Gens - Page 263
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On se fait un p'tit concert?
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Normal: quand on a froid, on se bouge pour se réchauffer!
Les spermatozoïdes : Plus performants en hiver qu'en été ?
Contrairement à nous, nos spermatozoïdes apprécieraient tout particulièrement l'hiver. Alors que nous avons tendance à attendre les beaux jours avec impatience, nos spermatozoïdes seraient plus nombreux et mobiles durant les longs mois d'hiver.
Selon plusieurs études démographiques, les bébés naîtraient davantage entre les mois de mai et septembre. Même si des naissances ont également lieu durant les autres mois de l'année, elles sont plus nombreuses à cette période là et ce n'est pas un hasard !
D'après des chercheurs israéliens de l’université Ben-Gourion du Néguev, le sperme humain serait plus fécond de l'hiver au début du printemps. C'est du moins ce qu'ils ont publié dans la revue American Journal of Obstetrics and Gynecology.
Les résultats de cette étude font suite au recueil de 6 455 échantillons de sperme d’hommes en couple ne parvenant pas à concevoir des enfants entre janvier 2006 et septembre 2009. 4 960 d'entre eux présentaient un sperme normal alors que les 1 495 restants possédaient moins de 15 millions de spermatozoïdes par ml de semence, critère de l’OMS pour définir l’infertilité.
Suite à des analyses plus poussées, il est apparu que les spermatozoïdes se faisaient plus nombreux durant les mois d'hiver. Il est notamment ressorti que durant les mois d'hiver, les spermatozoïdes disposaient de 70 millions de gamètes par ml, dont 5 % se montraient particulièrement mobiles et bons nageurs, ce qui augmente les chances de fécondation. Au printemps, le taux de spermatozoïdes très actifs passe à 3 %. A noter que cette particularité ne s'observe que chez les hommes fertiles.
Cette étude ne nous apporte pas vraiment d'éléments d'explication quant aux raisons de ces variations mais il existe peut-être des moments de l'année où la contraception serait plus aisée qu'à d'autres. Bien entendu, rien n'empêche les couples désireux d'avoir un bébé de tenter toute l'année !
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Comme on peut...
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Regardez-moi dans les yeux!
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Course branlante
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La fin du monde
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Tan que viré, fon lé tour... ou encore, tant que ça tourne, faut tourner
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Un golfeur avalé par un trou
Etre happé par un trou ? Un comble pour un golfeur. C’est pourtant ce qui arrivé à un joueur américain quand le sol s’est brusquement ouvert sous ses pieds au milieu d’un fairway. Mark Mihal en était au quatorzième trou lorsqu’il a été avalé par un cratère de cinq mètres et demi de profondeur. ”J’étais en chute libre, ça n’en finissait pas, pourtant ça n’a duré qu’une ou deux secondes... Je ne voyais rien, sauf du noir”, témoigne le miraculé dans Salon. Terrifié, craignant que le cratère ne s’ouvre plus encore, le golfeur a été secouru à l’aide d’une corde.
Les sinkholes (littéralement trous d’évier) sont légion dans l’Illinois. La cavité apparue dans le golf Annbriar, près de Saint Louis, est due à la dissolution d’une sous-couche de calcaire sous l’effet d’eaux de pluie acides, de la fonte des neiges et du dioxyde de carbone, explique un géochimiste, Sam Panno. Mark Mihal s’en est tiré avec une épaule démise – un sort nettement plus enviable que celui de Jeff Bush, mort englouti voilà peu par un trou géant, en Floride, alors qu’il était dans son lit.