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Humour - Page 21

  • Cherchez pas docteur…

    Une femme russe de 24 ans se marie avec son attaché-case

    Rien n’est impossible à la décadence. Attirée sexuellement par les objets, une femme russe, Rain Gordon, a décidé de s’unir avec son attaché-case, qu’elle a prénommé Gideon.

    Cette enseignante en école maternelle complètement loufoque a rencontré sa mallette fétiche aux reflets métalliques dans une quincaillerie en 2015, comme elle le révèle au quotidien britannique The Mirror. Celle qui croit à l’animisme et aux objets qui seraient dotés d’une âme a décidé d’officialiser sa relation au mois de juin. Une célébration animée par un ami, et qui n’est donc pas officielle aux yeux de la loi russe.

    Rain Gordon a avoué être déjà tombée amoureuse du centre commercial de sa ville. "Ma fascination pour les objets a commencé à l’âge de 8 ans, a-t-elle expliqué. Pendant mon enfance et ma petite adolescence, je suis tombée amoureuse d’endroits.

    "Une véritable obsession pour les objets et lieux, qui a donc pris une nouvelle tournure. Et le mariage avec sa mallette a déjà été consommé. "Nous avons partagé notre premier câlin et notre premier baiser, et nous avons passé plus de temps ensemble le soir et la nuit", a-t-elle encore détaillé au quotidien.

    Cette jeune Russe espère voir l’objectophilie reconnue et, pourquoi pas, son mariage validé officiellement.

    Peut-être pourra-t-elle proposer cette idée à certains députés français “progressistes” qui ont présenté le projet de loi sur l’adoption par les couples de concubins, et aux autres partisans de la PMA et GPA sans père. Son projet de vie sera entendu avec grand intérêt. "Le père peut être une grand-mère", selon Agnès Buzyn, alors pourquoi une vieille mallette chinée ne pourrait-elle pas être un époux? Le monde marche décidément sur la tête.

  • Amusant!

    Pour ne plus être viré de Facebook, utilisez le HiéroFaf !

    L’ecaffiticé du HiéroFaf est fodneé sur l’alynase sanuivte :

    Texte transformé              

    Une étdue de l'uirveistné de Cgbdmirae a mtroné que l'on puet sans plobmère lire un txtee dnot les ltretes sont dnas le drosédre pour peu que la pèiemrre et la dèirenre lertte de cuhqae mot resnett à la bonne pacle. Ccei montre que le cereavu ne lit pas tuteos les lerttes mais prend le mot cmome un tuot. La prueve : aoeuvz que vuos n'avez pas eu de mal à lire ce txete.

    Une étude de l'université de Cambridge a montré que l'on peut sans problème lire un texte dont les lettres sont dans le désordre pour peu que la première et la dernière lettre de chaque mot restent à la bonne place. Ceci montre que le cerveau ne lit pas toutes les lettres mais prend le mot comme un tout. La preuve : avouez que vous n'avez pas eu de mal à lire ce texte.

    Puor étevir à lvena’ir de nveoulles déenconvues, nh’sitéez pas à uistiler le HiéroFaf, un cdoe à prrioi itndércpyable par les aiotgrhelms, mais tuot à fiat lipimde puor le ceervau hmiaun, aevc un miinumm de’nîntrameent.

    Imngiaez une suele de ces phasres en cliar… Cs’et le ban agagvaré, viore dfiétinif ! Edimmveent, si vuos pbliuez des pthoos ou reneprez des txtees en cliar qui “ne rsepcteent pas les Sntadrads de nrote cmmouunaté“», là, le HiéroFaf ne prroua rein puor vuos

    Moins on réfléchit à comprendre ce qui est écrit, plus on peut le lire et le comprendre vite !

    Atiméis à vuos tuoets et tuos, fturu(e)s hreeusues hiérofafeuses et hreeuux hiérofafeurs!

  • Hé oui!

    ... et les blouses, et les charlottes, et les tests...

    sans parler des lits d'hôpitaux, des infirmiers, des infirmières, des médecins de campagne....

  • Le trop et le peu gâte le jeu!

    Paris condamné… pour discrimination!!!

    En 2018, les nominations de cadres dirigeants ont concerné onze femmes et seulement cinq hommes. Résultat, la Mairie doit payer une pénalité de 90 000 euros.

     

    A la Mairie de Paris, trop de femmes sont nommées à des postes de direction. Tel est le reproche inattendu fait par l’Etat à l’équipe de la maire socialiste Anne Hidalgo. Reproche assorti d’une sanction : faute de promotions équilibrées entre hommes et femmes, la Ville de Paris doit payer 90 000 euros au titre de l’année 2018. Et dire que les élus croyaient bien faire…

    www.lemonde.fr