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Choses - Page 9

  • Noël, Noël, la fête magnifique!

    Quelle est la signification du mot Noël?

    Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël, mais notre guide conférencière, Marie-Thérèse Garcin, a une préférence pour l’une d’entre elles. Le mot Noël, apparu au 12 e siècle, vient du latin "natalis" qui signifie relatif à la naissance. Noël est donc la fête qui commémore la naissance de Jésus né, selon le Nouveau Testament, à Bethléem.

    Depuis, Noël a dépassé sa signification religieuse. C’est devenu une fête civile, sociétale, correspondant à un moment de partage. Elle est fêtée par de nombreuses familles, même celles qui n’ont aucune tradition chrétienne.

    Pourquoi a-t-on choisi de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre?

    Depuis la nuit des temps, les hommes ont célébré les solstices (hiver et été), c’était pour eux l’occasion de réjouissances. Pour le solstice d’hiver, on offrait du miel, des gâteaux, de l’or. Les maisons étaient décorées de gui, de houx.

    Ces fêtes païennes, antérieures à la tradition chrétienne, permettaient de faire face à la nuit la plus courte de l’année, annonciatrice des jours qui allaient rallonger, avant que la végétation reparte pour un nouveau cycle.

    C’est au IVe siècle que l’Eglise chrétienne a décidé de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre, date du solstice d’hiver dans le calendrier julien. Son objectif était de détrôner la fête païenne. Aujourd’hui, après l’introduction du calendrier grégorien, au XVIe siècle, la date a été décalée au 21 décembre.

    Quelle signification a la bûche à Noël?

    Une autre tradition liée au solstice d’hiver est celle de la bûche de Noël. Là aussi, cela remonte à la nuit des temps. Pour faire face à la nuit la plus longue de l’année, rien de tel qu’une bûche pour entretenir le feu et mettre de la lumière dans la maison.

    Dans la tradition chrétienne, on faisait brûler dans l’âtre une très grosse bûche lors de la veillée de Noël. Elle provenait d’un arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l’année suivante.

    Dans certaines régions, comme en Bourgogne, la bûche était arrosée de vin afin d’assurer une bonne vendange à venir. Dans d’autres, on utilisait du sel pour se protéger des sorcières. Cette bûche devait se consumer très lentement et la tradition voulait que l’on conserve les tisons pour préserver les maisons de la foudre.

    Aujourd’hui, cette bûche a pris la forme d’un dessert indissociable des fêtes de Noël.

    Pourquoi le sapin est-il associé à la tradition de Noël?

    Le sapin de Noël puise son origine dans la tradition celte. En effet, pour les Celtes le 24 décembre était le jour de la renaissance du soleil. Pour eux, chaque mois (lunaire) était associé à un arbre et décembre l’était à l’épicéa, un arbre qui reste vert même en hiver.

    Cette tradition païenne qui s’était perdue a resurgi dans l’est de la France, notamment en Alsace, au 16e siècle et a été assimilée à la fête chrétienne. Mais c’est surtout la reine Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, qui a lancé le rite du sapin à Noël en en installant un à Versailles en 1738.

    Le Père Noël a-t-il toujours été associé à la fête de Noël?

    Le Père Noël doit beaucoup à saint Nicolas célébré dans l’est de la France et dans les pays du nord de l’Europe depuis le 12e siècle.

    Depuis, dans la nuit du 5 au 6 décembre, saint Nicolas, vêtu de son habit d’évêque, voyage à dos d’âne pour passer dans les maisons distribuer des friandises et des cadeaux aux enfants sages.

    C’est un pasteur américain, un certain Moore, qui a donné naissance au Père Noël, dans un conte qu’il a écrit pour ses enfants en 1821. Il le décrit comme un homme dodu, sympathique et jovial habillé de vert qui se déplace dans un traîneau tiré par huit rennes. C’est le caricaturiste Thomas Nast, un autre Américain, qui revêt le Père Noël d’un habit rouge garni de fourrure blanche et le domicilie au pôle Nord.

    En Bourgogne, l’ancêtre du Père Noël était, il n’y a pas si longtemps, encore, le Père Janvier. Il était représenté sous la forme d’un vieillard, habillé d’une robe de bure marron, qui venait distribuer les cadeaux qu’il portait dans sa hotte dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Lui aussi passait par la cheminée. Cette tradition a perduré jusque dans les années 1930.

    Gastronomie et fêtes de Noël ont-elles toujours été liées?

    Manger des mets raffinés tel que le foie gras, les crustacés, les huîtres… est une tradition récente. Par contre, manger de la volaille, de la dinde ou une oie remonte à plus longtemps. En effet, les volailles (particulièrement les oies) étaient des symboles solaires garantissant protection à ceux qui en mangeaient. Les volailles de Bresse se retrouvent sur de nombreuses tables à Noël.

    Pourquoi utilise t-on le vert, le rouge, le blanc et le doré pour les décorations de Noël?

    Aujourd’hui, les décorations de Noël, comme le reste, ont tendance à suivre les courants de la mode. Malgré cela, le vert, le rouge, le blanc et le doré restent les couleurs traditionnelles qui ont une valeur symbolique :

    – le rouge car c’est la fête, la chaleur.

    – le vert car il rappelle le sapin et le houx: la légende veut que lorsque la Sainte Famille fut contrainte de quitter l’Egypte, elle se dissimula derrière des branches de houx. En guise de reconnaissance, Marie l’aurait béni en annonçant que le houx serait éternellement symbole d’immortalité.

    – le blanc symbolise la neige, la pureté, la naissance de Jésus.

    – le doré représente la couleur de l’étoile, symbole de lumière et d’espérance. […]

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/sapin-buche-pere-noel-quelles-sont-origines-toutes-ces-traditions-noel-1760363.html

  • CE QUE PERSONNE NE DIT:

    Tous les salariés français payent deux fois pour les saint-diktats

    … même s'ils n'ont pas la carte et abhorrent les saint-diktats… QUI NE SERVENT A RIEN DE RIEN

    le pire, ceux qui sont encartés payent une troisième fois!

    Voici comment:

    Avant 2014, les saint-diktats se goinfraient n'importe comment, faisant feu de tout bois: soit-disant vente du muguet, faux-adhérents ou obligation de payer des pubs de complaisance dans les journaux d'entreprises et autres chantages divers aux patrons (tu payes -en espèces de préférence- où on te fout la grève perpétuelle dans ta boîte… Cf le scandale du Médef il y a quelques années)… Mais, bien sûr, la grève, ils la faisaient!

    Puis une loi de  mars 2014 a institué le Fond pour le Financement du Dialogue Social (sic, il fallait l'inventer!!!): taxe de 0,016% sur la masse salariale de l'entreprise (donc, votre salaire et, ne vous étonnez pas s'il n'augmente pas beaucoup, car plus on augmente la masse salariale plus l'entreprise paye cette taxe (environ 94,3 millions d'euros net en 2018) et, vous comprendrez que les patrons ne sont pas très chauds pour être encore plus ponctionnés).

    Ce fond est augmenté d'une taxe supplémentaire sur l'entreprise qui doit impérativement l'abonder sur ses fonds propres.

    Ce fond est, de plus, engraissé d'une somme importante de 32,6 millions -versée par l'état-  donc par LES IMPOTS DE TOUS LES FRANÇAIS et toutes les autres taxes diverses et avariées: sur les cabanons du jardin, de la TVA, sur les piscines, sur le carburant etc…

    (comme disait l'autre: tu sème un fonctionnaire de Bercy dans le jardin et il pousse des taxes, je dirai même plus: des tas de taxes nouvelles et anciennes).

    (Quand vous êtes pris pour des (con…) moutons sur le quai de la gare, ils doivent bien se marrer les camarades syndiqués!!!).

    Et ENFIN, les idiots inutiles qui veulent se donner de l'importance et qui adhèrent et donc, payent leur carte aux saint-diktats (et là je ne parle pas des malfaisants qui veulent uniquement l'argent du beurre et se présentent aux élections syndicales, pas pour vous défendre croyez-moi!*)….

    SAVOIR: ce fonds a versé:

    19,5 millions à la CFDT

    18,9 millions à la CGT

    13,1 million à la CFE-CGC

    12,8 millions à la CFTC

    et des clopinettes pour les organisations syndicales patronales qui -bien évidemment- sont elles aussi des syndicats… et c'est normal que les patrons se fédèrent pour contrer de leur mieux ces rapaces des saint-diktats.

    *Savoir aussi que vos représentant syndicaux sont payés par les patrons ce qui représente l'équivalent de 1903 postes à plein temps de faignants et faignantes qui se la coulent douce en vous faisant croire qu'ils et elles se préoccupent de vos problèmes!

    Voilà, j'ai tout expliqué d'après un article de Valeurs Actuelles du 5 décembre.

     

    J'ai dis Valeurs Actuelles et pas Valeurzactuelles.

    On lit ce qui est écrit et on articule les deux mots à part: c'est ce qui fera la différence lorsque vous serez devant un employeur et que 500 candidats se disputent un emploi!

     

  • C'est pas du rata!

    asourisenfant.jpg

     

    Un garçon de deux ans recrache une tête de souris d’un biscuit Nutella: " Une odeur s’apparentant à celle de la mort se dégageait de sa bouche "

    Ce qui devait être pour lui un plaisir de déguster une friandise s’est transformé en cauchemar pour un petit Athois de 2 ans

    Immonde! Il n’y a pas d’autre adjectif pour évoquer la mésaventure alimentaire dont a été victime ce mercredi après-midi, à Huissignies (Chièvres), un petit garçon d’à peine deux ans. Alors que son jeune tonton partageait avec lui un biscuit B-ready de la marque Nutella acheté dans les rayons d’une grande surface, le bambin s’est mis à faire la grimace, avant d’accomplir de gros efforts pour expulser ce qu’il avait dans sa bouche.

    “Surprise car c’est un grand gourmand, sa mamie lui a directement tendu un mouchoir pour qu’il recrache ce qui était censé être un morceau de biscuit. Une odeur s’apparentant à celle de la mort se dégageait de sa bouche. A l’intérieur du mouchoir se trouvait quelque chose de couleur noire. Ma belle-mère est devenue toute blanche après avoir compris qu’il s’agissait d’une tête de souris”, témoigne sa maman, horrifiée et encore sous le choc, sur sa page Facebook.
    […]

    DHNet

     

  • Vive la Saucisse de Toulouse!

    Royaume-Uni: à la demande d’étudiants vegans l’université de Cambridge fait retirer une peinture du XVIIe prêtée par un musée

    Certains étudiants de l’Université de Cambridge auraient peut-être pu considérer comme un privilège de manger sous une peinture à l’huile du 17ème siècle. Mais pas si les élèves sont végétariens ou vegan, et que l’œuvre met en vedette des animaux destinés à la table du dîner.

    The Fowl Market, de l’artiste flamand du 16ème siècle Frans Snyders, a été retiré de la salle à manger de Hughes Hall à la suite de plaintes selon lesquelles il dégoûtait de leur repas les non-consommateurs de viande.

    Le tableau présente une collection d’animaux morts, dont un cygne, un sanglier, un cerf et divers gibiers à plumes.

    Il avait été prêté à long terme par le Musée Fitzwilliam. […]

    The Telegraph

    Quand on est si désespéré de la vie, au point de martyriser son corps, à quoi bon vivre?