, s’il ne constitue pas en lui-même une application radicale de la théorie du genre, ouvre cependant à cette idéologie une porte au sein de l’école. En effet, nous n’en sommes pas encore ici à une remise en cause radicale de l’identité sexuelle prônant l’autodétermination du genre (on ne naît pas femme ou homme mais on choisit selon son désir ou ses sentiments).Cependant, la bibliographie sur laquelle s’appuie le programme [10] avec des titres comme « Ma mère est une femme à barbe », « Tous à poil ! » ou encore « Le petit garçon qui aimait le rose » montre clairement la volonté du gouvernement de franchir la première étape nécessaire à l’application de la théorie du genre : il s’agit de faire passer l’idée que rien n’est naturel, qu’il n’y a pas de norme, que tout est une question de choix finalement. Quant aux activités prévues pour les élèves mais également dans la formation transmise aux enseignants, l’idée au centre est que la fille est nécessairement « victime du système » - et la lutte des sexes est au fondement de l’idéologie du genre - et qu’il faut nécessairement agir car « l’apprentissage de l’égalité entre les genres dès le plus jeune âge est une nécessité pour que les stéréotypes s’estompent et d’autres modèles de comportement se construisent. » [11]

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    "Le petit garçon qui aimait le rose", exemple d’un stéréotype fantasmé par le gouvernement

    Il s’agit donc pour les parents d’élèves et éducateurs avertis d’être vigilants sur les livres et activités proposés aux enfants.

    [1] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/a-propos.html

     

     [2] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/a-propos.html

     

     [3] ONISEP, Filles et Garçons, Clichés en tous genres, guide à l’usage de l’équipe éducative, Académie de Clermont-Ferrand, Ministère de l’Education nationale, de la jeunesse et de la vie associative

     

     [4] http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=T10F102

     

    [5] http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/enquete_2012_(master_2009)/64/0/Resultats_nationaux2009_232640.pdf

    [6] http://www.ac-besancon.fr/IMG/pdf/les_ptits_egaux_repertoire_enseignant-e-s.pdf

    [7] Ibid. 

    [8] http://cache.media.education.gouv.fr/file/etat22/93/2/DEPP-EE-2012-maitrise-competences-base_229932.pdf

     [9] Alors même que les dépenses d’éducation ont plus que doublé entre 1985 et 2002, http://www.ibe.unesco.org/International/ICE47/English/Natreps/reports/france.pdf

    [10] Qui s’appelle d’ailleurs « Bousculer les stéréotypes »

     [11] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/ressources-documentaires.html

    Read more at http://www.theoriedugenre.fr/?Programme-ABCD-de-l-egalite-la#MTJTPmCQD8E3bC3H.99

  • Petites histoires extraordinaires

    États-Unis : à froid extrême, petites histoires extraordinaires

    Pour voir les vidéos, URL en fin de note

    VIDÉOS - La vague de froid qui frappe le nord de l'Amérique depuis une semaine n'a pas apporté que des flocons et du verglas. Avec elle, son lot d'histoires insolites.

    L'ours polaire de Chicago ne supportait pas le froid

    À Chicago, où les grands lacs ont gelé, l'ours blanc du zoo municipal a dû regagner son abri. Anana, l'ours polaire du Lincoln Park Zoo a renoncé à «ses plongées fréquentes dans la piscine extérieure» de son enclos, comme le signalent les responsables du parc, pour rentrer se mettre au chaud. Même ce grand prédateur des régions arctiques reste habitué à des températures plus clémentes. Mardi, sur les rives du lac Michigan, le mercure avoisinait les -37°c. De la glace, sans glace

    Un froid extrême peut présenter des avantages inattendus. Mardi, New-York battait un record de température , les thermomètres affichant -15,5°c dans Central Park. Pour trouver un relevé comparable, il faudrait remonter à 1896. Le chef Jansen Chan, enseignant au prestigieux Centre culinaire international (ICC), peut désormais réaliser en quelques minutes, en pleine rue, des glaces au chocolat, sans avoir à se servir d'un réfrigérateur. Une recette inédite, et qui semble du goût des passants.

    Un fugitif se rend parce qu'il a trop froid

    Le froid a aussi rendu service aux forces de l'ordre du Kentucky. Robert Vick purgeait au centre carcéral de Lexington une peine de onze ans pour vol et recel de contrefaçons, avant de s'évader dimanche. Mais le malfaiteur, âgé de 42 ans, aura jugé qu'une cellule de prison valait mieux que les bourrasques glacées qui balayent l'État. Alors que la température tombait à -20°c, Robert Vick, s'est rendu lundi dans un motel pour contacter la justice et indiquer qu'il se rendait, le froid ayant eu raison de sa cavale, comme le rapporte CBS. Après un examen médical, il a pu regagner sa prison chauffée.

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/01/08/01003-20140108ARTFIG00466-etats-unis-a-froid-extreme-petites-histoires-extraordinaires.php

  • D'étranges lumières lors des tremblements de terre

    D'étranges lumières lors des tremblements de terre

    Des chercheurs canadiens et américains ont identifié dans quelles conditions particulières des luminosités atmosphériques pouvaient être produites par des séismes.

    Longtemps considérées comme des légendes ou des hallucinations visuelles, les manifestations lumineuses qui accompagnent certains tremblements de terre sont des phénomènes très crédibles, expliquent des géologues canadiens et américains dansSeismological Research Letters. Les chercheurs ont recensé les 65 témoignages les plus sérieux de ces phénomènes rares et se sont aperçus qu'ils se produisaient le plus souvent au-dessus de failles verticales, en plein continent, loin des failles de subduction où une plaque tectonique glisse sous une autre.

    Des bandes et colonnes lumineuses sortant du sol

    Les lumières peuvent être émises avant, pendant et après les séismes,et elles prennent des formes assez variées. «On identifie 4 grandes familles de luminosités sismiques», raconte Robert Thériault, géologue au Ministère des ressources naturelles du Québec et premier auteur de l'étude. «La première ce sont des sphères lumineuses, qui sont soit statiques soit en mouvement dans le ciel, la deuxième rassemble des luminosités atmosphériques, des flashs rapides et brefs, et aussi des illuminations visibles sur plusieurs kilomètres. La troisième forme ressemble à des sortes de flammes qui sortent de terre, mais ce ne sont pas des combustions car elles n'émettent pas de chaleur. Enfin, en dernier, il existe aussi des bandes ou des colonnes lumineuses qui sortent du sol.»

    L‘origine de toutes ces luminosités sismiques est encore loin d'être identifiée, mais l'hypothèse la plus sérieuse semble d'origine électrique. La libération brutale de charges électriques provoquées par des glissements de roches cristallines remontent en surface et ionisent l'air ambiant, un peu à la manière d'une lampe fluorescente. «Ce type de phénomène a été imaginé et vérifié en laboratoire, à une échelle réduite, par l'un des co-auteurs de l'étude, Friedemann Freund, du centre Ames de la Nasa en Californie,» précise Robert Thériault.

    Des vies sauvées à l'Aquila en 2009

    Le fait que les lumières associées aux séismes se produisent dans 97% des cas au dessus de failles presques verticales dans la croûte continentale s'expliquerait alors par le fait qu'elles offriraient le chemin le plus direct pour permettre aux charges électriques de remonter à la surface. «Les failles de subduction, comme celle au large du Japon, se trouvent pour leur part au large, sous des centaines de mètres d'océan, qui empêcheraient de toute façon les charges électriques d'atteindre la surface,» remarque Robert Thériault.

    Le chercheur québecois espère que ce type de phénomène, qui reste rare, et serait associé à moins de 10% des séismes dans le monde, fera à l'avenir l'objet de plus nombreuses recherches scientifiques. La connaissance de ce type de luminosité inhabituelle a en tout cas sauvé la vie d'un Italien habitant de l'Aquila, raconte Robert Thériault. En 2009, en voyant ce type de flamèches jaillir du sol dans les rues de la ville depuis les fenêtres de sa maison, il a tout de suite réagit en sortant et mettant sa famille à l'abri, deux heures avant la secousse majeure qui rasa la presque totalité de l'ancienne cité.


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    Des boules lumineuses ont été visibles lors d'un séisme près du lac Tagish à la frontière entre le Yukon et l'Alaska au début des années 1970. Elles faisaient environ 1m de diamètre. Les plus éloignées sont indiquées par des flèches. Crédits photo : Jim Conacher

  • Comme dab', les toulousains sont les meilleurs! :-)

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    La voiture volante d'un Toulousain est sur le point de décoller

    L'aéronef de l'avenir ressemble plusà un avion biplace qu'à la Zorglub Mobile ou à l'auto de "Retour vers le Futur"

    Un ingénieur toulousain prévoit de commercialiser une voiture volante avant la fin de la décennie. Motivé comme jamais, Michel Aguilar espère révolutionner la circulation de demain.

    La frontière entre l’imaginaire et la réalité est parfois infime. Depuis 2007, un ingénieur toulousain s’est lancé dans le pari fou de créer la première voiture volante. Grâce aux compétences acquises dans sa carrière, il peut concrétiser son rêve d’enfant.

    "Lorsque j’étais gamin j’étais abonné à Spirou et Fantasio. Très vite j’ai été captivé par la voiture du professeur Zorglub, la Zorglub Mobile, prototype de voiture volante", confie, un brin nostalgique cet ancien ingénieur du centre DGA Techniques Aéronautiques désormais à la tête de Xplorair. À la lecture de ces lignes, "la génération 80" fera certainement le parallèle avec les modèles aperçus dans la trilogie "Retour vers le futur", chef-d’œuvre cinématographique des années quatre-vingts. S’il avoue s’en être inspiré, il ne faut pas se tromper. L’aéronef du futur ressemble plus à un avion biplace qu’à ces voitures volantes qui carburaient aux déchets en tout genre. "L’aéronef s’apparente plus à un avion. Mais j’avoue que certains films m’ont inspiré.

    Un projet validé par le CNRS

    Du coup, on essaie de le faire marcher avec du méthane ou du carburant bio. Il est évident qu’il faut prendre en compte les éléments environnementaux", estime de nouveau celui qui vient tout juste de souffler ses soixante-quatre bougies.

    "À la fin de l’année 2013, le thermo-réacteur a été validé par un grand laboratoire du CNRS et un grand motoriste français", précise Michel Aguilar. Si le projet paraît incroyable, il n’en demeure pas moins réaliste. En effet cet ancien pensionnaire de la DGA a tout prévu : "Je peux déjà vous dire que ce biplace ne volera pas au-delà de 3 000 mètres d’altitude. Au sujet de l’environnement, même si je ne m’en occupe pas, je pense qu’il est possible d’imaginer une station de ravitaillement volante. Cette dernière pourrait tenir en impesanteur avec des ballons", imagine une nouvelle fois ce visionnaire. Pour lui, le fonctionnement de ce véhicule volant est simple. "Il décolle à la verticale et peut aller jusqu’à deux cents kilomètres/heure", s’enthousiasme-t-il, avant de conclure : "Concernant les pannes de carburant, elles sont interdites puisque l’on est prévenu bien avant. En plus, l’Aéronef peut se poser n’importe où. Si on arrive à le commercialiser, ce sera une grande avancée" !

    Le chiffre : 2017

    Démonstration > Salon du Bourget. Xplorair ne se laisse que trois petites années avant de faire une démonstration au salon du Bourget. Le prix de ce drone pour particulier devrait s’échelonner entre 50 000 et 100 000 €

    La Chine en Pole

    En dehors de la machine elle-même, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Notamment celui de l’aménagement des routes, secteur qui engendrera beaucoup de travaux. "Pour le moment les Européens ne sont pas trop partants. En effet, ici les infrastructures sont trop avancées et ont demandé trop d’investissements pour les abandonner", confie le directeur de Xplorair. Pour cette raison, il compte se tourner vers des pays plus aptes à faire évoluer leurs voies de communication. "La Chine est intéressée. Ils ont compris l’intérêt de réduire les coûts d’infrastructures. Ils sont plus malins. Je dois avouer que ce sont eux qui me suivent le plus", conclut-il.


  • Après l'ouragan, il trouve un ticket gagnant d'un million

     

    Un jeune jardinier qui avait trouvé un ticket de loterie en novembre 2012, après l'ouragan Sandy, vient de récupérer 1 millions de dollar de gain.

    "Qui ne tente rien, n'a rien". Marvin Rosales-Martinez est en train de faire mentir le proverbe. Lui n'a pas eu à jouer pour empocher le million de dollars de la loterie.

    Ce jardinier new yorkais est au travail, après le passage de l'ouragan Sandy, en train de ramasser les feuilles mortes. Il tombe alors sur un ticket de loterie à gratter. " Mon collègue était en train de souffler les feuilles tandis que je les ramassais lorsque j’ai vu un ticket apparaître entre les feuilles humides. Je ne sais toujours pas pourquoi je l’ai ramassé ", raconte-t-il au New York Post.

    C'est un ticket complètement mouillé qu'il décide de ramener chez lui. Une fois séché, il gratte le ticket et découvre qu'il est l'heureux gagnant d'un million de dollars.

    Enquête de plus d'un an

    Face à son récit, la loterie, dubitative, a vérifié la version du jeune homme. Après un an d'enquête, il s'est enfin vu attribuer les gains par l'institution, soit 779 106 dollars après le paiement des taxes.

    Lui et sa femme, qui habitent toujours avec sa mère une maison de Hicksville, ravagée par l'ouragan, vont pouvoir investir dans un nouveau toit. Il aidera également sa mère à enfin réparer son lieu de vie.

    Attention, pas question de flamber pour Marvin, qui entend "continuer à travailler six jours sur sept", peut-être en "changeant de job et en devenant conducteur de camion". En tout cas, il tient à "garder une vie normale".

  • Elle tombe enceinte après une fellation

     

    L'histoire est parue pour la première fois dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology. La revue Sciences et Avenir remet ce fait étonnant en lumière: une jeune femme sans vagin âgée de 15 ans est tombée enceinte après une fellation.

    L'histoire, qui se déroule en 1988, se passe en Afrique. La jeune femme, impliquée dans une rixe entre son ex-petit ami et son actuel, a été blessée à la partie supérieure de l'abdomen. Les coups de couteau reçus lui ont troué l'estomac. Elle est opérée rapidement.

    Neuf mois plus tard, cette jeune femme souffrant d'aplasie vaginale distale, soit d'une absence quasi-totale de vagin, celui-ci ne s'étant pas développé, se représente à l'hôpital. Elle souffre de fortes douleurs abdominales et accouche, à la surprise générale, d'un petit garçon de 2,8 kilos dans les heures suivantes.

    Après étude approfondie de la question, il s'avère que la jeune femme avait fait une fellation à son petit ami le jour de la bagarre. C'est justement ça qui l'avait provoquée. Le sperme contenu dans l'estomac est passé dans la cavité abdominale suite aux blessures et a gagné un des deux ovaires. La revue Sciences et Avenir précise: "Les spermatozoïdes ne peuvent survivre dans un environnement à faible pH, mais la salive a un pH élevé et l'estomac, vide, de la patiente n'avait pas un pH acide. Tout ceci a pu contribuer à la survie des gamètes mâles."

    Le médecin qui rapportait cette histoire en 1988 indiquait alors, deux ans et demi après la naissance du bébé que sa ressemblance avec le père excluait une conception "encore plus miraculeuse".