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Hommes - Page 107

  • Hé??? qu'est-tu dis????

    Il avait un cafard de 2 cm à l’origine de son terrible mal d’oreille

    Un Australien vient de vivre une drôle de mésaventure… qui se termine bien pour lui. Réveillé par une forte douleur dans une de ses oreilles, il a aussitôt compris qu’une petite bête s’y était faufilée mais qu’elle n’était plus encline à en sortir. Après plusieurs tentatives, l’insecte a finalement été tué : il s’agissait d’un cafard de 2 cm.

    Hendrik Helmer se rappellera sûrement longtemps de cette expérience qui en dégoûteraient plus d’un.

    Comme le confie ABC, cet Australien habitant la banlieue de Darwin a été réveillé mercredi vers 2 h 30 du matin à cause d’une douleur dans l’oreille droite. Aussitôt, il comprend qu’une petite bête s’est installée dans son conduit auditif.

    Bien que supportable dans un premier temps, la situation a commencé à empirer. L’homme, inquiet et effrayé à l’idée d’avoir une araignée mortelle qui pourrait le piquer, a tenté de déloger l’intrus par ses propres moyens, d’abord avec un aspirateur, puis en mettant de l’eau dans son oreille. Mauvaise idée : ces initiatives ont mis en colère l’hôte indésirable.

    Hendrik Helmer décide alors d’aller à l’hôpital local. Les médecins le prennent aussitôt en charge et lui versent de l’huile d’olive dans le conduit auditif. La petite bête s’enfonce alors plus profondément encore. Mais au bout de 10 minutes, son activité se réduit fortement, et elle finit par mourir. Alors, l’intrus est retiré à l’aide d’une pince.

    À la surprise générale, il s’agissait d’un cafard… long de 2 cm. Une taille bien plus imposante que ce que le personnel médical envisageait, car jamais il n’avait eu affaire à un insecte aussi gros.

    La douloureuse expérience n’a cependant pas l’air de pousser le malheureux Australien à revoir ses habitudes. L’homme n’a pas prévu d’entreprendre une éradication des cafards, ne se sentant pas envahi. Il a déclaré ne pas prendre de précautions particulières à l’avenir pour se prémunir d’une récidive d’un autre blatoptère un peu trop aventureux.

  • Petites histoires extraordinaires

    États-Unis : à froid extrême, petites histoires extraordinaires

    Pour voir les vidéos, URL en fin de note

    VIDÉOS - La vague de froid qui frappe le nord de l'Amérique depuis une semaine n'a pas apporté que des flocons et du verglas. Avec elle, son lot d'histoires insolites.

    L'ours polaire de Chicago ne supportait pas le froid

    À Chicago, où les grands lacs ont gelé, l'ours blanc du zoo municipal a dû regagner son abri. Anana, l'ours polaire du Lincoln Park Zoo a renoncé à «ses plongées fréquentes dans la piscine extérieure» de son enclos, comme le signalent les responsables du parc, pour rentrer se mettre au chaud. Même ce grand prédateur des régions arctiques reste habitué à des températures plus clémentes. Mardi, sur les rives du lac Michigan, le mercure avoisinait les -37°c. De la glace, sans glace

    Un froid extrême peut présenter des avantages inattendus. Mardi, New-York battait un record de température , les thermomètres affichant -15,5°c dans Central Park. Pour trouver un relevé comparable, il faudrait remonter à 1896. Le chef Jansen Chan, enseignant au prestigieux Centre culinaire international (ICC), peut désormais réaliser en quelques minutes, en pleine rue, des glaces au chocolat, sans avoir à se servir d'un réfrigérateur. Une recette inédite, et qui semble du goût des passants.

    Un fugitif se rend parce qu'il a trop froid

    Le froid a aussi rendu service aux forces de l'ordre du Kentucky. Robert Vick purgeait au centre carcéral de Lexington une peine de onze ans pour vol et recel de contrefaçons, avant de s'évader dimanche. Mais le malfaiteur, âgé de 42 ans, aura jugé qu'une cellule de prison valait mieux que les bourrasques glacées qui balayent l'État. Alors que la température tombait à -20°c, Robert Vick, s'est rendu lundi dans un motel pour contacter la justice et indiquer qu'il se rendait, le froid ayant eu raison de sa cavale, comme le rapporte CBS. Après un examen médical, il a pu regagner sa prison chauffée.

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/01/08/01003-20140108ARTFIG00466-etats-unis-a-froid-extreme-petites-histoires-extraordinaires.php

  • Après l'ouragan, il trouve un ticket gagnant d'un million

     

    Un jeune jardinier qui avait trouvé un ticket de loterie en novembre 2012, après l'ouragan Sandy, vient de récupérer 1 millions de dollar de gain.

    "Qui ne tente rien, n'a rien". Marvin Rosales-Martinez est en train de faire mentir le proverbe. Lui n'a pas eu à jouer pour empocher le million de dollars de la loterie.

    Ce jardinier new yorkais est au travail, après le passage de l'ouragan Sandy, en train de ramasser les feuilles mortes. Il tombe alors sur un ticket de loterie à gratter. " Mon collègue était en train de souffler les feuilles tandis que je les ramassais lorsque j’ai vu un ticket apparaître entre les feuilles humides. Je ne sais toujours pas pourquoi je l’ai ramassé ", raconte-t-il au New York Post.

    C'est un ticket complètement mouillé qu'il décide de ramener chez lui. Une fois séché, il gratte le ticket et découvre qu'il est l'heureux gagnant d'un million de dollars.

    Enquête de plus d'un an

    Face à son récit, la loterie, dubitative, a vérifié la version du jeune homme. Après un an d'enquête, il s'est enfin vu attribuer les gains par l'institution, soit 779 106 dollars après le paiement des taxes.

    Lui et sa femme, qui habitent toujours avec sa mère une maison de Hicksville, ravagée par l'ouragan, vont pouvoir investir dans un nouveau toit. Il aidera également sa mère à enfin réparer son lieu de vie.

    Attention, pas question de flamber pour Marvin, qui entend "continuer à travailler six jours sur sept", peut-être en "changeant de job et en devenant conducteur de camion". En tout cas, il tient à "garder une vie normale".

  • Cela ne peut pas s'inventer!!!!!

    Un chirurgien soupçonné d'avoir signé le foie d'un patient

    Un chirurgien britannique réputé pour son expertise des greffes du foie est accusé d'avoir inscrit ses initiales sur le greffon d'un patient pendant une opération.

    Lors d'une opération de routine, un chirurgien de l'hôpital public Queen Elizabeth, à Birmingham dans le centre de l'Angleterre, a découvert les initiales SB sur le foie d'un patient transplanté, ont rapporté des médias anglais mardi matin. Cette signature appartiendrait à un de ses confrères, le chirurgien Simon Bramhall, qui aurait été suspendu par la direction de l'établissement. Il ferait aussi l'objet d'une enquête des autorités sanitaires anglaises.

    Simon Bramhall aurait inscrit ses initiales sur un foie greffé à un patient pendant qu'il l'opérait, selon le Daily Telegraph. Il aurait pour cela eu recours à du gaz argon, fréquemment utilisé dans ce genre de chirurgie pour cicatriser les petits vaisseaux sanguins. Selon des experts, ce gaz ne laisse que des petites brûlures superficielles et n'est, en général, pas dangereux.

    Le chirurgien, qui exerce à l'Hôpital Queen Elizabeth depuis plus de dix ans, est reconnu pour son expertise des transplantations du foie. Il y a quelques mois, les médias britanniques saluaient sa 4000e transplantation. Aujourd'hui, les médias redoutent que des centaines d'autres organes aient été signés.

    Les autorités sanitaires publiques ont confirmé enquêter sur des allégations visant un chirurgien à l'hôpital Queen Elizabeth à Birmingham. "A la suite d'accusations de faute professionnelle, University Hospitals Birmingham NHS Foundation Trust a suspendu un chirurgien le temps de conduire une enquête interne" ont expliqué les autorités locales, sans toutefois préciser l'identité du chirurgien ni les raisons de sa suspension. De son côté, le docteur Bramhall dément avoir été suspendu.

  • Pour une fois, le hasard fait bien les choses!

    Espagne : un pédophile démasqué par le cambrioleur de son domicile

    Un entraîneur de football a été arrêté grâce aux preuves apportées par l'auteur présumé d'un cambriolage à son domicile, qui a eu lieu quelques jours plus tôt.

    "J'ai eu le malheur de tomber sur des cassettes vidéo et je me vois dans l'obligation de les remettre pour que vous fassiez votre travail et que vous puissiez mettre ce ... en prison pour la vie". Dans ce message, destiné à la police de Jaén, en Andalousie, un voleur dénonce le propriétaire de la maison qu'il a cambriolée. Suspecté de crimes pédophiles, un entraîneur de football a été arrêté jeudi grâce aux vidéos retrouvées à son domicile.

    Dans un appel anonyme à la police, un individu affirmait avoir déposé des cassettes vidéo pédophiles sous une voiture avec l'adresse de leur propriétaire. Pour les forces de l'ordre, l'appel provient de l'auteur du cambriolage déclaré neuf jours plus tôt à cette adresse. Le propriétaire de la maison avait porté plainte et déclaré des objets volés, mais sans mentionner la disparition de sa caméra ni des bandes vidéo récupérées par la suite.

     Après avoir visionné les cassettes "contenant des agressions sexuelles sur des enfants d'environ 10 ans", les enquêteurs ont pu identifier le pédophile présumé, précise la police dans un communiqué. Dans un tweet, elle remercie le voleur et rappelle néanmoins qu'il n'est pas un exemple:  

    Les enquêteurs ont déjà pu identifier "quatre mineurs victimes depuis six ans d'abus et d'agressions sexuelles". Parmi eux, un adolescent de 16 ans. Âgé de 64 ans, le pédophile travaillait comme entraîneur de foot pour une association. Il "gagnait la confiance des enfants dans les locaux du club et les convainquait de regarder avec lui des films pornographiques. Il incitait ensuite les petits à se masturber et finalement abusait d'eux sexuellement", explique la police.

    Les opérations antipédophiles se multiplient

    Les affaires de pédophilie secouant l'Espagne sont fréquentes ces derniers mois. Beaucoup d'arrestations concernent notamment la pornographie infantile sur Internet. Selon la police de Catalogne, les victimes des pédophiles sur la Toile ont triplé en l'espace de deux ans dans cette province, rapporte El Pais. Un inspecteur se dit notamment préoccupé par des prédateurs sexuels de plus en plus jeunes, et aussi par l'apparition de femmes, même si leur proportion est très marginale dans ce type d'affaires (moins de 10% des cas).

    Le 12 décembre, 18 personnes ont été arrêtées dans plusieurs villes d'Espagne pour détention d'images pédophiles "d'une extrême dureté". Le même mois, la garde civile a aussi procédé à l'arrestation d'un homme possédant plus de 800.000 fichiers pédophiles. Près de Madrid en novembre, un entraîneur de football avait été arrêté et placé en détention, accusé d'avoir commis des abus sexuels sur sept jeunes filles de 12 à 18 ans. En octobre, la police avait annoncé l'arrestation de 18 personnes et la mise en examen de 11 autres pour détention et distribution de vidéos pédophiles montrant des abus sexuels d'adultes sur des enfants de 4 et 6 ans.

  • Même si vous n’êtes pas en prison, évitez de consommer du pruno !

    Selon un site, aux Etats-Unis, " Même si l’alcool est interdit en prison, plusieurs détenus apprécient boire un verre de vin avec leur repas. C’est pourquoi ils ont inventé le " pruno ", un vin maison fait avec les moyens du bord. "

    Ça s’apparente à ce qui rapporté dans Les Tontons Fligueurs, avec ce dialogue " Tiens, vous avez sorti le vitriol  ", voilà pour le clin d’œil mais malheureusement la réalité microbiologique, tiens, tiens, est tout autre …

    " Consommer du pruno a conduit à 8 cas de botulisme dans l'Utah ", source Ben Chapman du barfblog du 14 décembre 2013.

     Le premier cas de botulisme d'origine alimentaire enregistré dans la littérature médicale a eu lieu en Allemagne en 1735 et a été attribuée à du boudin cru fermenté. Un gourou de l’histoire de la sécurité des aliments, Carl Custer a souligné dans un workshop de l’IAFP que les préoccupations liées au botulisme (et les réponses réglementaires) remontent à plus loin que cela. Au 10ème siècle, l'empereur byzantin, Léon VI, a interdit la fabrication de boudin, à cause de maladies à répétition laissant des gens paralysés et mourant peu de temps après en avoir consommé. Le botulisme (dérivé de botulus, nom latin qui évoque le boyau animal utilisé en charcuterie et au-delà tout boyau farci, dont le boudin) est une maladie très grave et vieille comme le monde. Les spores de Clostridium botulinum sont assez présentes dans le sol, elles peuvent germer et se transformer en cellules végétatives en anaérobiose dans conditions faiblement acides. Un sous-produit de la multiplication des cellules est la toxine.

    Madame Kalisz, mon professeur m’a mis en garde contre les dangers de botulisme en me montrant une boîte de conserve d’haricots bombée. Elle ne mentionne rien au sujet de saucisses partiellement fermentées, de conserves maison mal traitées thermiquement, de fruits de mer conditionnés, des pommes de terre cuites dans du papier alu ou un alcool de prison maison appelée pruno.

     Pour faire du pruno, une source de sucre (des fruits obtenus lors d'un déjeuner en prison) est mise dans une bouteille ou un sac et de la levure naturelle doit convertir les glucides en alcool, créant ainsi du vin low cost. Si la source de sucre est un fruit acide, le pH bas supprimera la germination des spores de C. botutulinum. Si une pomme de terre (aussi plein de glucides) est ajoutée par le microbiologiste amateur, cela peut augmenter assez le pH pour permettre la croissance de cellules végétatives. Selon un article publié par Williams et ses collègues dans la revue Annals of Emergency Medicine, il est probable que ce qui s'est passé lors d'une éclosion de botulisme en 2011 dans une prison de l'Utah.

    Douze prisonniers ont consommé du pruno, une boisson alcoolisée maison faite à partir d'un mélange d'ingrédients trouvés dans le milieu carcéral. Quatre ont bu du pruno fait sans pommes de terre et n’ont pas développé de botulisme. Huit ont consommé du pruno fait avec de la pomme de terre et ont développé des symptômes et ont été hospitalisés. La recette de pruno impliqué dans cette éclosion (voir photo de à droite) a été fournie par le patient 4, qui aurait réalisé cette recette environ 20 fois auparavant sans pommes de terre. Le raisonnement du prisonnier qui a utilisé de la pomme de terre était qu'il pensait que ce serait un " accélérateur de la fermentation " et que c’était une " expérimentation ".