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Un peu tout - Page 171

  • Parce que c'est boooooooooo

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  • Fantasme bientôt réalisé?

    Des chercheurs écossais de l’Université de Saint Andrews, ont récemment annoncé la création d’un matériau flexible qui est capable d’agir sur la lumière visible par l’œil humain.

    Pour qu’un objet puisse être invisible, il ne doit pas « absorber » la lumière. Cette dernière doit en effet « couler » et se diffuser autour de l’objet. Pourtant, la lumière a une trajectoire droite. Pour que les ondes lumineuses soient repoussées, il faut utiliser ces fameux matériaux qui restent à concevoir. Ils sont nommés « métamatériaux ».

    Ces derniers existent déjà mais ne marchent qu’à des longueurs d’ondes plus grandes que la lumière visible. Pour le spectre aperçu par l’œil, le défi est beaucoup plus compliqué. En effet, comme sa longueur d’onde est plus courte, il ne peut devenir invisible qu’avec des métamatériaux à structure plus petite.

    Les physiciens qui travaillent sur le projet ont développé leur nouveau matériau avec un polymère banal et un support de silicium. Ils ont obtenu un « Metaflex » suffisamment souple pour être mis sur une lentille de contact ordinaire. Cette membrane peut interagir avec une lumière d’une longueur d’ondes de 620 nanomètres. Il faut savoir que la lumière visible par l’œil humain a une longueur d’ondes comprise entre 400 et 700 nanomètres.

    620 nanomètres correspond à une perception des couleurs orange et rouge. Cela signifie qu’un objet ayant ces teintes peut totalement échapper au regard.

    Les chercheurs estiment que s’ils arrivent à créer de nouveaux métamatériaux capables d’agir sur la lumière pour d’autres couleurs, ils pourraient parvenir à inventer la « cape d’invisibilité » d’Harry Potter en superposant les différentes membranes.

     

     

  • Urbanités

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  • Urbanités

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  • Le trop et le peu gâtent le jeu

    L'addiction au Coca-Cola peut-elle être mortelle?

    Une Australienne, accro au Coca-Cola, est décédée d'une crise cardiaque en février 2010. Selon le rapport médical, sa consommation excessive du soda pourrait avoir provoqué sa mort. 

    Huit à dix litres de Coca-Cola. C'est ce que buvait quotidiennement Natasha Harris, une jeune Australienne installée avec son compagnon en Nouvelle-Zélande. "Elle était accro au Coca-Cola (...) La première chose qu'elle faisait en se levant, c'était de boire un verre de Coca dans son lit et la dernière chose qu'elle faisait avant de se coucher, c'était d'en boire un", raconte son compagnon dans The Guardian.  

    Un régime dramatique qui a, selon le Dr Dan Mornin, déclenché la crise cardiaque qui l'a frappée à seulement 30 ans. Ce médecin attribue son décès à sa surconsommation de Coca-Cola. Cette addiction aurait, selon lui, provoqué une hypokaliémie, c'est-à-dire un taux trop bas de potassium dans le sang, pouvant provoquer des problèmes cardiaques.  

    L'ingestion de fortes doses de caféine, une molécule présente dans le soda, pourrait aussi être responsable de sa mort. D'autant que d'après son compagnon, sa mauvaise hygiène de vie ne s'arrêtait pas là: cette mère de huit enfants mangeait très peu et fumait plus de trente cigarettes par jour.  

    Le Coca-Cola: un vrai additif?

    Le Coca-Cola peut-il donc être un considéré comme une substance addictive et dangereuse à l'instar de l'alcool ou la drogue? "Une addiction biologique à un soda n'est pas scientifiquement prouvée", explique le Dr. Sarah Coscas, psychiatre addictologue à l'hôpital Paul Brousse de Villejuif.  

    "Mais dans le cas de cette femme, une addiction au sucre est possible vues les quantités absorbées par cette personne. Une habitude à vivre sous caféine à haute dose est aussi envisageable, mais ce n'est pas à proprement parlé une addiction."  

    Selon elle, ce n'est donc pas tant la boisson elle-même qui est en cause, mais tout un ensemble de troubles alimentaires qui ont conduit la jeune femme à souffrir de nombreuses carences.  

    Coca-Cola se défend

    Selon le Dr Martin Sage, cité dans The Guardian, ce cas tend pourtant à prouver "qu'une consommation excessive, sur le long ou le court terme, de soda type Coca-Cola peut causer des symptômes dramatiques. Et que les risques sont importants pour qu'ils deviennent fatals". 

    De son côté, Coca-Cola défend évidemment son produit. Karen Thompson, la représentante de la marque en Océanie, a déclaré "nous sommes d'accord avec les informations découlant du rapport sur ce décès. L'ingestion excessive de tous produits alimentaires, y compris l'eau, sur une courte période, additionnée à une mauvaise hygiène de vie et une santé négligée, peut-être considérablement dommageable. Mais une consommation raisonnable de Coca-Cola n'est en aucun cas dangereuse pour la santé". A consommer avec modération.