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  • Look à papa

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  • Look à papa

    Ce père a décidé de saluer son fils tous les jours dans un déguisement différent après qu'il lui ait demandé d'arrêter

    C’est bien connu, les enfants ont souvent honte de leurs parents devant leurs copains. Bisous, câlins et signes d’affection sont totalement "prohibés" aux alentours de l’établissement de votre enfant qui cherche à éviter tout embarras, surtout à l’adolescence.

    L’histoire de Rain Price va vous faire sourire. Ce jeune homme de 16 ans débarque au lycée aux États-Unis. Pour se rendre dans son nouvel établissement, Rain a pris le bus scolaire pour la première fois, mais le moment qu’il redoutait arriva, il vit ses parents le saluer à travers les vitres du bus, la honte…

    Traumatisé par cette expérience, à son retour de l’école, il demanda à sa mère de ne plus laisser son père le saluer. Grave erreur du jeune homme. Son père, Dale, outré par la demande de son fils, décide de le prendre à son petit jeu et, pendant 170 jours, Dale salua son fils tous les matins dans des costumes différents.

    "Quand il l’a fait le premier jour, j’étais choqué. Tu n’as pas envie de voir ton père dans une robe de mariée te disant au revoir quand tu montes dans le bus…" raconte Rain à The Metro.

    Robe de mariée, Ariel la petite sirène, Legolas, Batgirl… Pendant 170 jours, Dale n’a pas une seule fois remis le même costume. Avec tout le mal que s’est donné Dale, espère  "qu’il s’en souviendra le reste de sa vie!".

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  • Appel à témoins:

    une amnésique, retrouvée à Perpignan, recherche son identité

    France Bleu Hérault,  France Bleu Roussillon et  France Bleu

    Retrouvée inconsciente dans une rue de Perpignan en février 2018, une septuagénaire a totalement oublié son passé et son identité. Aujourd'hui elle recherche des personnes susceptibles de la reconnaître pour rassembler le puzzle de sa vie.

    © Radio France - Baptiste Guiet

    Elle a choisi de s’appeler Marie Bonheur. Comme un pied de nez à l'écran noir qui bloque sa mémoire depuis maintenant sept mois. En février dernier, des passants la retrouvent inconsciente et couverte d'ecchymoses près de la gare de Perpignan. À son réveil aux urgences, elle a tout oublié. Jusqu'à son propre nom. "Je me suis retrouvé devant le problème suivant : qui suis-je ? J'étais dans une espèce de brouillard." Ce brouillard ne s'est toujours pas levé depuis.

    "Je suis comme un chien perdu sans collier."

    L'enquête de police n'a rien donné et aucun indice n'a permis de retrouver son identité. Aucun signalement de personnes disparues ne correspond. Elle ne semble pas non plus être originaire de Perpignan. "Je suis comme un chien perdu sans collier" dit Marie qui vit aujourd'hui à contrecœur dans une unité médicale. "Je n'ai pas besoin d'être dans cette structure. Je ne suis pas malade. Je ne prends aucun médicament. Je suis en pleine forme".

    Le problème, c'est que pour la société, Marie Bonheur n'existe pas. "Sans identité vous n'avez aucun droits" explique Xavière Lethuillier, mandataire judiciaire à la protection des majeurs. "Marie n'a pas de couverture sociale, elle a besoin de refaire ses lunettes, elle ne peut pas. Elle n'a pas non plus accès à l'aide juridictionnelle. Elle n'a pas d'argent. Le plaisir d'un café ou d'une tablette de chocolat c'est quand on veut bien lui offrir !"

    "Il y a forcément des gens qui me connaissent."

    Seule solution pour sortir de l'impasse : un appel à témoins. "Il y a forcément des gens qui me connaissent" espère Marie. La retraité reconnait malgré tout une certaine appréhension : "j'ai vécu quelque chose de traumatisant et j'ai dû mettre des barrières. J'ai peur de retomber sur les images de ce que j'ai subi. Je me demande s'il est possible de reprendre ma vie... Est-ce que je vais y arriver ?"

    Si vous pensez reconnaître Marie, vous pouvez appeler le 06.38.13.77.37 ou envoyer un mail à appel.temoin.marie@gmail.com

  • Comment macrouille attaque la dignité des personnes handicapées

     

     

    "On nous parle d’inclusion mais ils réduisent tout ce qui nous permet de vivre en autonomie"…  partage Odile Maurin. Dans une capsule vidéo, la présidente de l’association Handi-social argumente en quelques minutes sa critique de la loi Elan. Comme beaucoup, Odile Maurin accuse des effets d’annonces et un décalage entre un discours et des actes.

     

  • MDR!

    "Les pisseuses " se rebiffent contre les uritrottoirs !

    Elle n’a pas de bol, Anne Hidalgo. Quoi qu’elle invente, elle fait des mécontents. Pire que cela: elle qui explique tous ses déboires par la misogynie a réussi à se mettre aussi les féministes à dos!

    Pourtant, la maire de Paris multiplie les précautions. Elle choisit judicieusement les quartiers pour tester ses initiatives époustouflantes, celles de la ville de demain qui sera verte et transgenres. Son préféré est le Marais, si cher à son protecteur Delanoé. C’est un quartier chic et choc où les copines ont le goût de la fête et un pouvoir d’achat sans rapport avec celui de la ménagère. Sans doute pour leur faciliter le retour de boîte dans les lofts au pied de la Tour Saint-Jacques, Anne Hidalgo leur a offert des passages-piétons aux couleurs de l’arc-en-ciel. Et pour les urgences sanitaires, elle a fait poser ses jolis uritrottoirs rouges dans l’île Saint-Louis.

    Regarder le coucher de soleil sur les tours de Notre-Dame en pissant face à la Seine, c’est pas le bonheur, ça?

    Hélas pour Hidalgo, les Parisiens sont ingrats. Ne comprennent rien. Ne connaissent pas leur chance de l’avoir pour maire. Après ses jolis passages arc-en-ciel, ce sont les pissottières du futur qui ont été vandalisées. Par des femmes ! Recouvertes d’autocollants jaunes qui disent " Les bites en public, c’est non ! ", ou encore " Une bite correcte est une bite rangée ", et rappellent qu’au terme de la loi l’exhibition sexuelle est " punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende ". Au cas où les messieurs ne comprendraient pas, des affiches développent l’idée: "T’es un chien? Non? Alors pourquoi tu pisses dans la rue? " Et pour les cerveaux jamais sortis de l’enfance: " T’as appris à faire caca au pot, non? Alors apprends à faire pipi aux toilettes au lieu de sortir ta bite partout. " Enfin, pour que les pisseurs de rue comprennent bien l’incongruité de la chose, des protections hygiéniques ont été collées sur les boîtes rouges…

    Le Parisien, rapportant cet odieux acte de vandalisme, en attribuait la maternité aux Femen. Mauvaise pioche. Pas de Femen là-dessous. L’équipe de Slate.fr a retrouvé les coupables: c’est un tout nouveau collectif opportunément baptisé " les pisseuses ". Et si les demoiselles revendiquent un militantisme féministe, elles dénoncent surtout le côté dégoûtant des boîtes à pipi, loin de la prétention de la mairie qui les décrit comme une grande avancée écologique qui " permet de faire du compost et de faire pousser des fleurs". La réalité, dit une pisseuse, c’est que "Ça débordait, la pisse dégoulinait des plantes, les plantes mouraient "; sa voisine dénonce ce " greenwashing" et confirme: "Ça pue, y a des fuites de partout". On les croit.

     

    La mairie a répondu. On a mal compris: les uritrottoirs ne sont pas sexistes, ils sont féministes. L’adjoint à la propreté Mao Peninou explique: " L’utilisation des uritrottoirs permet de libérer du temps d’utilisation sur les sanisettes, donc du temps d’utilisation pour les femmes." C’est ça où les pissottières sauvages dans les entrées d’immeubles, dit-il. Subtil…

    Donc, pour résumer et si monsieur Peninou dit vrai, il y aurait une case en moins dans le cerveau des hommes. Celle du contrôle du robinet.

    Et dire que toutes les pubs TV sur l’incontinence urinaire visent les femmes…