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Gens - Page 297

  • Insolite religions

    Un clin d'œil de Jésus ?

    Ça ne passe pas Outre-Manche

    Le régulateur britannique de la publicité a interdit mercredi une caricature de Jésus jugée "irrévérencieuse", utilisée par un opérateur téléphonique pour vanter ses promotions à l'occasion des dernières fêtes pascales.

    La publicité interdite de l'opérateur téléphonique britannique 4U

    D.R.L'opérateur téléphonique britannique 4 U voulait créer le buzz. Mission accomplie mais assortie d'une sentence. En avril dernier, le groupe avait lancé une campagne publicitaire de presse qui mettait en scène Jésus vantant des "rabais miraculeux". Cette publicité ne pourra désormais plus être réutilisée.

    "Même si la publicité se voulait légère et humoristique, nous avons considéré que la représentation de Jésus le pouce levé et faisant un clin d'œil, assortie du slogan "rabais miraculeux" en période de Pâques (...) donnait l'impression de tourner en dérision l'une des croyances chrétiennes fondamentales", a expliqué l'Advertising Standards Authority (ASA). "Nous avons conclu que la publicité était irrévérencieuse vis-à-vis de la foi catholique et de nature à sérieusement offenser les chrétiens tout particulièrement", a expliqué l'ASA après avoir reçu 98 plaintes.

    L'opérateur 4 U a fait valoir qu'il n'avait nullement eu l'intention de manquer de respect aux catholiques, mais voulait au contraire projeter "une image légère, positive et contemporaine" de la religion. Il a présenté des excuses aux plaignants.

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    Le Coran, victime de la contrefaçon made in China

    L'instance chargée de superviser la publication du livre saint musulman en Iran s'est plaint d'exemplaires "contrefaits" venus de Chine, a révélé mardi un quotidien gouvernemental. En cause : des fautes d'accents sur certains mots qui changent leur signification.

    Les relations économiques entre Pékin et Téhéran, qui se sont renforcées ces dernières années, vont-elles en prendre un coup? Si les médias iraniens, proches du pouvoir, critiquent souvent la mauvaise qualité des produits fabriqués en Chine, cette fois-ci les Chinois se sont attaqués à un objet sacré : le Coran. Dar al-Koran, l'instance qui supervise la publication du livre saint musulman en Iran, s'est plaint d'exemplaires "contrefaits" en Chine, a révélé mardi un quotidien gouvernemental.

    Ces livres seraient "entrés illégalement dans le pays" selon un des responsables de l'organisation qui affirme que certains éditeurs ont été "tentés par le bas coût de l'impression en Chine". Problème : ces copies du livre saint seraient bourrées de fautes d'orthographe. Des erreurs grossières signalées par les médias iraniens. Les fautes porteraient en particulier sur les accents, ce qui peut changer le sens d'un mot dans la langue arabe, précise l'organisation sans toutefois donner d'exemple.

    Dans certains exemplaires, la phrase "Bismillah Al-Rahman Al-Rahim" (Au nom de Dieu, le clément, le miséricordieux), habituellement placée au début de chaque sourate du Coran, a parfois été imprimée au milieu. Dar al-Koran et le ministère de la Culture et de la Guidance islamique sont déjà sur les rangs pour retirer ces faux du marché. Une tâche "lourde" qui prend "beaucoup de temps" mais qui est prise au sérieux par le gouvernement. Car en Iran, le livre saint est enseigné à tous les niveaux dans le système scolaire iranien. Les étudiants à l'université doivent réussir les épreuves obligatoires portant sur le Coran s'ils veulent obtenir leur diplôme.

  • Elle a beaucoup voyagé, celle-là!

    Ne la ratez pas elle est géniale ....... 

    > > > > > > > > > > > > > > Question posée par Julien LEPERS en personne lors de la finale des masters de platine réunissant tous les plus grands champions jeu télévisé .

    > > > > > > > > > > > > > > Top 30 secondes. 

    > > > > > > > > > > > > > > JE SUIS une chose très utile qui mesure en général dans les quinze centimètres.

    > > > > > > > > > > > > > > En temps normal, je suis là, inerte, attendant l'action.

    > > > > > > > > > > > > > > On trouve à l'une de mes extrémités un buisson de poils que je porte avec arrogance.

    > > > > > > > > > > > > > > Lorsqu'on m'utilise, c'est en m'introduisant promptement, et souvent vigoureusement.

    > > > > > > > > > > > > > > Mais il y a les adeptes d'utilisation rapide, comme ceux d'utilisation lente : tout dépend du tempérament et de la condition physique. Cependant la méthode d'emploi est toujours la même : des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée.

    > > > > > > > > > > > > > > Lorsque j'ai finalement terminé mon office, je laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et parfois un peu sucrée.

    > > > > > > > > > > > > > > On retrouvera également cette sécrétion sur moi même et dans mes poils.

    > > > > > > > > > > > > > > Il faudra me nettoyer pour que je sois à nouveau propre en attendant mon prochain emploi.

    > > > > > > > > > > > > > > Une fois de retour à l'état de repos, j'attends sagement ma prochaine utilisation.

    > > > > > > > > > > > > > > On pourrait m'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes soutiennent.  

    > > > > > > > > > > > > > > Je suis....   Je suis…..  Je suis….

    > > > > > > > > > > > > > > 

     

     

     LA BROSSE A DENT ! (Et, je voudrais bien savoir qui a trouvé…)

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  • Marions-les !

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  • Ite misa es

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  • Ite misa es

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  • Vous cherchez des pistaches? Ne cherchez plus, voici vos vendeurs

    Les jumeaux "spoliés" de Facebook vendent des pistaches

    Les frères Winklevoss ne manquent pas d'humour : ils apparaissent dans une publicité dans laquelle ils vantent les mérites de pistaches... avec un clin d'œil appuyé au patron de Facebook.

    Les frères Winklevoss, dont le procès intenté au fondateur de Facebook Mark Zuckerberg - qu'ils accusent de leur avoir volé l'idée du réseau social - a défrayé la chronique, ironisent sur leur sort dans une publicité américaine pour des pistaches. Dans cette publicité, Tyler et Cameron Winklevoss, tous deux vêtus en costumes noirs et cravates vertes, sont assis devant une assiette de pistaches.

    L'un des frères s'empare d'une pistache et l'ouvre d'une main. Son frère lui lance alors:  "Hé ! C'est une bonne idée !

     - Quoi ?, lui demande l'autre.

     - Faire craquer la pistache, comme ça. Ça pourrait super bien marcher.

     - Tu penses que quelqu'un va nous voler l'idée ?".

    Et les jumeaux de demander, à l'unisson et face à la caméra: "Qui ferait un truc pareil ?".

    Un conflit toujours en cours

    Qui ferait un truc pareil... sinon Marc Zuckerberg ?

     Comme l'a raconté le film The Social Network, grand succès critique et public de 2010, les jumeaux Winklevoss et Divy Narendra avaient pris contact avec Marc Zuckerberg fin 2003 pour qu'il les aide à mettre sur pied un réseau social. Ils affirmaient qu'il leur avait volé leur idée et qu'il avait délibérément retardé leur projet pendant qu'il travaillait à son propre site, qui a débouché sur ce qui est aujourd'hui le plus grand réseau social au monde. En 2009, les frères Winklevoss, qui depuis lors ont fondé leur propre site, ConnectU, avaient conclu un accord avec le géant de l'internet, qui prévoyait le versement de 20 millions de dollars en cash et 45 millions de dollars en actions. Les jumeaux cherchent depuis à revoir les conditions de l'accord, affirmant que Facebook leur avait caché des informations. Ils estiment notamment avoir été trompés sur la valeur réelle des actions Facebook : selon eux, ils auraient dû obtenir plus d'argent ou plus de parts du réseau social.

    La marque de pistache qui s'est offert les frères Winklevoss avait déjà utilisé des personnages célèbres pour ses publicités, notamment Lucy et Charlie Brown de la bande dessinée Snoopy (Peanuts, soit "cacahuètes", en anglais).

     

  • Ite misa es

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