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mec - Page 281

  • Vaut mieux surfer sur le net....

    Les surfeurs sont les principales victimes de vols sur les plages de la côte basque.

    Comment aller surfer sans trop se charger ? La solution adoptée depuis plusieurs années par des surfeurs du Pays-Basque fait le bonheur des voleurs.

    Quelle belle vie que celle d'un surfeur. Il est tôt, le soleil se lève sur les plages du Pays-Basque. Après s'être rapidement changé, il est temps de se jeter à l'eau avant l'arrivée des premiers touristes. Les clefs de voiture, pour ne pas les perdre, sont glissées délicatement sous l'amortisseur d'une des roues. Prêts à se jeter à l'eau. Mais à ne pas faire plus attention, certains voleurs ont pigé l'astuce et attendent que les amateurs de glisse se trouvent à plus de 500 mètres du parking, en pleine mer, pour dérober ce qui se trouve dans la voiture. Ce problème, les autorités basques y sont de plus en plus confrontées. Alors cette année, pas question de se faire plumer.

    Au Comité régional Aquitaine de surf (Cras), ce problème est une vraie plaie. Même si Matthieu, un des employés qui pratique le surf ne s'est jamais retrouvé dans cette situation, il est au courant de ce phénomène. En 2012, 222 vols à la roulotte et 194 vols à la serviette ont été commis sur les plages de la Côte basque, d'après les chiffres communiqués par le commissaire divisionnaire Didier Ribeyrolle, en charge du district de sécurité publique de Bayonne, qui précise que les principales victimes sont les surfeurs. Et c'est pour sensibiliser ces sportifs que le Cras, en partenariat avec que la Direction départementale de la sécurité publique Pyrénées-Atlantiques (DDSP), a décidé de réaliser un clip vidéo intitulé «Surfer en toute tranquillité», qui sera bientôt diffusé sur le site Internet du Cras.

    À Bayonne, le commissariat a dépêché un policier à plein temps sur les plages de la côte. Son objectif: mettre en garde les surfeurs maladroits, plus pressés d'aller glisser sur les rouleaux que de vérifier si personne n'a jeté un coup d'œil sur leur cachette. Ce policier devra aussi être réactif face à certains pics de délinquance, surtout à l'approche des férias, et faire remonter les doléances des surfeurs.

    Pour Matthieu du Cras, la meilleure solution pour éviter ces vols, c'est avant tout d'être malin. «Au début, je me suis fait faire un double de mes clefs de voiture étanche, ce qui me permettait de le prendre dans ma combinaison», déclare-t-il. Aujourd'hui, il décide d'emmener tout son matériel sur la plage, «avec les vacanciers, les vols qui ont lieu sur le sable, c'est l'affaire de tous, donc c'est plus sécurisant», ajoute-t-il. Dernière solution, un boîtier qui se pose à l'extérieur de la voiture se verrouillant. Mais pour Matthieu, «cela montre de manière presque volontaire où sont les clefs». Surtout qu'il ne fait aucun doute que les voleurs sauront venir à bout de ce cadenas à chiffre.

     

  • On nous cache tout.... mais, cela finit par se savoir!

    http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-bretigny-sur-orge-des-scenes-de-vol-et-de-caillassage-ont-bien-eu-lieu-18-07-2013-1706136_23.php

    Le Point.fr - Publié le18/07/2013 à 16:19- Modifié le18/07/2013 à 16:22

    Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train

    A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

    Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).

    Démentis officiels

    À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.

    Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".

    Enquêtes

    Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.

    Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.

     

    FRANCAIS-ES: LA LIBERTE D'ABORD, LES VACANCES ENSUITE!

     

     

  • Le carnaval des animaux

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  • Meuhhhque de chance!

    Brésil: Un homme tué par une vache tombée du ciel

    FAITS DIVERS - L'homme dormait tranquillement dans son lit quand l’animal a traversé sa toiture...

    Au Brésil, les poules n’ont pas de dents, mais les vaches tombent du ciel. Ou du moins du plafond. Joao Maria de Souza, 45 ans, est décédé la semaine dernière après avoir reçu une vache d’une tonne sur le corps alors qu’il dormait dans son lit, rapportait samedi la BBC sur son site Internet.

    L’animal qui broutait sur une colline derrière sa petite maison située à Caratinga dans le Sud-Est du pays, a voulu marcher sur son toit d’amiante qui s’est effondré sous son poids.

    Transporté à l’hôpital, l’homme est décédé le lendemain des suites d’une hémorragie interne

    Selon les médias locaux, c’est le troisième accident de ce type survenu en trois ans dans cette région du pays connue pour ses élevages de bétail. Mais c’est la première fois qu’on déplore une victime.

     

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  • Tellement j'ai peur.... que j'en tremble encore.... de rire!

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  • Un qui aime la France et qui respecte le pays qu'il visite!

    Perso, je l'écoute souvent; Vous devriez aussi l'écouter... ça repose beaucoup la tête!

     

     

     

  • Ubu en France: jusqu'où va la conn... humaine? dépouiller les vieux pour engraisser les sans-papiers

    hum.. peut etre bien que la grand mére n'est pas riche aprés tout

    conclusion : la grand mére couche à l'hotel. quoi faire d'autre ? mais, qui paye?

    et que peut-elle penser de son pays qui l'a trahie à son âge?

     

    https://www.contrepoints.org/2013/07/14/130673-tu-seras-bienvenu-chez-moi

     

    Tu seras bienvenu chez moi...

     Publié le 14/07/2013

     Le droit au logement s'étend désormais aux logements occupés. On ouvre votre porte, change la serrure, et on installe chez vous quelqu'un d'autre.

    Ce n'est sans doute pas légitime, sans doute pas légal, mais c'est ce que font aujourd'hui les militants du Droit Au Logement. Pleins d'empathie et de compassion pour les mal-logés, un peu moins pleins d'empathie et de compassion pour les octogénaires, ils ont investi un logement non vacant dont la propriétaire avait eu le malheur de s'absenter quelques semaines. Lors de son retour à Bordeaux, son immeuble était occupé par des Bulgares.

    Pour son avocat, Odette Lagrenaudie est victime du DAL (Droit au logement), une association indépendante s’occupant des sans-logis et des personnes expulsées. Ce seraient eux qui auraient décidé de « réquisitionner » le logement de la personne âgée pour y installer les deux familles bulgares sans logis ni titres de séjour. L’avocat va même plus loin, et accuse le DAL d’avoir forcé la porte de l’appartement pour y installer les sept personnes, tout en négligeant les preuves de son occupation. « Il restait tous les meubles de ma cliente, ainsi que de la vaisselle dans les placards. »

    Une version que le DAL conteste. Selon l’association, l’immeuble présentait tous les signes d’un logement abandonné. « La porte d’entrée du bâtiment était ouverte depuis plusieurs semaines, et il ne restait presque aucun effet personnel à l’intérieur. Il n’y avait pas de vêtements dans les penderies et les pièces à vivre portaient de nombreuses marques de vétusté », explique Raphaëlle Reix, militante du Droit au logement. Suffisant pour décider d’y installer ces familles sans solution d’accueil. Un empressement dont la militante s’excusera tout de même face à Odette Lagrenaudie, lui assurant ne pas l’avoir fait « à son encontre », persuadée que l’immeuble était abandonné.

    Logement un peu vide et un peu vétuste : pouf, réquisition !

    Inutile de s'attarder sur la bêtise sans nom des militants, qui ne prennent pas le temps de vérifier que le logement est inoccupé. Se renseigner auprès des voisins aurait sans doute pris trop de temps, et l'urgence était grande : les familles bulgares n'avaient pas de solution d'accueil.

    C'est maintenant la propriétaire qui est sans solution d'accueil ; elle loge à l'hôtel. La propriété privée n'est pas vraiment sacrée, après tout. Sans doute y a-t-il des millions de mal-logés dans le monde, auxquels le DAL sera ravi d'offrir votre logement pendant que vous partirez en vacances - surtout si vous emportez avec vous vos vêtements et que le logement paraît presque vide.

    La récupération politique est presque aussi rapide qu'à la mort d'un antifasciste violent à la sortie d'une vente privée.

    Ambiguïté de la préfecture. Pour Fabien Robert, maire-adjoint du quartier, cette histoire ubuesque est une conséquence directe du manque de cohérence de la préfecture, qui a choisi de ne pas accorder de titre de séjour à cette famille sans pour autant l’expulser du territoire français.

    Il s'agirait d'une conséquence de la décision de la préfecture, qui aurait le choix seulement entre accorder un titre de séjour et expulser du territoire. Le DAL ne semble même pas envisager de demander à ses nouveaux amis bulgares de quitter les lieux pour rendre son logement à sa propriétaire - ce qui semblerait logique à toute personne censée.

    Il semblerait que le bon sens a disparu. On peut expulser le propriétaire d'un logement, mais pas ses occupants aussi illégaux qu'illégitimes. On peut se prendre de compassion pour des mal-logés, mais pas pour une octogénaire expulsée.

    Il faut attendre d'être nonagénaire et expulsée d'une maison de retraite privée pour attirer un peu de compassion. Mais quand on est seulement octogénaire, on ne peut pas espérer retrouver son logement en l'état, ou conserver le chauffage l'hiver quand on tente de produire soi-même un peu d'électricité. L'âge n'est pourtant pas le critère qui détermine la compassion ; ce critère, c'est la propriété dans certains cas ou l'obéissance à l’État.

    Tout, si on le fait pour des démunis, devient moral. C'est le beau credo de la morale altruiste ; on en vient presque à se demander si les militants du DAL n'ont pas tenté de soutirer une petite larme de pitié de l'octogénaire pour les nouveaux occupants. Comprenez, en plus d'être mal logés, ils n'ont rien à faire là et ont fait un long chemin pour enfin pouvoir loger chez l'habitant, sans l'habitant.

    La propriété vous placera donc systématiquement du mauvais côté de l'empathie, du mauvais côté du jugement. Que certains principes moraux et droits inaliénables soient bafoués ne pose plus vraiment problème, et les médias seront sans doute plus sensibles au délogement des nouveaux occupants qu'au sort de la vieille dame.

    Le collectivisme nouveau est arrivé, celui de militants pleins de ferveur et convaincus de la justice de leur action qui remettent en cause les droits individuels pour donner la priorité à leur conception de la morale. Tous auront le sentiment d'obéir à une justice supérieure quand ils arrachent des plants de maïs ou réquisitionnent des logements occupés, certains n'hésiteront pas à manifester contre un ennemi fasciste fantasque qu'ils incarnent mieux que quiconque, à affronter la police pour dénoncer la violence.

    Ils ont raison : ce qui compte dans la bataille des idées, c'est la cohérence. Les plus collectivistes, les plus violents et les plus actifs, l'emporteront sur les collectivistes modérés qui veulent bien qu'on leur prenne plus de la moitié de ce qu'ils produisent, mais aiment retrouver leur logement dans l'état où ils l'ont laissé.

    Espérons tout de même que les vacances des Français seront bonnes, et que la plupart d'entre eux retrouveront leur logement à leur retour.