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  • Où est passé mon Jules? ça craint, les mecs!

    Est-ce le début de la fin pour le mâle dominant ? Le combat mené en ce moment contre le " patriarcat ", notamment via la théorie du genre et le mariage pour tous, ­accélère son ­effacement. L'identité masculine est en plein chambardement. Enquête.

    Source Le Figaro Magazine

    Sur le site Adopteunmec.com, c'est la saison des soldes. "Tout doit disparaître! Promo sur les intellos… Offre spéciale sur les roux… 50 % sur tous nos frisés…" En cinq ans, 5,7 millions d'hommes ont mis leur profil sur ce site de rencontres dont raffolent les jeunes femmes décoincées. Ils le font dans l'unique espoir d'être choisis par l'une d'elles et jetés dans un chariot de supermarché - car ainsi fonctionne le panier d'achat virtuel d'Adopteunmec.com. Et ça marche! A coups de campagnes provoc' mettant en scène des hommes objets, Adopteunmec.com s'est hissé dans le trio de tête des sites de rencontres en France. Imaginons un instant l'inverse: de grandes affiches 4 x 3 vendant à l'encan des frisées, des blondes ou des maigrichonnes. N'aurait-on pas entendu les protestations des Chiennes de Garde, d'Osez le féminisme et autres mouvements de femmes? Là, rien du tout. Pas une protestation, pas un mot, pas même un froncement de sourcils. "C'est du second degré… Les femmes en ont tellement entendu, c'est notre tour", voilà ce qu'on entend lorsqu'on interroge la gent masculine.

    Qu'arrive-t-il aux hommes? Où sont passés ces mâles dominants qui régnaient en maîtres sur nos sociétés occidentales depuis la nuit des temps? Ont-ils rendu les armes face à plus fort qu'eux ou sont-ils simplement en crise comme on a coutume de le dire à propos de tout et de n'importe quoi? Rarement l'identité masculine n'a été autant sondée, décortiquée, examinée sous toutes les coutures. Vingt ans après l'ouvrage précurseur d'Elisabeth Badinter, XY. De l'identité masculine (1), qui décrivait déjà la difficulté de devenir un homme, l'histoire semble s'accélérer.

    Dans un essai choc paru en France au printemps, la journaliste américaine Hanna Rosin prédisait rien moins que La Fin des hommes (The End of Men and The Rise of Women) (2). On assiste, selon elle, au terme "de 200 000 ans d'histoire humaine". Bigre! Sa thèse - qui a fait grand bruit aux Etats-Unis lors de la sortie de l'ouvrage en 2010 -est avant tout économique. Le déclin de l'industrie manufacturière et l'émergence d'une économie de service ont totalement bouleversé la donne. Les millions d'emplois masculins détruits d'un côté ont été compensés par la création de millions d'emplois féminins de l'autre. Car ce ne sont plus des emplois qui réclament de la force physique mais une "intelligence sociale", un sens de la communication, une "habileté à rester immobile et concentré", toutes qualités éminemment féminines, selon l'auteur. Résultat: les femmes américaines contribuent aujourd'hui pour plus de 40 % aux revenus de la famille alors que c'était moins de 10 % dans les années 70. Le fait que les hommes continuent d'occuper les postes de direction dans les entreprises et de recevoir des salaires plus élevés que les femmes ne constitue plus, selon elle, que les derniers soubresauts d'une époque révolue.

    En France, les signes d'une féminisation croissante de la société ne manquent pas non plus. On a vu des hommes, tout ce printemps, métamorphosés en mamans par la grâce du "mariage pour tous", revendiquant fièrement à longueur de reportages leur capacité à biberonner et à changer les couches. Avec la gestation pour autrui (GPA) - les mères porteuses - dont la communauté gay réclame la légalisation, les hommes pourront bientôt faire des bébés "tout seuls", comme les femmes.

    L'an dernier, le ministère des Droits des femmes (ressuscité après deux décennies d'absence) a envoyé tout le gouvernement en stage de rééducation féministe - pardon, en séminaire de "sensibilisation aux stéréotypes sexistes"! Et gare à ceux qui critiquent la ligne. Tout récemment, l'UMP Valérie Pécresse qui conteste le bien-fondé de la loi sur l'égalité hommes-femmes portée par le gouvernement , s'est vu reprocher une "vision archaïque et rétrograde de la famille", par la députée PS Catherine Coutelle, alors que Cécile Duflot lui reproche dans un tweet de "rabaisser les hommes" qui changeraient des couches. Stéphane Le Foll, le ministre de l'Agriculture, avec sa désormais célèbre bourde: "J'ai tenté de promouvoir des femmes au maximum, bien que nos dossiers soient très techniques ", a pour sa part été cloué au pilori sur les réseaux sociaux.

     

    En librairie, le "mâle bashing" fait recette. Sorti cette année en poche, J'ai épousé un con. L'histoire de (presque) toutes les femmes(3),­ (merci pour elles!) s'est vendu à plus de 70 000 exemplaires en deux ans. On prédit le même succès à Les hommes sont des maîtresses comme les autres (4), un roman tout juste en librairie où l'auteur narre ses affres d'amant d'une femme mariée. Est-ce à cela que les hommes rêvent en 2013?

    Les codes de la séduction sont en train d'exploser, surtout chez les moins de 30 ans. Alexis, 22 ans, raconte sa hantise de se faire traiter de "macho" par une fille: "Elles nous font culpabiliser sur ce mythe de l'affreux méchant macho ultramisogyne, véritable modèle à ne pas suivre du primate. Légitimement, nous avons peur de nous voir coller cette étiquette et, pire que tout, nous ne savons même pas pourquoi. Nous ne savons pas quel mot, geste ou regard posera le malheureux bonnet d'âne macho sur notre tête.Conséquence logique, poursuit-il, nous allons dans le sens inverse, nous nous féminisons jusqu'au jour fatidique où est prononcée la phrase mortelle: “J'ai besoin d'un homme”. En cet instant il est trop tard, notre sort est scellé."

    De cette génération qui se met en couple très jeune mais étale son intimité sur Facebook toute la journée, le philosophe Vincent Cespedes dit qu'elle est déchirée entre "un modèle amoureux totalement rigide, rétrograde, infantile même, et une liberté sexuelle comme jamais le monde occidental n'en avait connue". Une situation "schizophrène où le sexe est déconnecté de l'amour", explique celui dont l'essai L'Homme expliqué aux femmes (5), paru en 2010, est devenu un ouvrage de référence pour la presse féminine. "Il faut réconcilier le sexe et l'amour", plaide Vincent Cespedes. En attendant, "l'usine à fabriquer du mâle" est déboussolée.

    La fabrique, justement, est en pleine restructuration. L'explosion des divorces et le quasi-monopole de fait des femmes sur l'enseignement primaire ont totalement bouleversé l'éducation des garçons. Ajoutez-y la chasse aux "stéréotypes de genre", très à la mode, et voilà leur agressivité dénoncée comme un vilain cliché dont il faudrait les débarrasser dès la crèche en les faisant jouer à la poupée!

    En Grande-Bretagne ou en Espagne, soumis aux mêmes évolutions, les pouvoirs publics ont ouvertement posé la question d'un rééquilibrage des sexes dans l'enseignement. David Cameron a réclamé davantage d'enseignants masculins après les émeutes dans les banlieues de Londres à l'été 2011, établissant ainsi un lien direct entre cette explosion de violence et l'absence de repère masculin chez les jeunes de ces quartiers. En France, le sujet est apparemment tabou. Pour avoir tiré la sonnette d'alarme il y a deux ans dans nos colonnes, le pédopsychiatre Stéphane Clerget s'était attiré cette cinglante réplique du ministre de l'Education nationale de l'époque, Luc Chatel: "Les femmes sont aussi compétentes que les hommes." Certes. "Le débat a été éludé mais la question reste posée", maintient le Dr Clerget, pour qui les petits garçons sont de plus en plus nombreux à décrocher à l'école. "A l'école, les garçons ont l'impression d'être le sexe faible. Ils restent performants en maths, car c'est une discipline où il y a peu d'affect, mais pour le reste, les filles sont considérées comme meilleures, plus performantes, plus intelligentes, résume ce praticien. Du coup, les garçons se réfugient dans la violence ou la délinquance pour être des hommes."

    Ecartés à l'école, ils le sont aussi en famille où les pères jouent désormais les seconds rôles, surtout lorsque la cellule familiale explose. Les manifestations de pères divorcés se sont multipliées ces derniers mois et si toutes leurs revendications ne sont pas justifiées (comme celle, ultramédiatisée, d'un père écarté pour violence), l'argument d'une justice partiale car hyperféminisée commence à porter dans l'opinion. C'est ce que soutient l'association SOS Papa, pour qui plus de 9 affaires de garde d'enfants sur 10 sont jugées par des femmes, qui se prononcent quasiment toujours en faveur de la mère. C'est oublier un peu vite que, dans les années 60, les juges étaient des hommes et les mères obtenaient aussi la garde des enfants… Quoi qu'il en soit, la question d'un rééquilibrage des effectifs de magistrats préoccupe la garde des Sceaux, Christiane Taubira. Lorsqu'en décembre dernier elle a rendu visite à l'Ecole nationale de la magistrature (ENM), dont la dernière promotion compte 82 % de femmes, elle a émis le souhait "qu'il y ait plus d'hommes dans les prochaines promotions". Ce n'est pas gagné. Pour la première fois cette année 100 % de femmes viennent de rejoindre le Conseil d'Etat - la plus haute juridiction administrative - en sortant de l'ENA.

    Sociologues et philosophes s'accordent en tout cas à dire que la révolution féministe est pour bien peu de chose dans ce qui arrive aux hommes aujourd'hui. La fin de la révolution industrielle, l'avènement d'une longue période de paix, la maîtrise de la fécondité des femmes, la fin du service militaire… Tout concourt à l'émergence d'un nouvel ordre où le patriarcat est relégué aux oubliettes. Et ce n'est pas l'émergence de mouvements masculinistes, inspirés des féministes des années 70, qui pourra l'arrêter.

    " Une mutation rafraîchissante de l'identité masculine "

    Tout le monde est également persuadé que l'identité masculine n'a pas achevé sa mue. S'achemine-t-on vers une société matriarcale, comme le craint Eric Zemmour, qui pronostique un affaissement des sociétés occidentales? Ou assiste-t-on plutôt, comme le pense Vincent Cespedes, à une "mutation rafraîchissante" de l'identité masculine "qui fait de la part de féminité en chaque homme un nouveau gène, ramenant le mâle paranoïaque d'antan au rang de caricature"?

    La sociologue Brigitte Grésy n'est pas inquiète: "Je ne me fais aucun souci pour les hommes!", proclame-t-elle. Pour cette spécialiste de l'égalité homme-femme, auteur d'un Petit traité contre le sexisme ordinaire et chargée de la lutte contre les stéréotypes sexistes au sein du Haut Conseil à l'égalité, "le poids des normes masculines pèse encore lourd dans la société française, notamment dans les entreprises où elles sont extrêmement fortes, tous les marqueurs de la compétition sont masculins". Mais la crise a créé des tensions et l'entreprise ne joue plus ce rôle d'assurance tous risques qu'elle avait autrefois pour les hommes. "Du coup, ils se réfugient dans la sphère privée, mais la place est prise", analyse Brigitte Grésy. La crise identitaire que vivent les hommes aujourd'hui serait le résultat de cette "double dépossession".

    Dans ce grand chambardement autour de l'identité masculine, un ouvrage paru l'an dernier offre une perspective nouvelle. Dans Boys Don't Cry (6), des universitaires ont analysé "le coût de la domination masculine" pour les hommes eux-mêmes. "Ne pleure pas, montre-toi fort, n'aie pas peur, fais carrière…" : toutes ces injonctions viriles auraient un coût pour l'homme en termes de stress, de maladies, d'agressivité, de dépendances. Pour preuve, leur espérance de vie est moins élevée que celle des femmes. Un argument de plus pour leur faire déserter le champ de bataille?

     (1 ) O dile J acob (2) Autrement (3) Pocket  (4 ) P lon  (5) J' ai Lu  (6) P resses  U niversitaires de  R ennes.

     

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  • Vaut mieux surfer sur le net....

    Les surfeurs sont les principales victimes de vols sur les plages de la côte basque.

    Comment aller surfer sans trop se charger ? La solution adoptée depuis plusieurs années par des surfeurs du Pays-Basque fait le bonheur des voleurs.

    Quelle belle vie que celle d'un surfeur. Il est tôt, le soleil se lève sur les plages du Pays-Basque. Après s'être rapidement changé, il est temps de se jeter à l'eau avant l'arrivée des premiers touristes. Les clefs de voiture, pour ne pas les perdre, sont glissées délicatement sous l'amortisseur d'une des roues. Prêts à se jeter à l'eau. Mais à ne pas faire plus attention, certains voleurs ont pigé l'astuce et attendent que les amateurs de glisse se trouvent à plus de 500 mètres du parking, en pleine mer, pour dérober ce qui se trouve dans la voiture. Ce problème, les autorités basques y sont de plus en plus confrontées. Alors cette année, pas question de se faire plumer.

    Au Comité régional Aquitaine de surf (Cras), ce problème est une vraie plaie. Même si Matthieu, un des employés qui pratique le surf ne s'est jamais retrouvé dans cette situation, il est au courant de ce phénomène. En 2012, 222 vols à la roulotte et 194 vols à la serviette ont été commis sur les plages de la Côte basque, d'après les chiffres communiqués par le commissaire divisionnaire Didier Ribeyrolle, en charge du district de sécurité publique de Bayonne, qui précise que les principales victimes sont les surfeurs. Et c'est pour sensibiliser ces sportifs que le Cras, en partenariat avec que la Direction départementale de la sécurité publique Pyrénées-Atlantiques (DDSP), a décidé de réaliser un clip vidéo intitulé «Surfer en toute tranquillité», qui sera bientôt diffusé sur le site Internet du Cras.

    À Bayonne, le commissariat a dépêché un policier à plein temps sur les plages de la côte. Son objectif: mettre en garde les surfeurs maladroits, plus pressés d'aller glisser sur les rouleaux que de vérifier si personne n'a jeté un coup d'œil sur leur cachette. Ce policier devra aussi être réactif face à certains pics de délinquance, surtout à l'approche des férias, et faire remonter les doléances des surfeurs.

    Pour Matthieu du Cras, la meilleure solution pour éviter ces vols, c'est avant tout d'être malin. «Au début, je me suis fait faire un double de mes clefs de voiture étanche, ce qui me permettait de le prendre dans ma combinaison», déclare-t-il. Aujourd'hui, il décide d'emmener tout son matériel sur la plage, «avec les vacanciers, les vols qui ont lieu sur le sable, c'est l'affaire de tous, donc c'est plus sécurisant», ajoute-t-il. Dernière solution, un boîtier qui se pose à l'extérieur de la voiture se verrouillant. Mais pour Matthieu, «cela montre de manière presque volontaire où sont les clefs». Surtout qu'il ne fait aucun doute que les voleurs sauront venir à bout de ce cadenas à chiffre.

     

  • On nous cache tout.... mais, cela finit par se savoir!

    http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-bretigny-sur-orge-des-scenes-de-vol-et-de-caillassage-ont-bien-eu-lieu-18-07-2013-1706136_23.php

    Le Point.fr - Publié le18/07/2013 à 16:19- Modifié le18/07/2013 à 16:22

    Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train

    A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

    Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).

    Démentis officiels

    À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.

    Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".

    Enquêtes

    Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.

    Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.

     

    FRANCAIS-ES: LA LIBERTE D'ABORD, LES VACANCES ENSUITE!

     

     

  • Le carnaval des animaux

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  • Meuhhhque de chance!

    Brésil: Un homme tué par une vache tombée du ciel

    FAITS DIVERS - L'homme dormait tranquillement dans son lit quand l’animal a traversé sa toiture...

    Au Brésil, les poules n’ont pas de dents, mais les vaches tombent du ciel. Ou du moins du plafond. Joao Maria de Souza, 45 ans, est décédé la semaine dernière après avoir reçu une vache d’une tonne sur le corps alors qu’il dormait dans son lit, rapportait samedi la BBC sur son site Internet.

    L’animal qui broutait sur une colline derrière sa petite maison située à Caratinga dans le Sud-Est du pays, a voulu marcher sur son toit d’amiante qui s’est effondré sous son poids.

    Transporté à l’hôpital, l’homme est décédé le lendemain des suites d’une hémorragie interne

    Selon les médias locaux, c’est le troisième accident de ce type survenu en trois ans dans cette région du pays connue pour ses élevages de bétail. Mais c’est la première fois qu’on déplore une victime.

     

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  • Tellement j'ai peur.... que j'en tremble encore.... de rire!

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  • Un qui aime la France et qui respecte le pays qu'il visite!

    Perso, je l'écoute souvent; Vous devriez aussi l'écouter... ça repose beaucoup la tête!