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  • Vous cherchez des pistaches? Ne cherchez plus, voici vos vendeurs

    Les jumeaux "spoliés" de Facebook vendent des pistaches

    Les frères Winklevoss ne manquent pas d'humour : ils apparaissent dans une publicité dans laquelle ils vantent les mérites de pistaches... avec un clin d'œil appuyé au patron de Facebook.

    Les frères Winklevoss, dont le procès intenté au fondateur de Facebook Mark Zuckerberg - qu'ils accusent de leur avoir volé l'idée du réseau social - a défrayé la chronique, ironisent sur leur sort dans une publicité américaine pour des pistaches. Dans cette publicité, Tyler et Cameron Winklevoss, tous deux vêtus en costumes noirs et cravates vertes, sont assis devant une assiette de pistaches.

    L'un des frères s'empare d'une pistache et l'ouvre d'une main. Son frère lui lance alors:  "Hé ! C'est une bonne idée !

     - Quoi ?, lui demande l'autre.

     - Faire craquer la pistache, comme ça. Ça pourrait super bien marcher.

     - Tu penses que quelqu'un va nous voler l'idée ?".

    Et les jumeaux de demander, à l'unisson et face à la caméra: "Qui ferait un truc pareil ?".

    Un conflit toujours en cours

    Qui ferait un truc pareil... sinon Marc Zuckerberg ?

     Comme l'a raconté le film The Social Network, grand succès critique et public de 2010, les jumeaux Winklevoss et Divy Narendra avaient pris contact avec Marc Zuckerberg fin 2003 pour qu'il les aide à mettre sur pied un réseau social. Ils affirmaient qu'il leur avait volé leur idée et qu'il avait délibérément retardé leur projet pendant qu'il travaillait à son propre site, qui a débouché sur ce qui est aujourd'hui le plus grand réseau social au monde. En 2009, les frères Winklevoss, qui depuis lors ont fondé leur propre site, ConnectU, avaient conclu un accord avec le géant de l'internet, qui prévoyait le versement de 20 millions de dollars en cash et 45 millions de dollars en actions. Les jumeaux cherchent depuis à revoir les conditions de l'accord, affirmant que Facebook leur avait caché des informations. Ils estiment notamment avoir été trompés sur la valeur réelle des actions Facebook : selon eux, ils auraient dû obtenir plus d'argent ou plus de parts du réseau social.

    La marque de pistache qui s'est offert les frères Winklevoss avait déjà utilisé des personnages célèbres pour ses publicités, notamment Lucy et Charlie Brown de la bande dessinée Snoopy (Peanuts, soit "cacahuètes", en anglais).

     

  • Ite misa es

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  • Le premier qui rira aura une tapette....

    A sept ans, s'il rit, il peut mourir

    Bradley Burhouse, un garçon de 7 ans, a interdiction de rire. sous peine de mourir .

    Les médecins ont décelé une maladie rare sur un petit garçon de 7 ans. Ce dernier souffre d'une tachycardie ventriculaire et risque de faire une crise cardiaque à chaque rire. En effet le problème de Bradley est qu’il a un rythme cardiaque très élevé. Même au repos, son cœur bat 120 à 200 par minute, c’est à dire deux fois plus vite que la normale. D’après les consignes donnés par les médecins l’enfant doit toujours rester au calme, ce qui est impossible de nos jours.  Il ne doit pas faire d’effort, ni jouer  avec ses amis ou frères et sœurs à la maison car ces petits actes anodins pourraient lui être fatals.

    A cause de son rythme cardiaque trop élevé, Bradley a interdiction de jouer avec ses frères et sœurs, de rire et ne doit pas trop bouger. Toutefois les médecins n’excluent pas une éventuelle intervention chirurgicale, même si on sait que celle-ci a déjà causé la mort d’autres enfants. La décision des médecins quant au traitement qui sera procuré à l’enfant sera connue dans les prochaines semaines

  • 3919

    Violence contre les femmes

    3919, un numéro pour briser le mur du silence

    Violences conjugales infos, bonjour…", c'est par ces mots que les "écoutantes" de la plateforme téléphonique accueillent les appelants. Un numéro gratuit et anonyme ouvert à tous ceux qui veulent dire non à la violence au sein des couples : les victimes, l'entourage de la victime, la famille, les voisins, les professionnels...

    Retour au sommaire du dossier : Violences faites aux femmes : sortir du cycle de la violence

    Le cycle insidieux de la violence. "Un homme et une femme s'aiment, un couple se forme. Insidieusement, au bout d'un certain temps, une tension s'installe dans leur relation", explique Nicole Crépeau, présidente de FNSF. "Des attitudes, des remarques, des mots viennent fissurer l'entente et le partage au sein du couple. L'auteur installe un climat quotidien et constant d'humiliation, de contraintes, de peur. La victime ne s'en rend pas compte, mais elle est entrée dans le cycle de la violence. Puis un jour comme les autres, une autre barrière est franchie. Il profère des insultes, des coups peuvent fuser… Il donne l'impression de perdre son self-contrôle : "je ne peux m'en empêcher", entend-on. Peu importe les moyens choisis par l'auteur, nous sommes entrés dans la forme extrême de la violence", souligne Mme Crépeau. Un cycle dont la victime devient prisonnière. Celle-ci se tait d'abord par peur. Elle développe ensuite un sentiment de honte qui la mure dans le silence. Désormais, maison rime avec prison.

    Le 3919, une clé pour briser le mur du silence

    3919, Violences conjugales infos. Plateforme d'écoute, d'information et d'orientation, le 3919 redonne la parole aux femmes victimes de violences au sein du couple. Toute l'année, du lundi au samedi, entre 8 h et 22 h, une équipe de 30 personnes assure une permanence. Le 3919 est ouvert à tous : les victimes elles-mêmes, l'entourage, la famille, les voisins, les professionnels… En tout, le service reçoit 33 500 appels par an dont 14 000 émanant de personnes directement victimes. Les missions des "écoutantes" : écouter, informer et orienter


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  • Le français comme on peut...

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