En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
> > Une petite vieille est à la caisse d'une grande surface, où la caissière est occupée à pointer ses achats.
> > > > > > Derrière elle, un "sale gamin", de 9 ou 10 ans, pousse le caddie de sa mère dans les pieds de la vieille dame... Une fois, deux fois, trois fois... La bonne vieille se retourne et demande au gamin d'arrêter.
> > > > > > Le gosse continue volontairement, une fois, deux fois, trois fois...
> > > > > > La vieille s'en prend alors à la mère : "VOUS NE POURRIEZ PAS LUI DEMANDER D'ARRÊTER, MADAME, SVP ? VOTRE GOSSE ME FAIT TRÈS MAL !"
> > > > > > "NON ! dit la mère, ma méthode d'éducation consiste à le laisser faire tout ce qu'il veut, sans interdit, pour qu'il prenne conscience tout seul du tort qu'il fait aux autres. C'est plus efficace."
> > > > > > Derrière la mère et son fils, un jeune homme de 19 ans attend son tour avec quelques courses...
> > > > > > Il a un pot de confiture de groseilles rouges à la main.
> > > > > > Il dévisse calmement le pot de confiture et le déverse sur la tête de la mère du sale gosse.
> > > > > > La mère se retourne, furieuse !
> > > > > > L'ado la regarde en riant :
> > > > > > "VOILÀ, dit-il, MOI, J'AI ÉTÉ ÉLEVÉ COMME VOTRE FILS, JE ME COMPORTE DONC COMME JE VEUX !!!!"
> > > > > > La vieille dame, à l'avant, se retourne et dit à la caissière :
> > > > > > "LE POT DE CONFITURE... C'EST POUR MOI !!!"
Roger et son ami Marcel allaient skier.
Ils avaient pris le monospace de Roger et se dirigeaient ver le nord.
Après avoir roulé quelques heures, ils arrivèrent dans une formidable tempête de neige, ils n'eurent d'autre choix que de s'arrêter près d'une petite ferme où ils demandèrent à la charmante jeune femme qui leur ouvrit la porte s'ils pouvaient passer la nuit chez elle :"Je réalise très bien qu'il fait vraiment très mauvais dehors, dit-elle, mais je suis veuve depuis peu, et je ne voudrais pas que les voisins commencent à médire à mon sujet si je vous laissais passer la nuit ici".
-"Soyez rassurée, dit Roger , nous serons très contents de dormir dans votre grange. Et dès que le temps se sera amélioré, nous partirons immédiatement".
La dame accepta et les deux amis se rendirent dans la grange où ils passèrent la nuit.
Le lendemain le temps s'était éclairci et Marcel et Roger continuèrent leur chemin.
Ce fut un fantastique week-end sur les skis.
Neuf mois plus tard, Roger eut la surprise de recevoir une lettre d'un avocat.
Il lui fallut quelques instants avant de réaliser qu'il s'agissait de l'avocat de la charmante jeune femme qu'ils avaient rencontrée durant leur week-end de ski.
Il se rendit chez son ami Marcel et lui demanda:
" Marcel, tu te rappelles cette charmante jeune veuve que nous avons rencontrée durant notre week-end de ski, et qui nous avait offert l'hospitalité? "
" Oui", répondit Marcel.
" Euh, est-ce que cette nuit-là tu ne te serais pas levé pour aller lui rendre visite dans sa maison?'
" Eh bien, euh, oui, dit Marcel , un peu gêné, je dois avouer qu'en effet j'ai été la voir."
" Et tu lui as donné mon nom à la place du tien? "
Le visage de Marcel était cramoisi lorsqu'il répondit: " Euh, en effet, désolé, vieux, je crains que oui.
Mais pourquoi me demandes-tu ça?"
'Elle vient de mourir et m'a tout légué.'