Un peu tout - Page 172
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Engraissez l'autre....
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La nature: elle fait ce qu'elle veut... après tout!
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Autan en emporte le vent
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Humour à l'ancienne
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A 3 ans, on découvre que son jumeau s’était développé dans son corps
Un petit garçon de trois ans a dû subir une intervention chirurgicale extrêmement rare au Pérou. Les médecins lui ont retiré son " jumeau parasite " qui s’était développé dans son estomac.
C’est une intervention pour le moins étonnante qui s’est déroulée au Pérou cette semaine. Quand le petit Isbac se fait conduire par ses parents à la clinique Las Mercedes de Chiclayo (Pérou), le garçon se plaint d’horribles douleurs à l’estomac. Il a été emmené à l’hôpital par ses parents alors que ces derniers s’inquiétaient de voir son ventre gonfler. Après une échographie, les médecins ont pu diagnostiquer immédiatement le petit Isbac : " un jumeau parasite " s’était développé dans son estomac.
Le garçon a été opéré immédiatement par une douzaine de médecins. Ces derniers lui ont retiré un fœtus d’environ 25 centimètres et 700 grammes, mais sans cœur ni poumons. Ses yeux, sa masse osseuse et même ses cheveux avaient déjà commencé à se développer. Si la pathologie dont a été victime le petit Isbac semble des plus étranges, elle concerne pourtant une naissance sur 500 000. Nommée " Fœtus-in-foeto ", elle correspond à l’absorption, in utéro, d’une cellule fœtale par l’autre quand la division de l’œuf n’est pas complète. En 2008, une petite fille de 9 ans avait été opérée pour le même type de cas. Les médecins lui avaient alors retiré un fœtus d’une taille de 10 centimètres. Plus étrange encore, il aura fallu 36 ans pour ôter en 2006 à un homme indien son jumeau parasitaire qui résidait dans son ventre. Etrange !
Selon le docteur Carlos Astocondor, qui était en charge du petit Isbac, ces cas de jumeaux parasites ne parviennent qu’une fois sur 500000 naissances de jumeaux.
http://24heuresactu.com/2012/02/02/operation-lenfant-se-fait-oter-son-frere-de-lestomac-video/ -
Holywood en France
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Faux-con.... mais pas trop
En cas de nécessité le poisson-faucon change de sexe à volonté
Des chercheurs de l’Université d’Hiroshima ont découvert chez les poissons faucons une particularité unique. A l’origine femelle, ceux-ci sont capables de devenir mâle si la situation l’oblige puis de retourner à leur sexe d’origine lorsqu’il n’y a plus de nécessité d’accouplement.
Il s’agit d’une performance éthologique encore jamais vue. Des chercheurs de l'Université d'Hiroshima, au Japon ont découvert chez Cirrhitichthys falco, plus connu sous le nom de poisson-faucon une étonnante capacité de changer de sexe avec la plus grande facilité. Cette espèce, qui évolue près des falaises de l’île Japonaise Erabu Koutchino, peut devenir mâle ou femelle à sa guise sans que cette transformation ne soit ni durable ni contraignante.
Les observations menées par les scientifiques sur 29 poissons faucon révèlent que, contrairement à d'autres espèces hermaphrodites génétiquement prédisposées à accueillir en un seul corps les deux sexes, le faucon des mers possèdent à leur naissance une seule identité sexuelle : celle de la femelle. Ceux-ci ont pour mœurs, la vie en groupe mené par un mâle dominant qui détient le privilège de féconder toutes les autres femelles.
Dans le cas où le groupe présente un nombre trop important de femelles pour que celui-ci puisse s’accoupler avec toute, l’une des plus grandes d’entre elles change alors de sexe pour féconder également le reste du clan. Au contraire, lorsque le nombre de femelle redevient à proportion plus faible, le nouveau mâle réemprunte son sexe d’origine plutôt que de gaspiller sa précieuse énergie à affronter le dominant du groupe, une bataille perdue d’avance.
"Cette capacité bidirectionnelle de subir un changement de sexe maximise la valeur reproductive d'un individu", explique à Newscientist Tatsuru Kadota, un des membres de l’équipe de recherche. Selon les chercheurs, la transformation s’effectuerait en un temps record. Il ne faudrait pas moins de quelques minutes pour qu’un faucon des mers change son comportement, quelques jours pour que son corps se transforme et seulement deux semaines pour achever cette métamorphose. -
Un boa femelle sème l’effroi dans un TGV Paris-Marseille
Samedi en fin d'après-midi, dans un TGV Paris-Marseille, un boa femelle mesurant 1,85 mètre, pesant 25 kilos environ, a échappé à la vigilance de son maître et est parti se promener dans les voitures, rapporte RTL lundi.
Le reptile s'est engagé dans une gaine de chauffage au sol, après avoir quitté la caisse de plastique transparent qu'il partageait avec un boa mâle de 80 cm, lequel est resté coi. Le propriétaire - qui voyageait légalement, ayant réglé un ticket animal à la SNCF - a prévenu le contrôleur... Trop tard. Quelques passagers ont senti le reptile glisser au sol entre leurs jambes, selon RTL.
Il a fallu une heure aux marins-pompiers de Marseille pour récupérer l'animal, une fois le train arrêté à la gare Saint-Charles.