Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

photo - Page 2

  • Déjantée, le mémé!

    Elisabeth dépasse les Borne du wokisme

    Aux grands hommes la patrie reconnaissante. Le Panthéon à Paris   

    La ministre de l’Education nationale veut rentrer dans l’histoire en modifiant le fronton de l’emblématique monument parisien

    C’était la rentrée des classes le 27 août pour Elisabeth Borne, en avance par rapport aux premières grèves de ses ouailles (consécutives à des vacances trop courtes). Lors d’une conférence de presse mémorable (à l’occasion de laquelle elle a ânonné son papier), elle a martelé que la scolarité des jeunes filles accaparait son attention. Or, dans le domaine scientifique, " trop souvent les jeunes filles se heurtent à des stéréotypes et finissent par renoncer à des carrières qui devraient leur être pleinement ouvertes". De là, la nouvelle planification lancée par notre macroniste de gauche: le "plan filles et maths" qui complètera utilement le "plan avenir".

    La ministre de l’Education nationale a pointé le "stéréotype" essentiel qui bridait les jeunes filles, celui dont nous, pauvres béotiens, n’avions pas même conscience, à savoir la devise inscrite au fronton du Panthéon dans le 5e arrondissement de Paris:

     "AUX GRANDS HOMMES LA PATRIE RECONNAISSANTE".

    "Nous devons ouvrir le débat sur la devise", a-t-elle poursuivi. En effet, "cette devise doit reconnaître explicitement la place de Marie-Curie, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Germaine Tillion, Simone Veil, Joséphine Baker (que des scientifiques!) et toutes celles qui suivront (dont Elisabeth Borne?)".

    "Si, en levant les yeux, les jeunes femmes ne voient pas la société reconnaître pleinement leur place dans l’histoire, alors nous leur envoyons un message contradictoire".

    On peut comprendre que, passant dans ce quartier déshérité de la capitale et lisant cette ignoble formule (pourtant inscrite lors d’un beau millésime: 1793), les jeunes filles soient découragées et se destinent dès lors à des carrières littéraires ou pis encore (femmes politiques?). En effet, la devise est inadmissible: une "reconnaissance", au lieu d’une solidarité, par une "patrie" alors que la patrie française n’existe plus et que seul compte aujourd’hui le peuple métissé, de certains "hommes", ces être répugnants et velus, au surplus "grands", ce qui constitue une discrimination à l’égards de tous les autres et ce, alors même que la société doit être inclusive!

    Il faudrait un panthéon des citations de notre immense chef de l’État

     

    Notre premier réflexe aurait donc été de proposer cette nouvelle devise:

    "AUX PETITES FEMMES LE PEUPLE SOLIDAIRE".

    Mais nous nous rendons immédiatement compte que l’expression de "petites femmes" est particulièrement stigmatisante à l’égard du sexe féminin, discriminé quotidiennement par le patriarcat.

    Nous proposerons en conséquence la méthode suivante: constituer une "convention citoyenne", compte tenu des succès passés, avec des électeurs triés sur le volet et encadrés par des "garants" (pour éviter que des propositions trop sensées n’en émergent) tels Patrick Boucheron et Thomas Jolly, à l’œuvre lors de l’inoubliable cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris.

    Afin de prévoir un garde-fou supplémentaire, nous proposerons que la convention réfléchisse uniquement au choix d’une devise parmi trois propositions, toutes tirées du… panthéon des citations de notre immense chef de l’État:

        "IL N’Y A PAS UNE CULTURE FRANCAISE";

        "L’ART FRANÇAIS, JE NE L’AI JAMAIS VU";

        "QUOI QU’IL EN COUTE!"

     

        Jean-Philippe Feldman

  • Madame la Ministre: notre École est en péril

    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ECRIT APRES LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.

  • Ne fait pas rire!

    MORT EN DIRECT.

    l’ARCOM excès de pouvoir et dérive partisane!!!

    Jean Pormanove était influenceur et ancien militaire. Un homme fragile, vulnérable, qui appelait au secours. L'ARCOM avait été sollicité pour lui venir en aide.

    Ce qu’il a reçu à la place? Des insultes, des humiliations, des violences.

    En direct. Sous les yeux de milliers de spectateurs.

    Ses bourreaux, Safine Hamadi et Owen Cenazandotti l’avaient transformé en spectacle :

    – nuits blanches imposées,

    – défis humiliants, punitions physiques,

    – manipulations psychologiques sordides,

    – et une pression constante, monnayée à coups d’audiences voyeuristes.

    Dès décembre 2024, des alertes avaient été lancées.

    Des signalements déposés. Des plaintes transmises.

    La plateforme Kick a laissé faire. Et l’ARCOM, pourtant saisie, n’a rien empêché.

    Dans la nuit du 17 au 18 août 2025, Jean Pormanove s’est effondré.

    En direct. Et cette fois, il était trop tard.

    L'ARCOM complice de sa mort

    Aucune sanction. Aucun contrôle. Aucune réaction.

    Jusqu’à ce qu’il meure.

    Il est mort sous leurs yeux. Et l’ARCOM n’a rien fait

    Et pendant ce temps, où mettait-on l’énergie ?

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • A mourir de rire!

    Premier-Avril 1950: "Comment ne pas être tué par une bombe atomique"

    L’hebdomadaire français Paris Match, qui a "le plus gros tirage dans les années 1950 avec près de 2 millions d’exemplaires chaque semaine", dont "l ‘impact est considérable" et qui "contribue à structurer les représentation ", propose dans son numéro du 1er avril 1950 une couverture consacrée, comme c’est fréquemment le cas, à l’aristocratie (ici la famille royale de Belgique) mais, dans un unique encadré, bien visible en haut de page, le titre, "Comment ne pas être tué par une bombe atomique", se présente comme un véritable produit d’appel d’autant plus retentissant qu’on sait officiellement, depuis septembre 1949, que l’URSS possède la bombe atomique.

    L’article, qui nous intéresse et qui se déploie sur deux pleines pages, est écrit par Richard Gerstell qu’un encadré présente comme "un officier de la marine américaine", "un savant", "docteur en philosophie", "conseiller à la défense radiologique à l’Office de la défense civile des États-Unis".

    L’auteur est chargé par le ministère de la défense d’étudier les effets de la radioactivité des essais atomiques de Bikini et d’élaborer des "plans pour la protection de la population civile contre une éventuelle attaque atomique".

    L’encadré inséré par la rédaction de Paris Match vise donc à garantir la crédibilité du rédacteur de l’article, un homme de terrain, un scientifique, dont on précise qu’il "a été exposé plusieurs fois aux radiations atomiques et n’en a d’ailleurs pas souffert physiquement (il n’a même pas perdu un cheveu)", qui rend compte de sa frayeur lorsque le compteur Geiger révéla que ses cheveux étaient "plus radioactifs que la limite". Il s’agit donc, du moins est-ce vendu ainsi, du témoignage, de l’analyse d’un témoin de choix; il s’agit d’une information de première main.

    Dans les premiers paragraphes de l’article de Match, Gerstell explique avoir eu, dans les premiers temps, "la conviction que la destruction atomique menaçait inévitablement une grande partie de l’humanité".

    C’est pourquoi il accueillit favorablement la parution de l’ouvrage de David Bradley, No Place to Hide (1948), qui alertait sur les dangers de la radioactivité. Mais il ne s’appuyait alors, confie-t-il, que sur une "impression"; il manquait de recul. En possession désormais des "rapports complets des expériences de Bikini et des rapports préliminaires des nouvelles expériences atomiques d’Eniwetok", il a désormais "franchement changé d’avis".

    L’article publié dans Match vise un objectif: convaincre que la radioactivité, sur laquelle on en sait plus que sur "la poliomyélite ou le rhume", "n’est, au fond, pas plus dangereuse que la fièvre typhoïde ou d’autres maladies qui suivent d’habitude les ravages d’un bombardement".

    Fort de son "expérience “Bikini” ", durant laquelle, dit-il, "aucun des 40 000 hommes" qui y participèrent "ne fut atteint par la radioactivité", Gerstell entend mettre un terme aux "légendes" sur les effets de cette dernière (elle entraînerait la stérilité, rendrait des régions "inhabitables à jamais").

     "Tout cela est faux", clame-t-il; la radioactivité est "une menace beaucoup moins grande que la majorité des gens le croient".

    Un certain nombre de précautions, de conseils à suivre pour se protéger de la radioactivité en cas d’explosion nucléaire sont livrés aux lecteurs de Paris Match: fermer portes et fenêtres, baisser les persiennes, tirer les rideaux; ôter ses souliers, ses vêtements avant de rentrer chez soi, les laver et frotter; prendre des douches "copieuses" pour se débarrasser des matières radioactives; éviter les flaques d’eau, marcher contre le vent; s’abriter dans une cave, "protection la plus adéquate contre les radiations"…

    ON LAISSE LE LECTEUR APPRECIER L’EFFICACITE DE CES MESURES…

    Pour se protéger de la bombe elle-même dont "la plupart des dégâts sont causés par les effets indirects de l’explosion",

    se coucher à plat ventre, yeux fermés;

    pour éviter les brûlures, trouver une barrière efficace (mur, égout, fossé);

    porter des "vêtements en coton clair", des pantalons longs, des blouses larges, "un chapeau aux bords rabattus"…

    Ainsi, ce témoin, ce "savant", qui étudia l’impact de la radioactivité, rassure-t-il le lectorat français de Match: on peut se protéger de la bombe atomique, des radiations; il suffit d’être précautionneux.

    Foin des légendes! Ce regard éclairé, scientifiquement éclairé, s’appuie sur l’expérience, sur Bikini, sur Hiroshima et Nagasaki pour minorer (et c’est peu dire) le danger des radiations, car, c’est bien connu, "les nuages radioactifs à caractère persistant sont vite dissipés dans le ciel";

    "la poussière radio-active persistante qui se dépose sur la peau ne paraît pas dangereuse";

    "au voisinage immédiat du point d’explosion, une pleine sécurité peut être assurée par 30 centimètres d’acier, 1 mètre de béton ou 1 m 60 de terre. À un kilomètre et demi, la protection nécessaire tombe à moins d’un centimètre d’acier et quelques centimètres de béton".

    En avril 1950, l’Américain Richard Gerstell, dont les propos sont relayés en France par l’hebdomadaire Paris Match, niait encore l’impact de la radioactivité.

    Auteur - Anne Wattel - Professeur agrégée, Université de Lille

  • La Cathédrale de Cordoue, qui vient de subir un incendie, n’est plus une mosquée

    Rendons aux Espagnols ce qui appartient aux Espagnols!!!

    Tous les journaux, successivement, comme des ânes bâtés, viennent répéter les uns après les autres, qu’un incendie s’est produit "dans la Cathédrale-mosquée" de Cordoue. On parle même le plus souvent de "mosquée-cathédrale", ce qui est une hérésie absolue. Un monument religieux ne peut pas être à la fois une mosquée et une Cathédrale, c’est totalement antinomique, quoiqu’en pensent nos instances religieuses décérébrées de l’après Vatican II.

    Au contraire, employer ce terme de "mosquée-cathédrale ", c’est faire le jeu des musulmans et des islamistes, qui revendiquent Cordoue comme leur appartenant, comme ils revendiquent l’Alhambra de Grenade. Ne rentrons pas dans leur jeu. Les mots ont un sens et les islamistes savent parfaitement en user et en abuser.

    Le nom officiel de ce bâtiment religieux et plus que symbolique est la Cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption, or même l’Église dite catholique n’emploie plus ce terme, par syncrétisme des plus ridicules.

    Au départ, comme souvent, sur ce site fut construit un temple romain pour Janus, qui est devenu une Basilique chrétienne au IVe siècle, du temps de la monarchie wisigothe, bien avant l’arrivée des arabo-berbères en Ibérie. Il s’agissait de l’Église Sainte-Marie, devenue Basilique au IVe siècle.

    En 786, alors que les sbires de Tariq avaient envahi l’Espagne en 711, commença la construction, en lieu et place de la Basilique, de la mosquée de Cordoue, par les Omeyyades. Lorsque les chrétiens de la Reconquête sous l’égide de Ferdinand III de Castille, reprirent définitivement Cordoue en 1236, plus de deux siècles avant Grenade, ils firent construire à partir des bâtiments de la moquée, une Cathédrale, puis érigèrent au début du XVIe siècle une chapelle majeure, qui se distinguait des autres chapelles plus anciennes, établies le long des quatre murs d’enceinte de l’édifice, lui donnant un caractère exceptionnel.

    Depuis cette date, c’est la Cathédrale du diocèse de Cordoue, n’en déplaise à tous les tenants d’un prêchi-prêcha des plus abscons.

    D’ailleurs les musulmans n’hésitèrent pas à expulser et à exproprier plus de la moitié des plus grandes Églises de Cordoue à leur arrivée.

    Ensuite, toutes les Églises intra-muros seront détruites. Cette mosquée, qui fut agrandie à trois reprises était immense, près de 23 000 km2, devant la plus grande mosquée du monde après celle de La Mecque.

    AUJOURD’HUI ET DEPUIS PLUS DE HUIT SIÈCLES, C’EST UNE CATHÉDRALE.

    Car les mots ont un sens, ce sont des armes au service des idées et du sens de l’histoire.

     

    Michel Festivi

  • Aude-Douce France: pour une fois, les pompiers n’ont pas été caillassés

    Mais qu’est-ce qui se passe? Quoi, il n’y aurait pas de racailles dans l’Aude? Impossible. La racaille est présente sur chaque mètre carré du territoire français.

    L’Aude, d’une superficie d’un peu plus de 6000 km2, compte 34.500 immigrés et 340.700 " non immigrés ", soit des Français de souche et des Français " non-souche " qui attendent leurs papiers pour devenir souche (chiffres de l’INSEE au 01/01/2023).

    Une seule explication possible à ce manque d’enthousiasme à l’égard des pompiers qui passent leurs vacances au chaud: les racailles sont en vacances dans leurs amères-patries.

    Sinon, qu’est ce qui fait qu’un déploiement de 2000 pompiers et de 200 gendarmes avec matériel et véhicules, sur un tronçon de territoire somme toute assez réduit, n’ait pas reçu le moindre jet de pierre?

    Un tel déploiement est pourtant une proie idéale pour la racaille.

    Entre le 1er janvier et 1er octobre 2023, 1076 agressions de pompiers ont été recensées, soit 4 par jour, selon les chiffres de la fédération nationale des sapeurs-pompiers. Où fait-on mieux?

    Pour les policiers, ils sont entre 14 et 15.000 à être blessés chaque année. Qui dit mieux?

    Ils sont combien de policiers à être blessés au Maroc, en Algérie, au Sénégal, en Chine, en Russie, au Qatar, en Arabie saoudite ou dans tous ces pays réunis?

    Pourquoi cette hécatombe de 15.000 en France? Soit plus 1250 par mois et plus de 40 par jour.

    On s’entraîne sur les pompiers avant de s’attaquer aux policiers. Rares sont les camions des pompiers qui n’ont pas été exposés aux jets de pierres sur le territoire français.

    Pour le moment, il n’y a que les Canadairs qui échappent au caillassage. Mais, ça va venir.

    Les pompiers, comme les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les enseignants, les élus, les juifs, les jeunes gens qui font la fête ou sortent d’un terrain de sports, les jeunes filles qui portent des jupes sont déclarés Persona Haram sur le territoire islamique de la France et risquent la mort.

    Le monde, dans la conception islamique, est divisé entre Dar al-Islam (domaine de l’islam) et Dar al-Harb (domaine de la guerre). La France se trouve temporairement dans le domaine de la guerre où les musulmans doivent instaurer la foi d’Allah.

    On y arrive à grande vitesse. La France, Hamdoullah, fera très bientôt partie de Dar al-Islam. Les Macron-Mélenchon y veillent.

    Le Macron se plaint que la France n’est pas assez crainte.

    Si, si, Manu, la France est bien crainte.

    Par les Français.

    Messin’Issa

    PS: c'est la première chose que j'ai dite lorsque j'ai appris l'incendie de Marseille et redite pour celui de l'Aude

  • Les délires de France 24

    Donald Trump ferait fuir les juifs américains… vers l’Allemagne!

    L’article est d’une certaine Stéphanie Trouillard, qui porte admirablement son nom – encore qu’il aurait fallu accorder au féminin, mais passons. Mme Trouillard donne le ton dès le départ:

    "Depuis que l’Allemagne a facilité l’obtention de la nationalité allemande pour les descendants de victimes du nazisme ayant fui le pays en raison des persécutions du régime d’Adolf Hitler, de plus en plus de juifs américains font la démarche pour l’acquérir. Si certains souhaitent avant tout réparer une injustice, d’autres y voient une opportunité de se protéger face au climat politique aux États-Unis depuis le retour au pouvoir de Donald Trump".

    Trump mènerait donc une politique antisémite?

    Evidemment. Il faut être aveugle pour ne pas le voir: "Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump, le comportement de son ancien conseiller Elon Musk, accusé d’avoir fait un salut nazi, la stigmatisation des étrangers ou encore l’humiliation du président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche poussent certains à faire des comparaisons avec l’Allemagne des années 1930-1940".

    "Cette montée de l’autoritarisme est comparable à celle d’Hitler", estime ainsi Eric Podietz, consultant informatique à la retraite à Philadelphie."Le silence sur la liberté d’expression et la mise en péril des institutions universitaires. Les signes sont là.

    C’est en train de se produire", confie aussi à NPR cet homme dont la mère a fui l’Allemagne quand elle était enfant à la fin des années 1930 et qui a fait une demande pour obtenir la nationalité allemande. Eric Podietz n’envisage pas de déménager immédiatement, mais il constate que la rhétorique politique actuelle aux États-Unis rappelle de manière effrayante le pays que leur famille a quitté pour survivre".

    On rappellera à Mme Trouillard que l’antisémitisme sur les campus universitaires américains a été un sujet de préoccupation croissante du président Trump. Des incidents antisémites ont été signalés, notamment lors de manifestations pro-palestiniennes, ce qui a conduit à des enquêtes et à des mesures de la part de l’administration Trump.

    Pour lutter contre l’antisémitisme dans les universités, l’administration Trump a mis en place une "task force contre l’antisémitisme".

    Ce groupe a été chargé de traquer les actes antisémites dans les écoles et universités. Parmi les mesures prises, l’administration a gelé des subventions fédérales à plusieurs universités accusées de ne pas avoir suffisamment lutté contre l’antisémitisme sur leurs campus. Par exemple, Harvard a vu ses subventions fédérales suspendues à hauteur de 2,2 milliards de dollars après avoir refusé de se conformer aux exigences du gouvernement américain.

    En outre, des enquêtes ont été lancées contre 60 universités suspectées de discrimination et de harcèlement envers les étudiants juifs. Ces établissements risquent des mesures coercitives, y compris la perte de soutien financier fédéral, s’ils ne respectent pas leurs obligations légales de protection des étudiants juifs.

    Alors, antisémite, le président Trump? Le républicain cache décidément bien son jeu.

    POUR MIEUX ENFONCER LE CLOU, MME TROUILLARD CONVOQUE UN GRAND MEDIA ALLEMAND:

    "Le journal télévisé allemand Tagesschau, diffusé sur la première chaîne d’Allemagne, s’est aussi intéressé au sujet. En juillet 2024, il a réalisé un reportage sur une cérémonie organisée au consulat général de New York au cours de laquelle 82 survivants de la Shoah, leurs enfants et leurs petits-enfants sont devenus citoyens allemands".

    Nous avons constaté une tendance à la hausse, la première fois en 2017, lorsque Donald Trump est devenu président, et certains ont dit: ‘Ce n’est pas vraiment mon genre de président, cherchons des alternatives", avait expliqué le consul d’alors, David Gill.

    Alors que le consulat de New York avait reçu 350 demandes en 2016, il en a reçu 1 500 en 2024, qui ont entraîné 700 naturalisations, d’après son compte Instagram.

    1 500 demandes en 2024, dont une grande majorité pour pouvoir circuler plus facilement dans l’Union européenne, et sur les 8 millions de juifs américains, on ne peut pas dire que ce soit un raz-de-marée…

    De nombreux témoignages rapportés par la journaliste font état de menace de persécutions à l’encontre des juifs aux Etats-Unis:

    "J’ai dit que cela pourrait ouvrir des perspectives d’éducation à ma fille et lui permettre de vivre et de travailler plus facilement n’importe où dans l’UE à l’avenir. Et enfin, j’ai ajouté que si, pour une raison ou une autre, elle devait un jour fuir les États-Unis pour cause de persécution, cela lui ouvrirait bien d’autres portes".

    "Habitante d’Arlington, en Virginie, Ann Barnett s’est aussi heurtée à l’incompréhension de sa mère, très contrariée à l’idée qu’elle veuille obtenir la citoyenneté d’un pays qui a exterminé tant de membres de sa famille." Elle a finalement changé d’avis et a accepté ma décision à cause, malheureusement, de l’antisémitisme croissant aux États-Unis", a-t-elle souligné auprès de CNN.

    Rappelons que l’"antisémitisme croissant". aux Etats-Unis est plutôt le fait des électeurs et sympathisants démocrates, sans doute chers au cœur de Mme Trouillard, que républicains:

    En conclusion, l’article place Donald Trump à l’"extrême droite" et fait l’amalgame entre "extrême droite" et extrême gauche pour ce qui est de l’antisémitisme:

    "L’impensable s’est produit dans un pays prétendument civilisé à l’époque moderne, et il serait insensé d’ignorer la possibilité que l’Histoire se répète ici, compte tenu de la haine des juifs que l’on voit constamment s’exprimer à l’extrême droite comme à l’extrême gauche de l’échiquier politique américain".

    Rappelons à Mme Trouillard qu’en mars 2023, France 24 a mis fin à sa collaboration avec une journaliste arabophone, Joëlle Maroun, après qu’une enquête interne a révélé qu’elle avait publié des messages antisémites sur ses réseaux sociaux. Trois autres journalistes ont également été visés par un rappel à l’ordre pour des messages incompatibles avec le devoir d’impartialité de la chaîne.

    Les publications en question ont été jugées intolérables et pénalement répréhensibles par France 24, qui a des antennes en plusieurs langues, dont l’arabe.

    Cette affaire a été révélée suite à une enquête de l’organisme de veille médiatique CAMERA, qui a mis en lumière des tweets antisémites de plusieurs journalistes de France 24 en arabe, dont certains exprimaient une admiration pour Hitler.

    Des détails que Mme Trouillard ignore apparemment. On ne saurait trop lui conseiller de demander sans tarder l’asile politique en Allemagne.

    Henri Dubost

Toutes les photos, histoires et vidéos insolites qui voyagent sur le net! pas recommandé aux enfants, merci à ceux qui font passer! Ce qui est bien avec la « déjante » c’est qu’il n’y a pas de limites!