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Il s’injecte de l’huile d’olive dans le pénis et doit se le faire amputer
Un Thaïlandais de 50 ans, qui s’était fait injecter de l’huile d’olive dans le pénis pour en augmenter la taille, a dû subir une ablation des organes génitaux, rapporte Le Matin ce vendredi. Les injections remontaient à il y a cinq ans, mais l’homme avait dû consulter, il y a trois semaines, après qu’une infection se soit déclarée.
C’est là qu’un cancer a été diagnostiqué. Chaque mois, environ 30 à 40 patients viennent ainsi consulter et deux ou trois doivent être traités. Cette pratique d’injections d’huile d’olive, mais aussi de cire d’abeille ou de silicone, semble relativement répandue en Thaïlande.
Ces étranges bactéries qui colonisent les nombrils
Des chercheurs américains se sont lancés dans le projet d'étudier les bactéries qui colonisent les nombrils humains.
Le nombril n'est plus une terre inconnue pour la science. Des chercheurs de l'université de Caroline du Nord ont décidé de répertorier toutes les espèces bactériennes qu'il peut héberger. La pêche s'annonce plutôt bonne: 2368 espèces différentes ont été repérées dans les échantillons prélevés avec des cotons tiges sur seulement soixante personnes. "C'est déjà deux fois plus que le nombre d'espèces d'oiseaux ou de fourmis en Amérique du Nord", notent les auteurs de l'étude publiée en ligne dans la revue Plos One.
Parmi toutes ces espèces, beaucoup ne peuvent être cultivées en laboratoire. Elles sont identifiées en tant qu'espèces à partir de leurs séquences génétiques. Ils se sont lancés dans le séquençage du génome du nombril, avec beaucoup moins de moyens (et d'ambition) que ce que d'autres équipes dans le monde ont fait pour l'intestin ou la peau.
Les chercheurs sont déjà en mesure d'affirmer que la grande majorité des bactéries ombilicales sont rares et se rencontrent chez un petit nombre d'individus. Sur les 2368 identifiées, plus de 2100 sont présentes dans moins de 10 % des échantillons et souvent sur un seul d'entre eux.
Culture de Bacillus subtilis trouvé dans un nombril, un type de bactérie qui protège la peau contre d'autres microbes.
Une grande diversité écologique
Seules huit espèces sont présentes chez 70 % des individus. Ce sont des bactéries de la peau bien connues comme les staphylocoques, les actinomycètes et les clostridiales. Elles sont très abondantes puisqu'elles représentent près de 40 % de la totalité des micro-organismes. Elles constituent les "oligarques" de l'écosystème ombilical selon l'expression utilisée par les spécialistes des forêts tropicales.
La diversité écologique des nombrils est très inégale. Cela va de la plaine de la Beauce avec 29 espèces pour un seul nombril, à la forêt amazonienne avec une centaine. La majorité tourne autour de 67.
L‘équipe de Robert Dunn a eu la surprise de trouver trois archéobactéries (on dit maintenant des archées) dans l'échantillon prélevés sur un homme qui ne s'était pas lavé le nombril depuis plusieurs années. "Ce type de personnes sont sans doute plus représentatives de l'état où se trouvait le corps humain avant que le bain devienne une habitude", souligne Robert Dunn sur le blog de la revue. De même ils ont trouvé chez un des chercheurs une bactérie du sol assez rare, présente seulement au Japon.
Le projet de séquençage du génome du nombril lancé par le laboratoire de Caroline du Nord est né au cours d'une réunion destinée à intéresser le public à la science. De fil en aiguille, il a pris de l'ampleur. Plus de 2000 échantillons ont été analysés à ce jour. Un site internet a été créé. Les chercheurs espèrent comprendre un jour pourquoi il existe une telle diversité bactérienne dans les nombrils mais il est trop tôt pour savoir s'il y aura des retombées ou pas. On sait que les bactéries de la peau jouent un rôle important dans la défense contre les pathogènes mais on ne sait rien sur le nombril. "Ce type de travail fait plus pour faire connaître la science que la vulgarisation classique. C'est fascinant", estime Michael DuBow
Des dizaines de témoins affirment avoir aperçu un très gros félin dans la vallée de l'Asse. L'Office national de la chasse et de la faune sauvage mène l'enquête.
De grands yeux dorés, des oreilles pointues et une démarche chaloupée. Depuis juin, les habitants de la vallée de l'Asse, dans les Alpes-de-Haute-Provence, affirment qu'une panthère noire rôde dans la région. En plusieurs mois, l'animal a été aperçu en train de laper l'eau d'une piscine, de bondir pour traverser une route ou encore de dormir dans un buisson.
Pas de panique, répondent les autorités. "Nous étudions toutes les hypothèses, celle du gros chat comme celle de la panthère noire", explique la préfecture au Figaro. Des dizaines de témoignages ont été recensés, photos et vidéos à l'appui. Des empreintes de 10 cm de diamètre ont aussi été relevées sur les hauteurs du village d'Oraison. Pour un spécialiste du monde animal interviewé par La Provence , "ces empreintes sont bien la trace d'un grand félin". Une enquête a été confiée à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) qui a installé un piège à proximité d'un village où la bête a été vue.
"J'aimerais tellement la revoir"
Les chasseurs se sont engagés à ne pas lui tirer dessus. Il n'est pas question pour la préfecture de chercher à abattre l'animal, plus dangereux pour les lapins et les poules que pour les hommes. Les riverains ne manifestent pour l'instant aucune inquiétude et semblent plutôt être tombés sous le charme du félin. "Elle est magnifique", a confié une riveraine qui jure avoir vu la panthère à La Provence .
"J'aimerais tellement la revoir", renchérit Patrick Demol auprès du Figaro. Ce chauffeur routier affirme avoir aperçu la bête au mois d'octobre. "Ce n'est pas un gros chat sauvage, j'en suis sûr. Je l'ai vue sur une petite route de campagne. Je conduisais, j'ai dû lui faire peur avec le bruit de la remorque, elle a bondi se cacher dans les bois à côté. Elle était très belle", raconte-t-il. "Elle a des yeux dorés et verts, des oreilles pointues et aucune agressivité", indique un autre témoin à La Provence , qui a tenté de filmer la panthère présumée. Ces images ne permettent pas, hélas, de distinguer à quelle espèce appartient l'animal.
Reste à savoir comment un tel félin aurait pu atterrir dans les Alpes-de-Haute-Provence. De nombreuses rumeurs courent dans la vallée: un légionnaire l'aurait nourri au biberon, un cirque l'aurait égaré... Pour la préfecture, ici encore, "aucune hypothèse n'est écartée".
L’homme a été rapidement interpellé et expulsé du site. Mais les responsables du monument se sont aperçus ensuite de la disparition de clés donnant accès au pont à bascule du château, qui domine la Tamise, au restaurant et à des salles de réunion, selon l’association des Palais royaux historiques, en charge de l’édifice.
Les joyaux de la couronne, qui incluent notamment des couronnes et des sceptres d’une immense valeur utilisés par la reine Elizabeth II lors de certaines cérémonies officielles, sont restés en sécurité, a toutefois précisé une porte-parole, l’intrus n’ayant pas eu accès à la Tour elle-même où ils sont exposés.
"Nous avons mené une enquête interne qui a conclu que notre système était très sûr", a-t-elle indiqué. "Toutefois, dans ce cas précis, les procédures n’ont pas été respectées comme elles le devaient", a-t-elle ajouté, précisant qu’une procédure disciplinaire était en cours.
La Tour de Londres est une forteresse historique datant du 11e siècle, bâtie sur la rive nord de la Tamise.
Un éléphant d’un zoo sud-coréen a appris à imiter le langage humain et maîtrise plusieurs mots, ont annoncé vendredi des chercheurs.
Koshik, un éléphant d’Asie de 22 ans du zoo Everland à Yongin, au sud de Séoul, accueille ses visiteurs en balbutiant " choah " (bien) et " nuo " (couché). Il peut également prononcer, de façon approchante, " annyong " (salut), " anja " (assis) et " aniya " (non), assurent les scientifiques sud-coréens et européens qui ont étudié ses vocalisations.
Les éléphants sont incapables d’utiliser leurs lèvres pour émettre des sons comme les humains, leurs lèvres supérieures étant " soudées " à leur nez pour constituer la trompe. Mais Koshik forme les mots en enroulant sa trompe et en la plongeant dans sa bouche. Il place alors le bout de sa trompe sur sa langue ou son palais pour créer divers sons.
Copier son soigneur
Les chercheurs ignorent la façon dont l’éléphant a développé la faculté de répéter les mots probablement prononcés par son soigneur de 19 ans, Kim Jong-Gap.
" Les seuls liens sociaux de Koshik sont avec son soigneur et nous pensons qu’il a appris et qu’il reproduit les mots afin de forger des liens de confiance avec Kim ", a expliqué Oh Suk-Hun, vétérinaire d’Everland qui a étudié le comportement du pachyderme avec des scientifiques de l’université de Vienne (Autriche) et Jean (Allemagne).
" Comme mon bébé "
Koshik est né en 1990 dans un zoo près de Séoul. Il est arrivé à Everland à l’âge de trois ans. " Koshik est comme mon bébé parce que je le soigne depuis qu’il est arrivé ici ", a déclaré Kim.
" J’ai dormi dans un sac de couchage près de Koshik pendant un mois quand j’ai commencé à m’occuper de lui et je crois que c’est pour cela que nous sommes proches au point qu’il a commencé à imiter ma voix ", a-t-il expliqué.