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INSOLITE et DEJANTES - Page 411

  • N'AYEZ PLUS PEUR DU NUCLEAIRE!

    Se protéger NATURELLEMENT, sans risques et pas cher de la radioactivité de la centrale nucléaire

    A force de me poser des questions, j'ai trouvé le moyen le moins cher et le plus efficace de nous protéger désormais de la radioactivité que nous allons subir pendant des décennies à causes des centrales nucléaires passées, présentes et à venir. Je vous présente ma solution personnelle: pas chère et donc légère à notre portemonnaie et efficace

    Origines du plasma de Quinton: René Quinton est un biologiste français né en 1857 et décédé en 1925. En 1904, il a publié un livre "L'eau de mer, milieu organique", fruit de tout son travail.

    Suite à ses recherches en biologie, René Quinton est le premier à remarquer que notre milieu organique, les liquides dans lesquels baignent toutes nos cellules, est en osmose avec le milieu marin. après des années de recherche, René Quinton détermine les caractéristiques climatiques et géographiques propres au prélèvement de l'eau de mer pour le bienfait de l'organisme humain et de l'organisme animal. René Quinton démontre la similitude de la composition du plasma sanguin et de l'eau de mer et, sur cette base, crée le plasma marin qui porte son nom. René Quinton obtient des succès extraordinaires tout d'abord sur les chiens, puis chez les femmes enceintes, puis chez les bébés qu'il sauve par dizaine de milliers, puis chez les enfants et les adultes de tout âge.

    Son œuvre tombe malheureusement dans l'oubli au moment de la Première Guerre mondiale. Puis les docteurs Jarricot, Macé, Potocki et d'autres reprennent et développent les recherches. La deuxième Guerre mondiale a ralenti les travaux de recherches sur le plasma marin. Ceux-ci sont cependant repris avec un intérêt renouvelé dans les années cinquante par des Européens, qui développent son administration orale et plus tard par les américains. Aujourd'hui, on utilise le plasma marin comme supplément alimentaire avec un grand succès en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique latine.

    Au bout de longues années d'étude de biologie générale et comparée, René Quinton s'est aperçu que l'eau de mer actuelle était trois fois et demie plus concentrée en sels minéraux que l'eau de mer originelle quand la vie est apparue sur terre. Après avoir surmonté de grandes difficultés et essuyé plusieurs échecs, il a créé son Plasma de Quinton qui recrée le milieu de vie originel, celui de notre plasma sanguin.

    À l'heure actuelle, la fabrication suit les règles établies par Quinton. Elle incorpore en plus des méthodes modernes d'analyse et de contrôle de qualité par des appareils sophistiqués. L'eau est périodiquement analysée, sa qualité surveillée, il n'y a pas de pollution. Le prélèvement se fait dans de strictes mesures de sécurité et d'hygiène. Le transport se fait dans les 24 heures en véhicule isothermique à une température qui garantit à l'eau de mer son caractère vivant. Au laboratoire, l'eau est échantillonnée, analysée, stérilisée à froid. Les lots produits sont échantillonnés, analysés, entreposés en quarantaine et libérés sur le marché seulement s'ils répondent à tous les critères de qualité. Les produits marins Quinton sont les seuls sur le marché à contenir à l'état naturel l'éventail complet de minéraux, d'oligo-éléments et d'éléments traces contenus dans l'eau de l'océan.

    Les plus importants sont : le sodium, le magnésium, le soufre, le potassium, le calcium, le brome, le lithium, l'iode, le bore, le carbone, le fluor, le silicium, le phosphore, le vanadium, le chrome, le cuivre, le zinc, le sélénium, le manganèse, le fer, le nickel, le cobalt, le molybdène, l'argent, l'étain, l'or, etc.

    De très nombreux oligo-éléments sont contenus à l'état de traces. Même s'ils sont en quantité infinitésimales, leur rôle est indispensable au bon fonctionnement de notre organisme. Grâce à leurs proportions équilibrées qui s'apparente de très près à la composition du plasma humain, tous les éléments sont entièrement assimilables et assurent une excellente nutrition des vitamines. Il n'y a pas d'assimilation des vitamines sans leur présence. L'eau de mer Quinton représente une solution idéale pour une régénération organique, une rééquilibration biologique, une recharge en éléments nutritifs sous une forme naturelle active, la totalité des éléments nécessaire à toutes les fonctions métaboliques.

    Dépêchez-vous donc de récupérer de l'eau de mer en grandes quantités avant qu'elle ne soit polluée par les rejets de la centrale du Japon. Vous avez lu que le sérum de Quinton contient de l'iode; vous allez pouvoir à peu de frais saturer NATURELLEMENT votre thyroïde sans aucuns effets secondaires des médicaments. Pour cela, vous devez prendre de l'iode tous les jours pendant une dizaine d'années. Ainsi, l'eau radioactive que nous allons devoir boire dans les prochaines années aura eu le temps de se régénérer afin de n'être plus dangereuse pour nos organismes. Il ne faut surtout pas la conserver dans des bouteilles ou contenants de plastique mais dans des bouteilles en verre. Personnellement, je rajoute, pour un litre d'eau, une cuillère à soupe de bicarbonate de soude. J'en ai déjà parlé, c'est un extraordinaire produit de désinfection. Ce rajout désinfectera l'eau de mer que vous aurez récupérée –si possible, à une bonne vingtaine de mètre du large et en évitant les rejets, bien sûr des stations d'épurations, des égouts et loin des endroits où les fleuves se jettent dans la mer car l'eau des fleuves n'est pas saine.

    Le mieux est de boire au moins un demi-litre par jour à raison de trois grands verres au cours de la journée.

  • Y' a que la vérité qui blesse

    Mémé fête ses 98 ans.

    > > > > Sa famille a réservé tout un restaurant et la fête bat son plein lorsque l'un de

    > > > > ses petits enfants, Hervé (50 ans) lui demande :

    > > > > - Grand-mère, excuse-moi d'aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

    > > > > Les discussions s'arrêtent et tout le monde est suspendu aux lèvres de Lucile

    > > > > - Je veux être incinérée

    > > > > Ouf ! grand-mère a bien pris la question et y a répondu avec intelligence, puis ajoute :

    > > > > - Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du

    > > > > Leclerc.

    > > > > Émoi général !

    > > > > - Mais mamie, pourquoi le parking de l'hypermarché.

    > > > > Tu ne souhaites pas qu'on conserve tes cendres au funérarium ?

    > > > > - Non ! Je préfère le parking du Leclerc car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par semaine.

     

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  • URGENT, URGENT, URGENT

    envoyé par Anne:

    bonjour à tous , infos du forum radioprotection que j'ai découvert il y a peu.
     
    http://www.forum-rpcirkus.com/f11-special-japon
    je pense que Kloug travaille au CEA, il a en tout cas des infos détaillées que l'on ne trouve pas ailleurs

    Anne

    Point de situation sur la centrale de Fukushima #1 (Dai-ichi) :

    FUKUSHIMA I – Tranche n°1 :

    Réacteur : Injection d’eau douce dans le réacteur depuis le 25 mars.

    Débit de dose dans l’enceinte : 34 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 21 Sv/h

    Augmentation de la pression et de la température.

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 1,5x105 Bq/cm3, Cs-137: 1,3 x 105 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : aucun élément nouveau.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°2 :

    Salle de commande alimentée en électricité.

    Débit de dose dans l’enceinte : 40 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 1,4 Sv/h

    Réacteur : l’injection d’eau douce continue à un débit de 7 m3/h.

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 1,3x107 Bq/cm3, Cs-137: 2,3 x 106 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : injection d’eau de mer dans la piscine de stockage des combustibles usés.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°3 :

    Réacteur : Injection d’eau douce dans le réacteur en utilisant temporairement une pompe électrique au lieu de la pompe incendie à partir de 20 h 30.

    Débit de dose dans l’enceinte : 31 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 1,2 Sv/h

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 3,2 x105 Bq/cm3, Cs-137: 5,6 x 104 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : appoints d’eau par projection d’eau de mer.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°4 :

    Réacteur : RAS (vide de combustible au moment du séisme).

    Piscine d’entreposage : injection d’eau de mer.

    FUKUSHIMA I – Tranches n°5 et 6 :

    Réacteur : aucun élément nouveau.

    Piscine d’entreposage : aucun élément nouveau.

    Stratégie de vidange de l’eau irradiée :

    Tranche 1 :

    Le nombre de pompes pour évacuer l’eau a été augmenté de 1 à 3 le 28 au soir. Le niveau d’eau dans le condenseur aurait diminué.

    Tranches 2 et 3 : stratégie en 3 étapes proposée par TEPCO

    - pomper l’eau du bâtiment turbine vers le condenseur.

    - transférer l’eau du condenseur vers le réservoir du condenseur.

    - transférer l’eau de ce réservoir vers le « surge tank » de la « suppression chamber ».

    Galeries inondées

    Celles-ci ne seraient pas connectées directement à la mer.

    Le débordement de l’eau par les puits verticaux vers la mer n’aurait pas été constaté pour le moment. La situation est cependant urgente au niveau du puits d’accès proche de la tranche 1 car il ne reste plus que 10 cm de marge à TEPCO se prépare à un éventuel débordement en installant des sacs de sable et morceaux de bétons.

    Au niveau des tranches 2 et 3, il resterait encore un mètre de marge dans les puits d’accès.

     

    Situation délicate où il faut poursuivre le refroidissement tout en évitant un éventuel débordement vers la mer. Le refroidissement reste la priorité pour éviter une fusion du cœur.

    Blessés / contaminés /exposés officiellement recensés :

    Personnels et intervenants : depuis le début des événements, 19 personnes (TEPCO et sous-traitants) ont été exposées à plus de 100mSv.

    Les deux intervenants exposés au niveau des jambes, ainsi qu’une autre personne atteinte, ont quitté le National Institute of Radiological Sciences à Chiba le 28 mars. Elles vont faire l’objet d’un suivi médical.

    Débits de dose / contamination sur le site

    La valeur à la porte d’entrée principale (ouest) du site a diminué par rapport au 25 : 0,120mSv/h le 28 à 21h00-Japon. Pas d’éléments complémentaires sur la contamination atmosphérique.

    Du plutonium a été détecté (Pu 238, Pu239 et Pu240) dans les échantillons de sols prélevés à 5 emplacements sur le site de Fukushima Daiichi les 21 et 22 mars.

    Le niveau de radioactivité est le même que celui détecté dans les retombées post essais nucléaires atmosphériques, la nature du Pu étant toutefois différente. TEPCO a annoncé que la quantité détectée ne posait pas de problème pour la santé.

    Il est probable que celui-ci provienne du combustible présent sur le site, mais on ne sait pas de quel réacteur.

    Le porte-parole du gouvernement, M. Edano, a annoncé un renforcement de la zone de surveillance de radioactivité, qualifiant la situation de « très sérieuse ».

    Mesure dans le milieu marin aux abords du site

    Au large : valeurs maximales mesurées à 30 km des côtes : 15 Bq/l en 131I 3,9 Bq/l en 137Cs

    Mesures dans l’environnement au-delà de la zone des 30 km

    Le MEXT publie de nombreuses valeurs sur son site internet.

    En limite des 30 km autour du site, les débits de doses ambiants mesurés tout au long de la journée varient de moins de 5 µSv/h au sud, à 48 µSv/h au nord ouest. En légère augmentation par rapport au 28 mars.

    Niveau d’irradiation toujours en légère diminution à MITO (Préfecture d’Ibaraki) : environ 0.222 µSv/h le 29 mars (9 h 00 heure du Japon)

    Niveau de radioactivité dans l’eau de boisson à MITO : pour l’iode (22 Bq/L) et pour le Cs passé sous la limite de détection.

    Le niveau d’irradiation à Tokyo le 29/03 : 0,108µSv/h (9 h 00 heure du Japon).

    Niveau de radioactivité dans l’eau de boisson à Tokyo : pour l’iode (9,8 Bq/L) et pour le Cs (0,82 Bq/L).

    Situation en France :

    Les résultats des analyses réalisées par les centres CEA sont disponibles. Les résultats ont été publiés dans le communiqué n°5 de l’IRSN.

    KLOUG

    http://www.forum-rpcirkus.com/f11-special-japon

     

  • P Q fun

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  • Pub!

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  • Un amour d'hérisson

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  • Gifs coquins

    Dans mon site de gifs animés

    je viens de rajouter plusieurs gifs de khamasoutra

     

    Je vous invite à aller les rechercher. Comme ils sont plutôt "chauds"

    je préfère que les mineurs n'y aillent pas

    juste cette adresse pour vous en rapprocher

    http://www.gifs-joyce.com/Coquine.htm