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Mieux que de fumer la moquette de l'Elysée.... mais, comme beaucoup de sinistres, il risque de l'emporter en partant, manière d'avoir un souvenir de sa Très Haute Réussite!
Laissons-les picoler.... cela fait de la pub au pinard français!
PS: je t'ai mis l'adresse dans la carte Gougueule...
À Paris, une voiture est enlevée par la fourrière toutes les deux minutes. Leurs cibles privilégiées: les quartiers “bourgeois” car ils sont sûrs d’être payés et ne risquent pas de violence physique. Peu de fourrières à Clichy, Gennevilliers ou à Trappes. Un tuyau : les vautours hésitent à enlever une voiture qui a une vitesse enclenchée et le frein à main.
Robin est un écolier mahorais ce qui signifie qu'il est, comme chacun le sait, de Mayotte. Il va à la petite école du village de Koungou, un petit village qui a peu de moyen alors dans la classe de Robin, il n'y a que des chaises pourries et des tables branlantes. Robin est malheureux à cause de cela: pour 31 élèves il n'y a que 20 places assises. Alors, comme il n'est pas aussi con qu'il en a l'air, il se décide à écrire à l'homme qui a fait de la jeunesse sa priorité: Président! Et lui demande l'envoi de 18 tables et 36 chaises.
Tel un galet qui ricoche sur l'eau, le contenu de la lettre, de bureaux de postes en twitter, rebondit sur la toile pour atterrir finalement dans l'oreille du grand homme. L'affaire est jugée suffisamment importante pour que Président donne consigne à sa chef de cabinet de traiter ce dossier devenu prioritaire. Et quelques jours après, le quotidien France Mayotte est content de relater l'affaire: les chaises et les tables ont été envoyées... Elles arrivent! J'imagine la joie de Robin! D'autant plus que le service de communication de l'Elysée prévient la terre entière et confirme par un tweet adressé au frère de Robin:
Aucun doute, Président est un grand homme et pense à tous les Français, d'où qu'ils soient. Sauf que, car vous en doutez bien il y a un sauf que, si les chaises et les tables sont bien arrivées à l'école du petit Robin, ce n'est pas l'Elysée qui les a envoyé, ni personne de métropole. Les chaises et les tables, sur la photo, sont bien celles qui ont été livrées à l'école mais ce cadeau du ciel n'a rien de présidentiel.
C'est tout simplement la commune de Koungou qui les a acheté! Ce qui permet au journal France Mayotte, dans son édition de ce vendredi 22 avril, de transmettre le communiqué de la municipalité de Koungu:
" Vous croyez sincèrement que François Hollande sait où se trouve Koungou et que c'est lui qui a financé le mobilier ? C'est la mairie qui a passé un marché, attribué à une entreprise locale qui a fait en sorte que des chaises soient arrivées. La mairie a financé sur fonds propres et cela n'a rien à voir avec l'Elysée. " Et pour donner plus de crédit à sa dénonciation, le maire joint les copies des appels d'offre, de l'avis d'attribution et la preuve qu'elles ont été financées sur les fonds propres de la commune.
Résultats des courses: la mairie de Koungu est furieuse que l'Elysée ait voulu, par un tweet habilement rédigé, s'attribuer ce bienfait, Président et ses services, en plus d'avoir menti, passent pour des andouilles et le petit Robin voit s'envoler une de ses illusions: Président n'est pas le père Noël!
Et France Mayotte après avoir écrit " Scandaleux mensonge [de l'Elysee] "de conclure par: "Il serait toutefois préférable que le président accorde des dotations globales aux communes mahoraises, cela éviterait sans doute aux enfants de sombrer dans la mendicité." ...
Quand je vous dis que cette équipe qui nous dirige n'est composée que de branquignols, vous me croyez maintenant?
mais sachez que je trouve ces gens dégueulasses; ayant le brevet d'icône de la gauchiasse, ils vont désormais se permettre des dégueulasseries encore plus indécentes: la chiasse coule sans retenue.
Attendu ce mercredi 30 mars dans les kiosques, le journal satirique s'attire déjà les foudres du public français et étranger sur les réseaux sociaux. La raison? Une couverture jugée "irrespectueuse" parodiant les tragiques événements du 22 mars dernier en
Serait-ce la une de trop pour Charlie Hebdo? Le journal satirique, lui aussi tragiquement victime d'attentats le 7 janvier 2015, n'est pas encore sorti dans les kiosques qu'il promet déjà de faire polémique en France et en Belgique. Connu pour ses reprises très critiques de l'actualité, l'hebdomadaire a choisi de revenir avec beaucoup de sarcasmes sur les attentats de Bruxelles survenus le 22 mars dernier.
Loin de s'être censuré, le dessinateur Riss a, pour illustrer le tragique événement qui a fait 35 morts et plus de 300 blessés, dessiné le chanteur Stromae entouré de membres tailladés et charcutés sur fond d'un drapeau belge. Un clin d'oeil à l'actualité d'autant plus morbide que l'artiste a perdu son père lors du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994.
"Papa où t'es?" demande l'interprète du tube planétaire Papaoutai. "Ici", "Là", "Et là aussi", répondent en chœur des bouts de corps, vraisemblablement déchiquetés par les bombes qui ont explosé à Bruxelles la semaine dernière. Loin s'en faut d'être revenu sur les attentats belges, Charlie Hebdo a littéralement mis en pièces la question des attentats.
Une réponse "vulgaire" qui n'est pas du tout du goût des internautes, qui n'ont pas manqué de faire savoir leur mécontentement sur Twitter.