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Un peu tout - Page 132

  • Et vous croyez que la France est un pays de Liberté... mon oeil!

    Liberté individuelle ? Liberté surveillée !

    L’État et un certain nombre de caisses s’autorisent à consulter l’intégralité de vos comptes jusqu’à dix ans après clôture !

    Par Thibault Doidy de Kerguelen

    Selon l’arrêté du 10 juillet 2014 publié vendredi dernier au JO, les services de l’État et les quelques organismes habilités à consulter Ficoba auront désormais encore accès aux informations concernant un compte bancaire jusqu’à dix ans après sa fermeture. Auparavant, les données n’étaient conservées que trois ans après l’enregistrement de la clôture du compte, « pour les comptes dont le titulaire est une personne physique » précise l’arrêté. Pour les comptes détenus par une personne morale, la durée de conservation était déjà de dix ans.

    Deux nouveaux organismes autorisés à consulter Ficoba

    Si les services habilités à consulter les données sensibles de ce fichier pourront remonter plus loin dans le temps, ils seront également plus nombreux, selon ce même arrêté. Après Pôle Emploi à l’automne dernier, la Direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des dépôts et consignations, et la Caisse de retraite et prévoyance des clercs et employés de notaires viennent s’ajouter à la liste des organismes autorisés à interroger Ficoba.

    Parmi les autres personnes déjà habilitées, les agents du fisc, des douanes, de la répression des fraudes et de Tracfin ont bien-sûr un droit d’accès au fichier afin notamment de « lutter contre la fraude fiscale et le blanchiment ». La Banque de France, les établissements de crédit mais aussi la Caisse d’allocations familiales (CAF) font également partie de cette liste.

    Ficoba est un fichier qui contient des données particulièrement sensibles : selon la Cnil, il recense plus de 80 millions de personnes physiques, françaises ou non, qui détiennent un compte bancaire ou assimilé en France. Il traite chaque année 100 millions de déclarations de comptes.

  • Attention: bientôt la rentrée!

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    Préparez-vous!

    Vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas averti-es!

     

     

  • Suivez, pas à pas, la vraie histoire et recette du cassoulet

    Marre de manger de la bouillasse nommée cassoulet à Toulouse???!

     

    http://cuisine-toulousaine.hautetfort.com/archive/2014/08/12/mes-origines-5426767.html

  • Profitez bien de vos vacances: d'autres n'ont pas la même chance!

    Non-respect de l'accessibilité : 2 500 € de sanction !

    Les établissements recevant du public (ERP) qui ne respecteront pas leurs obligations de mise en accessibilité pour les personnes handicapées dans le temps imparti écoperont d'une sanction de 2 500 euros et pourront être poursuivis en justice, a annoncé la secrétaire d'Etat en charge du sujet, Ségolène Neuville, au journal La Croix. Dans cet entretien à paraître le 10 juillet 2014, Mme Neuville détaille l'ordonnance prévoyant les nouveaux délais imposés dans les lieux publics et les transports. Ce texte sera publié vers la fin de l'été.

    Jusqu'à 45 000 euros d'amende

    "Tous les établissements vont devoir, dans les douze mois suivant la publication de l'ordonnance, déposer des agendas d'accessibilité programmée (Ad'AP) en préfecture indiquant la programmation des travaux", rappelle Mme Neuville. "S'ils ne le font pas, ils écoperont d'une sanction de 2 500 euros et retomberont sous le coup de la loi de 2005 qui prévoit des poursuites pénales et 45 000 euros d'amende", ajoute-t-elle. Elle rappelle aussi que "la règle de base" sera un délai de mise en conformité de trois ans, "qui concernera 80% des ERP, ceux ayant une capacité d'accueil inférieure à 200 personnes". Les communes sous tutelle ou les entreprises en redressement judiciaire "pourront bénéficier de trois ans supplémentaires", indique Mme Neuville. Plaidant pour des "objectifs atteignables", elle rappelle que les délais de six ans concerneront "les plus gros ERP et les propriétaires de plusieurs petits établissements". Ceux de neuf ans concerneront "le transport ferroviaire, le patrimoine complexe et l'Etat".

    Certaines normes simplifiées

    Ce sont les "services de l'Etat" qui seront chargés de valider les agendas et de contrôler leur mise en œuvre. Il faudra "prendre en compte tous les handicaps", assure la ministre, évoquant par exemple la nécessité d'installer dans des salles de réunion des boucles magnétiques pour les personnes malentendantes. A l'inverse, "certaines normes vont être simplifiées", indique-t-elle. Par exemple, "dans les hôtels, il ne sera plus nécessaire qu'une personne en fauteuil puisse faire tout le tour du lit. Car si vous demandez des choses trop compliquées, vous finissez par ne rien obtenir".

     

    NDLR: bandes de débiles qui nous gouvernent! vous ne savez pas ce qui vous pend au nez....car, souvent, les gens en fauteuils ont été ce que vous êtes, et vous serez plus vite que vous ne le pensez, ce qu'ils sont!

    .... Si vous m'en croyez.... Cueillez, dès aujourd'hui, les roses de la vie (F. Villon)

     

    Les principales associations du handicap ont été consultées pour la rédaction de l'ordonnance. Mais les nouveaux délais prévus ont provoqué la colère de certaines, notamment l'Association des paralysés de France (APF).

     

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  • zavez pas vu Marion? on l'a cherche partout!!!!

    Marion ? Il vous aime !

    Avenue Pierre-Brossolette, à Troyes, un riverain a décidé de déclarer sa flamme… en grand ! Sur le mur d’une maison, l’amoureux transi a tendu un drap blanc et déclaré sa flamme… en rose. "Marion, je t’aime :)", a-t-il ainsi écrit.

    Un message auquel un autre petit malin a déjà répondu : "Nous aussi on l’aime ta Marion".

    Marion, vous qui lisez sûrement notre journal, répondez-lui ! Mais, pour cela, pensez aux petites annonces… Ne dit-on pas " pour vivre heureux, vivons cachés "?

     

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  • Dans la série: je dois nourrir mon blog...

    Journée nationale des gauchers

    Qu'ont en commun Jules César, Jimi Hendrix, Bill Gates, Albert Einstein, Léonard de Vinci, Lord Robert baden-Powell et Ernö Rubik, l'inventeur du Rubik's cube ? Ils sont tous gauchers...

    Une journée nationale leur est consacrée, et c'est le 13 août  qui leur est dédié.

    Ils "ne" représentent "que" environ 12% de la population, mais les gauchers ont toujours fait l'objet de nombreuses idées reçues.

    Longtemps considérés comme des anormaux, les écoliers gauchers étaient incités à utiliser leur main droite pour écrire et dessiner.

    Aujourd'hui, les mentalités ont évolué et être gaucher est même parfois considéré comme un avantage dans certains domaines, comme le sport par exemple.

    La différence entre droitiers et gauchers se trouve au niveau du cerveau ou, en termes plus techniques, de la latéralité, c'est-à-dire le fait de préférer un membre double à l'autre, la main gauche à la main droite par exemple.

    Un site à visiter : www.lesgauchers.com

  • Pour ceux qui ont plus de 2 neurones, là-haut!

    et qui, en arrivant à la fin de la note, auront compris ce qu'elle raconte :-)

    Bien évidemment, j'ai mis en exergue ce qui m'a plut dans l'article!

     

    Médias, propagande et aliénation de l’esprit critique

    Nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’ils tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

    Par Marc Suivre

    Le mercredi 10 septembre prochain, Sophie de Menthon et le mouvement Ethic organisent un colloque sur le thème : « Les médias sont-ils devenus fous ? » À cette occasion, l’Institut Turgot a demandé à Marc Suivre si ce sujet, particulièrement adapté à son humour caustique et à son franc parler, lui inspirait quelque réflexion. Voici sa réponse.

     « Les médias sont-ils devenus fous ? » En creusant le sujet, et notre cervelle par la même occasion, on commence par se demander, avec insistance : pourquoi « devenus » ? Les journalistes, à bien y regarder, ne comptent pas au nombre des personnes les plus saines d’esprit de ce pays. Leurs réflexes sont pavloviens. Ils sont toujours prompts à dénoncer chez les autres ce qui est la règle chez eux : recrutement opaque, copinage, promotion canapé, promiscuité incestueuse avec les politiques, passion pour la stigmatisation… J’en passe et des meilleures.

    Alors oui, nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’elles tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

     De l’ombre à la lumière

    Pour mieux comprendre la folie des journalistes, il faut comprendre deux choses. La première c’est qu’ils sont beaucoup plus à gauche que la population qu’ils sont supposés informer. La seconde qui découle – oh surprise ! –  de la première, c’est l’obsession du politiquement correct qui sert de boussole à tout ce petit monde endogame.

    Tout commence en 1981 avec l’arrivée de « Tonton ». Avant, nous vivions dans l’ombre de la dictature Giscardo-Gaullienne (c’est bien connu) et l’odieuse censure empêchait nos braves Rouletabille de laisser libre cours à leurs penchants progressistes. Tous ceux qui ont vécu cette période savent ce que ce « storytelling » a d’inepte. Une légende (traduction française de l’insert anglo-saxon précédent) a beau être idiote, plus elle est répétée, plus elle prend corps. Surtout, à mesure que disparaissent les témoins susceptibles de l’infirmer, elle tend à devenir une vérité. Le baratin autour de la libération qu’a représenté le 10 mai 1981 n’existe, en réalité, que pour masquer la chasse aux sorcières éhontée entreprise, dans la profession, par les socialistes et leurs affidés dans les années qui ont suivi « le passage de l’ombre à la lumière ». Mais chut ! C’est le secret le mieux gardé de la France soviétique.

    Les journalistes de droite, traités comme de vulgaires collabos, ont été pourchassés jusqu’au fond des toilettes de leurs rédactions respectives (pour reprendre une image russe qui a fait florès). Une dictature de la bien-pensance s’est alors installée, parallèlement à la montée du Front national. Tout ce qui ne pensait pas comme il fallait était accusé de complaisance avec les zheures-les-plus-sombres-de-notre-histoire et, partant, décrété infréquentable, raciste. Aux Zélotes la fortune et la gloire télévisuelle (Canal + est le temple des fidèles), aux mécréants la déchéance, l’opprobre et la ruine (Cinq you la Cinq).

    Car il n’y a pas qu’en matière politique que le conformisme journalistique agit. La relation qu’entretiennent nos médias à l’économie de marché est aussi réaliste que celle qui unit Chavez au progrès social et elle explique très bien pourquoi la droite n’a jamais dépassé son horizon étatiste, malgré l’échec patent de notre « modèle social ».

    Le marché est, en France pour les journalistes, un instrument démoniaque d’aliénation là où, partout ailleurs sur la planète, il est un simple lieu de rencontre entre l’offre et la demande. Chez nous, le présenter ainsi est un péché contre l’esprit des lumières, une preuve de votre affiliation aux puissances de l’argent bref, une pensée déviante. Vous aurez certainement remarqué que, dans nos journaux, les libéraux et le libéralisme n’apparaissent que nantis du préfixe « ultra ». Bien peu nombreux sont, du reste, les lecteurs qui saisissent l’allusion à la Restauration (la période de l’histoire de France, pas le complément à l’hôtellerie) et à la Chambre introuvable (là encore rien à voir avec le guide Michelin). Peu importe la culture, seul compte le résultat et les « ultras » sont plus communément assimilés à l’outrance. Si les trains déraillent ou se rentrent dedans en Grande Bretagne c’est la faute à l’ultralibéralisme alors que chez nous… C’est la faute à pas assez de service public ! Attentifs comme vous l’êtes, vous aurez sûrement remarqué que ce terme d’ultra ne s’applique jamais à l’islamisme qui n’est qu’une version un tout petit peu excessive d’une Religion fondée, par ailleurs, sur la paix et la tolérance… Comme le constatent quotidiennement les Chrétiens d’Orient.

    Si les journalistes ultracisent à qui mieux mieux tout ce qu’ils se sont donnés pour mission de détester et de faire détester, c’est qu’en France, depuis les Jacobins : il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Appliqué à l’économie politique ça donne le discours du Bourget délivré par Pépère, lors de sa campagne présidentielle. Ce tissu d’âneries n’a pas eu d’autre raison d’être que celle de brosser dans le sens du poil tous les résistants en peau de lapin que compte notre classe jactante. La presse française se voit, en effet, pêle-mêle comme héritière et garante :

    ◾de la Révolution

    ◾des Droits de l’Homme

    ◾des acquis sociaux

    ◾du Service Public

    Le tout se résumant dans l’indépassable droit d’en foutre un minimum pour un profit maximum et son corollaire : le droit légitime de l’État à pomper toutes les ressources disponibles afin de garantir que ce bordel ne cesse jamais. Dans ces conditions, il n’y a rien d’étonnant à ce que tout ce que ce milieu compte de buses se soit mis à idolâtrer l’andouille de Tulle quand ce dernier déclara que son ennemi c’était la finance et à ce qu’ils aient applaudi, comme le premier crétin des Alpes venu, devant le projet – forcément génial – de taxer à 75% tous ceux qui touchent plus d’un million par an.

    Internet voilà l’ennemi

    Pareil aveuglement partisan conduit généralement à un réveil brutal car on ne peut pas impunément diverger sans arrêt du quotidien de ses contemporains. Pourtant, comme il est plus doux de rêver, nos médias refusent obstinément de se réveiller et avalent force Temesta pour y parvenir. Sous nos latitudes, ce médicament est prescrit par l’État sous le nom générique d’aides à la presse.

    Les lecteurs d’une presse à sens quasi unique désertent les journaux à mesure que grandit le fossé entre ce qu’ils voient et ce qu’ils lisent. Nous réussissons ce tour de force inouïe d’avoir une presse d’autant plus subventionnée par l’État qu’elle perd des lecteurs par wagons entiers. Au nom de la « liberté d’informer de désinformer », l’État paye grassement des journalistes, avec nos sous, pour nous écrire la légende d’un pays qui n’existe plus.

    Il en va de même sur les radios et à la télévision. À défaut de pluralisme, vous ingurgitez la même soupe faite de bons sentiments, très dans l’air du temps. L’audiovisuel ne vous informe plus qu’à la marge, mais en revanche vous rééduque vigoureusement. Aux spots de pubs de tous les ministères inutiles qui vous somment de manger 5 fruits et légumes par jour, s’ajoutent les campagnes destinées à vous faire accepter votre condition de délinquant de la route en puissance ou votre statut d’exploiteur des rares ressources de la planète. Toutes ces campagnes onéreuses sont autant de subventions publiques glissées dans les poches profondes des « entrepreneurs » du spectacle de l’information et destinées à compenser les pertes dues à l’érosion continue de l’audience, consécutive à la montée en puissance d’Internet.

    Car nos propagandistes ne s’y sont pas trompés. La vraie menace sur leur rente de situation ne vient pas du grand soir hypothétique d’une droite dotée des attributs de virilité nécessaires au nettoyage des écuries d’Augias. Non, de ce côté-là, il n’y a rien à craindre des eunuques du sérail ! Le grand danger vient de cette nébuleuse incontrôlable qu’est l’internet. Pensez, tout un chacun peut prendre la plume et rapporter les faits sans les précautions d’usages œillères réglementaires dont sont dotés les journalistes « professionnels ». Les Français se passionnent pour ces nouveaux médias, moins prompts à leur cacher ces vérités qui ne sont jamais bonnes à dire. Il convient donc, dans la logique liberticide qui préside à la préservation de tout monopole national, de « réguler » Internet. Les plus allants de nos « combattants de la liberté » par le stylo bille vont même jusqu’à louer le gouvernement chinois pour ses aptitudes libérales en matière de contrôle du web.

    C’est ainsi que nous en arrivons à des aberrations qui font qu’une candidate éphémère du Front national, primo délinquante, se voit condamnée à 9 mois de prison fermes pour injure raciale sur internet, pendant que l’on relaxe quantité de dealers, voleurs et violeurs en tous genres. Le tout sous les applaudissements, presque unanimes, des plumitifs qui tiennent enfin leur « bête immonde ».

    Dans la même semaine, les jeunes victimes du racisme intrinsèque de la société française attaquent des synagogues et mettent nos quartiers à feu et à sang aux cris de « mort aux Juifs » (slogan ô combien humaniste et original, on en convient), au nom d’une guerre qui se déroule à plus de 4 000 kilomètres. Pour nos journalistes, la cause est entendue : c’est la faute à Internet.

    Pas un d’entre eux pour s’interroger sur le fait qu’il y a à peine un an, on emprisonnait préventivement des pères de famille qui avaient le mauvais goût d’arborer un pull siglé d’une famille stylisée se tenant par la main. Pas un pour se demander pourquoi le ministre de l’Intérieur de l’époque mobilisait des effectifs démesurés pour encadrer des manifestations pacifistes et pourquoi, le même, devenu Premier ministre s’est montré incapable d’empêcher le déroulement de manifestations propalestiniennes qu’il avait pourtant interdites ?

    Nos journalistes sombrent dans la schizophrénie la plus avancée, à force de ne voir le monde qu’avec le côté gauche de leur cerveau. On ne compte plus les jours sans que nos médias ne nous enfument avec des histoires à dormir debout afin d’être sûr de ne pas parler des sujets qui préoccupent les Français. Il est d’ailleurs cocasse que journaliste soit la profession la plus mal considérée par nos compatriotes, juste après celle de politicien. Dans ces conditions, il n’est plus besoin de s’interroger bien longtemps. Oui nos médias sont fous et ça ne va pas en s’arrangeant.