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societé - Page 302

  • Zut... on a perdu le yéti

    Pourquoi l'hypothèse des chercheurs qui affirment avoir découvert un yéti ne tient pas debout

    La vétérinaire Melba S. Ketchum l'affirme : le Bigfoot serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a 15000 ans. Une équipe de chercheurs lancés sur les traces du yéti dans le grand Nord américain aurait découvert un échantillon d'ADN de la créature.

    Atlantico : La vétérinaire Melba S. Ketchum l'affirme : le Bigfoot serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a 15000 ans. Une équipe de chercheurs lancés sur les traces du yéti dans le grand Nord américain aurait découvert un échantillon d'ADN de la créature. L'analyse de cet ADN suggérerait qu'il se serait même reproduit avec des femmes humaines donnant ainsi naissance à des individus hybrides. Quel crédit doit-on accorder à cette annonce ?

    Des yétis, on n’en a jamais retrouvé. Je suis très sceptique à ce sujet. On a souvent cité des élucubrations de personnes qui cherchent à entretenir le mystère. Dans beaucoup de forêts françaises, on parle depuis toujours d’hommes géants, de grands singes, d’hommes des forêts, etc. Il s’agit souvent d’une sorte d’illusion collective. On a signalé le Yéti dans le Caucase, on l’a signalé dans l’Himalaya, où l’on a trouvé les empreintes de pas très grandes. Mais il se trouve qu’en fondant sur les côtés, l’empreinte de pas s’élargi naturellement dans la neige. C’est un mirage collectif de populations locales.

     

    Cette fois, c’est en Amérique du Nord. Pour affirmer avoir trouvé l’ADN du yéti, il faudrait d’abord avoir trouvé le yéti.

    Les chercheurs ont analysé de l'ADN mitochondrial et de l'ADN nucléaire. Ils auraient alors constaté que l'ADN mitochondrial était identique à celui de l'Homo sapiens moderne. En revanche, l'ADN nucléaire lui, a montré des différences s'apparentant à celles d'un nouvel hominidé cousin de l'Homo sapiens et d'autres espèces de primates. Le yéti serait donc un hybride entre l'homme et un autre grand singe ?

    Pour se prononcer réellement sur les résultats, il faudrait savoir où cet échantillon a été prélevé, quel est le laboratoire qui a analysé l’ADN, si c’est un laboratoire sérieux. Il serait également utile de savoir s’il s’agit d’un fossile ou d’un être vivant actuel… Peu de laboratoires sont capables de faire des analyses d’ADN fossiles, qui nécessitent beaucoup d’équipement. Il faut donc éviter de relayer ce genre d’informations extraordinaires pour vendre du papier. Il s’agit souvent de mauvais scientifiques, qui font des coups de com’ avant même la publication de leur étude, et avant la relecture de l’article par des revues à comité de lectures.

    Est-ce envisageable qu’un mâle d’une espèce inconnue d’hominidé ait pu s’accoupler avec une femelle homo sapiens pour créer une sorte d’hybride ?

    Si ce ne sont pas deux espèces véritablement différentes, cela est toujours possible. On pense que les derniers hommes de Néandertal se sont accouplés avec les premiers sapiens qu’ils ont rencontrés. D’ailleurs, des travaux sur l’ADN fossile effectués par des laboratoires sérieux ont mis en évidence que dans notre patrimoine génétique, celui de l’homme moderne, il y a un peu de patrimoine néandertalien. Donc on peut envisager qu’il y ait possibilité de reproduction s’il ne s’agit par de deux espèces totalement différentes.

     

     

    En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-hypothese-chercheurs-qui-affirment-avoir-decouvert-yeti-ne-tient-pas-debout-henry-lumley-563290.html#rJez8ddWZWJAPZxL.99

  • Et bêêêêêêêêêêê

     

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    La chèvre de montage

  • Rêves

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    http://www.joyce-reves.com/fichiers/index.html

     

     

  • Celui qui aimait les culottes....

    Thaïlande : voleur en série... de petites culottes

    Un homme de 48 ans a été arrêté à Bangkok pour un cambriolage. La police a retrouvé les bijoux du larcin mais également... des milliers de petites culottes dont le voleur est apparemment friand.

    La police thaïlandaise a trouvé un butin bien insolite. Alors qu'elle se rendait au domicile d'un Thaïlandais  arrêté à l'origine pour vol de bijoux, la police est tombée sur des milliers de petites culottes.

    "Je les ai comptés hier. J'ai arrêté à 2.000 mais je suis sûr qu'il y en a plus de 5.000", a indiqué vendredi le colonel de la police Napanwut Liamsanguan. "Il a avoué qu'il était obsédé par les sous-vêtements".

    Ils les collectionnaient "depuis des années, en en volant dans les maisons ou les appartements trois ou quatre à chaque fois", a encore ajouté le policier, précisant que la femme du voleur était au courant de son obsession mais qu'il ne voulait pas suivre une thérapie.

    Un butin de 250.000 euros

    L'homme de 48 ans avait été arrêté chez lui dans la banlieue est de Bangkok jeudi pour un cambriolage dans une bijouterie dont le butin -des bijoux- est estimé à 10 millions de bahts (250.000 euros). La police a retrouvé seulement quelques-uns des joyaux volés en possession de sa femme.

    Il sera poursuivi pour vol. Mais pas pour les petites culottes, aucune plainte n'ayant été déposée jusqu'à présent. Le suspect avait déjà été arrêté en janvier, après avoir cambriolé un bâtiment, avec plus d'un millier de sous-vêtements dans le coffre de sa voiture et avait avoué en posséder plus de 10.000 collectés au cours des années. Poursuivi pour le cambriolage, mais pas pour sa collection, il avait été libéré sous caution.



  • C'est fou!... non?

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  • Salade


    Il s’injecte de l’huile d’olive dans le pénis et doit se le faire amputer

    Un Thaïlandais de 50 ans, qui s’était fait injecter de l’huile d’olive dans le pénis pour en augmenter la taille, a dû subir une ablation des organes génitaux, rapporte Le Matin ce vendredi. Les injections remontaient à il y a cinq ans, mais l’homme avait dû consulter, il y a trois semaines, après qu’une infection se soit déclarée.

    C’est là qu’un cancer a été diagnostiqué. Chaque mois, environ 30 à 40 patients viennent ainsi consulter et deux ou trois doivent être traités. Cette pratique d’injections d’huile d’olive, mais aussi de cire d’abeille ou de silicone, semble relativement répandue en Thaïlande.


  • heu.... bon à savoir ???

    Ces étranges bactéries qui colonisent les nombrils

    Des chercheurs américains se sont lancés dans le projet d'étudier les bactéries qui colonisent les nombrils humains.

    Le nombril n'est plus une terre inconnue pour la science. Des chercheurs de l'université de Caroline du Nord ont décidé de répertorier toutes les espèces bactériennes qu'il peut héberger. La pêche s'annonce plutôt bonne: 2368 espèces différentes ont été repérées dans les échantillons prélevés avec des cotons tiges sur seulement soixante personnes. "C'est déjà deux fois plus que le nombre d'espèces d'oiseaux ou de fourmis en Amérique du Nord", notent les auteurs de l'étude publiée en ligne dans la revue Plos One.

    Parmi toutes ces espèces, beaucoup ne peuvent être cultivées en laboratoire. Elles sont identifiées en tant qu'espèces à partir de leurs séquences génétiques. Ils se sont lancés dans le séquençage du génome du nombril, avec beaucoup moins de moyens (et d'ambition) que ce que d'autres équipes dans le monde ont fait pour l'intestin ou la peau.

    Les chercheurs sont déjà en mesure d'affirmer que la grande majorité des bactéries ombilicales sont rares et se rencontrent chez un petit nombre d'individus. Sur les 2368 identifiées, plus de 2100 sont présentes dans moins de 10 % des échantillons et souvent sur un seul d'entre eux.

    Culture de Bacillus subtilis trouvé dans un nombril, un type de bactérie qui protège la peau contre d'autres microbes.

    Une grande diversité écologique

    Seules huit espèces sont présentes chez 70 % des individus. Ce sont des bactéries de la peau bien connues comme les staphylocoques, les actinomycètes et les clostridiales. Elles sont très abondantes puisqu'elles représentent près de 40 % de la totalité des micro-organismes. Elles constituent les "oligarques" de l'écosystème ombilical selon l'expression utilisée par les spécialistes des forêts tropicales.

    La diversité écologique des nombrils est très inégale. Cela va de la plaine de la Beauce avec 29 espèces pour un seul nombril, à la forêt amazonienne avec une centaine. La majorité tourne autour de 67.

    L‘équipe de Robert Dunn a eu la surprise de trouver trois archéobactéries (on dit maintenant des archées) dans l'échantillon prélevés sur un homme qui ne s'était pas lavé le nombril depuis plusieurs années. "Ce type de personnes sont sans doute plus représentatives de l'état où se trouvait le corps humain avant que le bain devienne une habitude", souligne Robert Dunn sur le blog de la revue. De même ils ont trouvé chez un des chercheurs une bactérie du sol assez rare, présente seulement au Japon.

    Le projet de séquençage du génome du nombril lancé par le laboratoire de Caroline du Nord est né au cours d'une réunion destinée à intéresser le public à la science. De fil en aiguille, il a pris de l'ampleur. Plus de 2000 échantillons ont été analysés à ce jour. Un site internet a été créé. Les chercheurs espèrent comprendre un jour pourquoi il existe une telle diversité bactérienne dans les nombrils mais il est trop tôt pour savoir s'il y aura des retombées ou pas. On sait que les bactéries de la peau jouent un rôle important dans la défense contre les pathogènes mais on ne sait rien sur le nombril. "Ce type de travail fait plus pour faire connaître la science que la vulgarisation classique. C'est fascinant", estime Michael DuBow

  • Tàla, talam, talà, tala, talam (si vous voyez ce que je veux dire!)

    Des dizaines de témoins affirment avoir aperçu un très gros félin dans la vallée de l'Asse. L'Office national de la chasse et de la faune sauvage mène l'enquête.

    De grands yeux dorés, des oreilles pointues et une démarche chaloupée. Depuis juin, les habitants de la vallée de l'Asse, dans les Alpes-de-Haute-Provence, affirment qu'une panthère noire rôde dans la région. En plusieurs mois, l'animal a été aperçu en train de laper l'eau d'une piscine, de bondir pour traverser une route ou encore de dormir dans un buisson.

    Pas de panique, répondent les autorités. "Nous étudions toutes les hypothèses, celle du gros chat comme celle de la panthère noire", explique la préfecture au Figaro. Des dizaines de témoignages ont été recensés, photos et vidéos à l'appui. Des empreintes de 10 cm de diamètre ont aussi été relevées sur les hauteurs du village d'Oraison. Pour un spécialiste du monde animal interviewé par La Provence , "ces empreintes sont bien la trace d'un grand félin". Une enquête a été confiée à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) qui a installé un piège à proximité d'un village où la bête a été vue.

    "J'aimerais tellement la revoir"

    Les chasseurs se sont engagés à ne pas lui tirer dessus. Il n'est pas question pour la préfecture de chercher à abattre l'animal, plus dangereux pour les lapins et les poules que pour les hommes. Les riverains ne manifestent pour l'instant aucune inquiétude et semblent plutôt être tombés sous le charme du félin. "Elle est magnifique", a confié une riveraine qui jure avoir vu la panthère à La Provence .

    "J'aimerais tellement la revoir", renchérit Patrick Demol auprès du Figaro. Ce chauffeur routier affirme avoir aperçu la bête au mois d'octobre. "Ce n'est pas un gros chat sauvage, j'en suis sûr. Je l'ai vue sur une petite route de campagne. Je conduisais, j'ai dû lui faire peur avec le bruit de la remorque, elle a bondi se cacher dans les bois à côté. Elle était très belle", raconte-t-il. "Elle a des yeux dorés et verts, des oreilles pointues et aucune agressivité", indique un autre témoin à La Provence , qui a tenté de filmer la panthère présumée. Ces images ne permettent pas, hélas, de distinguer à quelle espèce appartient l'animal.

    Reste à savoir comment un tel félin aurait pu atterrir dans les Alpes-de-Haute-Provence. De nombreuses rumeurs courent dans la vallée: un légionnaire l'aurait nourri au biberon, un cirque l'aurait égaré... Pour la préfecture, ici encore, "aucune hypothèse n'est écartée".