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fille - Page 276

  • Toujours, un éléphant, ça trompe et ça fait mal!

    Seine-et-Marne : un homme de 84 ans tué par un éléphant

     ARCHIVES. L'éléphante Tanya a tué un joueur de pétanque d'un coup de trompe.   

    Un homme de 84 ans a été tué par un éléphant qui lui a donné un coup de trompe, ce dimanche en fin d’après-midi, à Lizy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne).
    L’animal appartient au cirque d’Europe, qui était en représentation dans la commune pendant plusieurs jours. Vers 17 heures, l’éléphante qui se trouvait dans un enclos électrifié, a attrapé une bâche qu’elle a jetée sur les fils électriques avant de s’échapper.

    Elle s’est alors dirigée vers des joueurs de pétanque qui participaient à un concours sur la place de la République.
    C’est alors que l’animal a donné un coup de trompe à la victime. L'homme a été héliporté vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), où il est décédé pendant la nuit

  • La preuve que la connerie est plus forte que tout!

    A Limoux, l'exorcisée épouvante le voisinage

    Une séance d'exorcisme tapageuse a semé l'émoi à Limoux (Aude) où les cris de désenvoûtement ont fait croire au voisinage qu'un crime affreux se perpétuait tout près, ont indiqué les gendarmes dimanche.

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    Il était 21H20 vendredi quand les voisins de l'église évangélique la Délivrance ont été alertés par des hurlements déchirants et ont appelé les gendarmes.

    Sur place, les gendarmes ont découvert que ces vociférations n'étaient pas le fait d'une victime qu'on égorge, mais d'une fidèle réunionnaise qui, à leur arrivée, remerciait le Seigneur de l'avoir délivrée du mal.

    Les gendarmes sont repartis sans autre forme de procès en sorcellerie: "On n'a pas interpellé le démon et le démon n'a tué personne", explique-t-on au groupement de gendarmerie.

  • Le pire de la drague

     

    Le site internet «Paye ta schnek»propose aux demoiselles de partager les phrases de drague les plus cocasses qui leur sont adréssées.

    Les Toulousaines ne sont pas les dernières à poster sur ce site les solicitations décomplexées de mâles entreprenants.

     «Hey mademoiselle, dommage qu’il n’y ait pas Mickey sur ton T-Shirt, ça t’aurait fait des seins animés !» (dans une boite de nuit)

     «Oh mademoiselle ! Comme t’es belle ! Mais si tu me souris… tu seras encore plus jolie!» (station des Arènes)

     «Hey petite fleur, tu veux faire partie de mon bouquet ?» (dans un pub)

     «Ohlala mais toi quand j’te vois comme ça, j’te fais un conte de fée sexuel tout de suite y’a pas de soucis !» (Place Wilson)

     « J’aime bien les filles comme toi, un peu grosses !» (Au Bikini)

    Ailleurs

    Tu me prête ta copine, je te la ramène avec le plein!

    Nan, mais en fait, t'a des seins vachements ludiques!

    Si t"'étais un sandwich à McDo, tu serais le mac-nifique!

    Yey mademoiselle tu t'appelle google? parce que je trouve en toi tout ce que je recherche!

    Tes yeux marrons sont tellement beaux, qu'ils me font penser à un torrent de boue!

    Je t'applaudi des deux couilles!

    Mademoiselle, s'il te plait, tu aurais pas 2 euros pour que je te paye un café?

    Hé, mademoiselle, vous êtes belle à un point qu'y a pas besoin de virgule!

    Vous êtes charmante, est-ce que je peux vous lécher quelques chose?

    Ton décoletté, c'est comme un paquet de Chocapic: quand on le regarde, on a envie d'y fourrer sa main dedans!

    Hey mademoiselle, ça te dis pas de jouer au hot-dog avec moi? devine qui fait la saucisse!

    Quand je regarde ton cul, j'y vois mon avenir: et franchement, il est radieux!

    Franchement, t'a des yeux magnifique, on dirait un chien de traîneau

    wouahhh vos sourires, ils m'ont époustiflé!

     

  • A méditer tant que nous pouvons tranquillement le faire...

     

    texte de Martin Niemöller (1892-1984)

    Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde  guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés. 

    Quand on lui demandait combien d'allemands étaient de véritables nazis, il faisait une  réponse qui peut guider notre attitude au regard du fanatisme.

    " Peu de gens sont de vrais nazis, disait-il, mais nombreux sont ceux qui se réjouissent du retour de la fierté allemande, et encore plus nombreux ceux qui sont trop occupés pour y faire attention. J'étais l'un de ceux qui pensaient simplement que les nazis étaient une bande de cinglés. Aussi la majorité se contenta-t-elle de regarder et de laisser faire. Soudain, avant que nous ayons pu réaliser, ils nous possédaient, nous avions perdu toute liberté de manœuvre et la fin du monde était arrivée. Ma famille perdit tout, je terminai dans un camp de concentration et les alliés détruisirent mes usines.

    " Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.

    Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.

    Et lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester."

    Texte de Martin Niemöller (1892-1984), pasteur protestant arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau. Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945.

    On ne peut s’empêcher de repenser à cette phrase de l’un de nos congénères les plus éclairés, lui aussi allemand d’origine ...

    " Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. "

    Albert Einstein

     

  • Oh putain!

     

     

    elle a juste oublié de le dire à la toulousaine...

     

    ooooooooh putaingggggg congu'

     

    moi, je trouve que ça a de la gueule, l'injure à la Toulousaine! pas vrai?

     

     

     

  • Le danger dans votre assiette

    Gnocchis à poêler, biscuits apéritifs ... Quels produits sont dangereux pour la santé ?

    Le magazine "60 millions de consommateurs" vient de dévoiler les produits du quotidien dont il vaut mieux se méfier en raison de leur dangerosité potentielle pour notre santé.

    "60 millions de consommateurs", un équivalent français de "Test Achats", dévoile une liste de 100 produits du quotidien potentiellement nocifs pour la santé en raison de leur composition. Cette liste contient bon nombre de produits très appréciés des consommateurs et devrait donc nous inciter à davantage lire les étiquettes de ce que nous achetons.

    C'est bien entendu au niveau des composants chimiques que cela coince. Au rayon salle de bain, pas de grande surprise puisqu'on sait depuis longtemps maintenant que les parabens présents dans la plupart des produits cosmétiques sont des perturbateurs endocriniens potentiels. En revanche, on apprend, et c'est moins connu, que des dentifrices de type Total Expert de Colgate contiennent du triclosan, un agent bactérien pouvant favoriser la résistance aux antibiotiques. Autre substance dangereuse dans les produits de soin : le phénoxyéthanol. Il s'agit d'un conservateur qui perturbe la reproduction et le développement chez les animaux sur lesquels il a été testé. Il est donc franchement conseillé aux enfants et femmes enceintes d'utiliser des produits qui en contiennent. Oui, mais justement, ce produit est notamment présent dans les lingettes Kandoo par exemple.

    Au niveau des produits de nettoyage, on se doutait un peu qu'on y trouve des produits chimiques potentiellement dangereux, mais le magazine pointe du doigt une substance particulièrement allergène : le MIT ou méthylisothiazolinone. Il s'agit d'un conservateur souvent utilisé comme substitut du paraben, mais tout aussi nocif puisqu'il provoque souvent de l'eczéma et on le retrouve, par exemple, dans la lessive liquide aux extraits d'Aloe vera de marque carrefour.

    Très inquiétant aussi : les produits que nous ingérons ... Le caramel E150D est un simple colorant, mais il est potentiellement cancérigène et on le retrouve notamment dans les Carambar, pourtant très appréciés des enfants.

    Les personnes susceptibles de développer des intolérances, et notamment les asthmatiques, devront également se méfier des sulfites et sulfites de sodium (E221) qui se retrouvent dans des produits tels que les gnocchis à poêler Panzani ou les Tuc au bacon de Lu.  Tout aussi cancérigènes et allergisants, les colorants E102, E104, E110, E122, E124, E129 qu'on retrouve généralement dans des produits très colorés, artificiellement ...

    Enfin, le BHA ou E320 est à éviter car cancérogène et perturbateur endocrinien. On le retrouve par exemple dans les barres Kellogs Special K ou encore dans les Hollywood Chewing-gum.

    Bien sûr, c'est sur le long terme qu'il faut craindre des effets néfastes sur notre santé, mais comme le dit l'adage : "dans le doute, il vaut mieux s'abstenir" ... Il faut surtout apprendre à lire les étiquettes afin de faire le bon choix, et bien sûr, éviter au maximum les aliments bourrés d'artifices pour se diriger vers des produits plus naturels.

     

    Si votre santé vous préoccupe, visitez mon site

    www.tradi-cuisine.com

     

     

     

  • Nouveau! faites payer vos impôts -à votre place- par votre patron!

    Juillet 2012 – Les impôts nous font payer les impôts personnels d’un de nos salariés

    Un de nos salariés n’a pas payé ses impôts : 1 Avis à Tiers Détenteur des Impôts nous somme de payer à sa place sous trois jours.

    Surpris nous appelons le Trésor public et nous étonnons : je ne suis ni un parent, ni le tuteur de cette personne, pourquoi payer ses impôts à sa place. Le fonctionnaire trouve ça « normal » : « si vous ne payez pas vous serez poursuivi. »

    Je demande : « Mais pourquoi ne vous arrangez vous pas avec les banques, vous en avez le pouvoir non ?

    Le fonctionnaire : « C’est plus facile comme ça, c’est plus simple. » En fait, en tant qu’employeur, c’est à moi de prélever des sommes sur les futurs salaires du salarié en retard sur son IRPP et d’envoyer un chèque tous les mois au Trésor public.

    Moi : « Mais cela va me coûter plus cher et me prendre du temps, qui paie cela ? »

    Le fonctionnaire : « Non c’est gratuit, vous nous envoyez un chèque tous les mois et vous prélevez sur les fiches de paie. »

    Moi : « Non, vous n’avez pas l’air au courant mais chaque fiche de paie modifiée nous coûte 15 euros et donc sur 6 mois, et sans compter le temps passé et les timbres, c’est pas neutre. Allez-vous me rembourser tout ça ? »

    Le fonctionnaire : « Non absolument pas ». J’ai pourtant bien envie de leur envoyer une facture pour couvrir le coût réel de cette nouvelle contrainte.

     __________________________________________

    Philippe, lui a été chef d’entreprise pendant 17 ans : un contrôleur du fisc a contesté l’utilisation de son entreprise du Crédit d’impôt recherche. Après un parcours du combattant pour expliquer que les travaux de recherche de sa société, de pointe, sont bien de la recherche innovante, l’administration (experte en nouvelles technologies !) le pousse à bout. Résultat : il liquide sa société qui a compté jusqu’à près de 50 salariés ! Une société de moins..Témoignage de Philippe : « Un inspecteur des impôts décrète que nos investissements ne sont pas innovants ! Il n’y connaît rien, on est en pointe dans notre domaine. A force de me débattre, un chef des impôts mandate un prof de fac, qui n’y connaît pas grand-chose non plus à notre domaine, pour valider nos travaux. Il ne se mouille pas et conclut qu’on est innovant aux 2/3 ! Absurde ! soit on est innovant, soit on l’est pas… J’en ai marre, j’arrête. ».

    édifiant

    déprimant

    http://www.libre-parole.com/plumes/portraits-petits-entrepreneurs-rinces-impots-urssaf/

     

    http://www.libre-parole.com/chronique-harcelement-administratif/

  • Caf-kaïen

    ...(...)

    Une fois reçu le jugement d’adjudication, validant Pierre comme nouveau propriétaire, ce dernier décide de rendre visite aux locataires afin de leur faire connaître leur nouveau propriétaire, et prendre connaissance des contrats locatifs qu’il n’avait pu obtenir avant l’achat.

    La matinée touche à sa fin. Se rendant au premier étage et toquant à la porte, une dame de 35 ans environ, en robe de chambre, lui ouvre la porte. Pierre lui explique l’objet de sa visite : il désire simplement prendre connaissance du bail. Elle le fait entrer, ce qui permet à notre homme de découvrir qu’elle est l’heureuse maman de quatre enfants.

    Les fouilles qu’elle mènera dans les minutes qui suivent dans une paperasse assez peu organisée ne permettront pas de retrouver le document recherché, Pierre lui demande simplement le montant du loyer qu’elle s’acquitte. Petite surprise : elle s’avère incapable de lui dire le montant. Elle n’en paye rien, puisque « c’est la CAF qui gère tout ça ». Pierre insiste : après tout, c’est elle qui à signé le bail, et elle a forcément des courriers de la caisse d’allocations familiales sur le montant versé chaque mois au propriétaire. Malheureusement, les recherches s’avèreront aussi infructueuses que les précédentes. L’allocataire retrouve tout de même son numéro, habilement stocké dans son téléphone portable, ce qui permettra peut-être au nouveau propriétaire de retrouver l’information auprès du payeur réel.

    … Auquel il se rend et apprend que le montant de l’APL de cette dame s’élève à 478€ versé directement au propriétaire. Heureuse surprise : compte-tenu de la localisation du bien, de son étage et des paramètres habituels, Pierre pensait le loyer moins élevé. Quant aux changements de propriétaire, tous les papiers devront être envoyé par courrier, avec le cerfa machin, le coup de tampon bidule et vous signez là et tout sera automatique et merci et bonne journée.

    Bien évidemment, deux mois plus tard, et malgré l’envoi de tous les papiers nécessaires, la CAF ne parviendra pas à payer directement sur le compte de Pierre, comme prévu. Sur place, on expliquera à Pierre que, faute d’effectifs suffisants, par manque de moyens et parce qu’il n’y a pas assez de gens présents, et tout ça, les courriers ont un mois et demi de retard, et les virements des deux mois précédents ont encore été réalisés sur le compte de l’ancien propriétaire, mais rassurez-vous mon bravmôssieu, les paiement auront bien lieu rapidement, « Charge à nos services de récupérer les sommes indûment perçues par l’ancien propriétaire » (connaissant la situation de ce dernier, on leur souhaite bien du courage pour recouvrer les sommes).

    Les bonnes nouvelles s’enchaînant joyeusement, un coup de téléphone le lendemain permet à la locataire du premier d’indiquer à Pierre qu’elle a retrouvé son bail et les papiers de la CAF. Leur lecture permettra d’établir que le montant du loyer est en réalité de 340€, et que le montant des prestations de cette dame est de 1542€ mensuel hors APL. Pierre profitera d’un nouveau passage à la CAF pour tenter de comprendre le différentiel entre le loyer versé par l’organisme et le bail du loyer. Stupéfaction (confirmée ensuite à la lecture du guide du bailleur) :

    « Non, non, Monsieur, point d’erreur de nos services. Il arrive dans certains cas que le montant versé soit supérieur au loyer. Les droits de cette dame en aide au loyer sont de 478€. Charge à vous de faire le remboursement du trop perçu au locataire. »

     

    Parallèlement à cette histoire CAFkaïenne, Pierre a bien évidemment tenté de rencontrer les locataires du second étage. Rarement là, ils sont difficiles à joindre. Après quelques jours, Pierre tombe en fin d’après-midi sur un garçonnet de neuf ans qui lui ouvre et lui apprend que ses parents travaillent et ne seront là le soir que vers 20H.

    La prise de contact aura donc lieu le soir même. Pierre fait alors connaissance d’un couple dont le mari est artisan boulanger et la femme tient la boutique, qu’ils ont repris depuis quatre ans à quelques 300 mètres de l’appartement. Le bail, présenté rapidement, est de 340€, comme à l’étage inférieur. Mais ici, la CAF n’intervient pas : ils nagent en effet dans l’opulence avec des bénéfices de 19.800€ annuels et leur trop petit nombre d’enfants (un seul, pensez donc !).

    Les histoires de loyer évoquées, la discussion roule gentiment sur les banalités habituelles de la pluie et du beau temps, de la fatigue qu’on peut comprendre pour ceux qui se lèvent à 4H du matin et qui ferment leur boutique à 19H30, et sur les petits soucis d’argent. Eh oui. Le RSI (vous savez, le régime des indépendants si cher à nos artisans) vient d’envoyer un gros rappel (9.200€). Évidemment, aucune explication de ce rappel n’aura été fournie, ni par le comptable, complètement perdu, ni par les services concernés de l’organisme, complètement incompétents. ‘ Manquerait plus que ça ! On est en France, éternelle et merveilleuse, merdalafin.

    Bilan : le papier timbré a été envoyé, et qu’importe si le rappel parait démesuré par rapport à l’activité de la boulangerie. Qu’importe finalement si cette somme, plus que probablement indue, n’est là que pour éponger les dettes d’un système qui s’écroule tous les jours un peu plus sous nos yeux. Qu’importe. C’était payer ou les huissiers. La bourse ou la vie (professionnelle, au début). Le boulanger clora la conversation dans un soupir :

    « Mais rassurez-vous. Nos loyers ont toujours été versés en temps et en heure. »

    Tout va bien, alors.

    Pierre quitte donc l’artisan et sa famille, un peu sonné de la différence si radicale d’un étage à l’autre. Certains, en France, bénéficient plus de l’égalité et de la fraternité que d’autres. En passant par l’arrière-cour le menant à la sortie du bâtiment, il tombe sur deux vélos d’enfant. L’un d’eux est flambant neuf, un BMX 380 prêt à décoller pour de nouvelle aventures. L’autre est un vieux clou qu’on aurait du mal à recycler même à la communauté Emmaüs. Le premier appartient à l’un des fils de la locataire du premier. Pas le second.

     

    C'est celui du fils de l'artisan.