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... mais, je ne vais plus rien indiquer car je me suis aperçu que des voyants malhonnêtes se servaient de mon info pour faire croire qu'ils avaient le don très fort de "voir" juste en donnant des prédictions de ci, de là ou parce que les médias leur demandent en fin ou début d'année...
Ce que j'annonce depuis longtemps ici (et sur les blogs que j'ai supprimé) cela provient d'un petit truc de jardinier... ce n'est pas de la voyance... (que je fais très bien, merci, détaillée, datée, depuis plus de 30 ans... j'ai la décence de ne pas vendre de la magie, envoûtement et autres fariboles...
mais, d'autres sont plus mal intentionnés et se servent de mes compétences pour manipuler de pauvres personnes au lieu de les aider de la bonne façon...)
car la voyance est un état d'esprit qui ne supporte pas l'amateurisme...
http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2012/12/29/meteo-2013-canicule-garantie-a-99.html
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La canicule arrive....
Elle devrait arriver dès lundi, avec un mercure de 31 à 38 degré pendant 4 ou 5 jours.
Le bulletin. La chaleur a mis du temps à arriver, mais beaucoup moins à s'installer. Un épisode caniculaire de trois ou quatre jours devrait toucher la France une bonne partie de la semaine prochaine, selon Météo France. Dès lundi, les températures vont ainsi osciller entre 30 à 36 degrés sur la moitié nord de l'Hexagone, et entre 31 à 38 dans le Sud.
Les raisons. "Un appel d'air venu du sud remontera sur la France et jusqu'aux îles britanniques, faisant encore grimper les températures : c'est le schéma qui s'était produit en juillet 1983, avec de fréquentes vagues de chaleur", décrypte la Chaîne météo. Techniquement, une canicule intervient après trois jours et trois nuits consécutifs de fortes chaleurs. Le seuil est fixé, selon les saisons et les régions, de 30 à 35 degrés au nord de la Loire, de 33 à 38 degrés au sud en journée, et sous les 18 à 20 la nuit.
Combien de temps cela devrait durer. Selon la Chaine météo, "a priori, la vague de chaleur devrait se maintenir jusqu'à vendredi ou samedi de la semaine prochaine avant l'arrivée d'air plus frais en provenance de l'ouest". Mais il faudra "observer l'évolution des centres d'action (dépressions et anticyclones) pour définir la durée de ce blocage", nuance la chaîne spécialisée. Selon les experts, la sortie de cette canicule pourrait se faire par de violents orages en fin de semaine.
Buvez, restez au frais ! Si vous commencez à avoir des crampes, à beaucoup transpirer sans faire d'exercice ou même à avoir de la fièvre, ne cherchez plus : vous êtes déshydraté. Il faut donc tout de suite vous mettre dans un endroit frais et si les symptômes perdurent, il faut appeler votre médecin traitant. Si celui-ci n’est pas là, vous pouvez appeler le SAMU au 15. Pour éviter que cela n'arrive, quelques évidences de prudence s'imposent : boire (de l'eau), un litre et demi voire deux litres par jour, et éviter de sortir aux heures les plus chaudes, c’est à dire entre 11 heures et 21 heures.
comment bien vivre la canicule
Préparer son logement : pour éviter que la chaleur n’envahisse votre logement, n’hésitez pas à anticiper l’arrivée des grosses chaleurs en vous équipant. Maintenez les volets fermés, ainsi que les rideaux et les fenêtres des façades qui sont exposées au soleil. Puis dès que la température baisse, ouvrez un maximum de fenêtre pour provoquer des courants d’air. Vous pouvez également accrocher une serviette mouillée à votre fenêtre, afin que l'air se rafraichisse en la traversant.
"Jamais je n'aurais imaginé qu'en 2013 je serais séquestrée dans un appartement au milieu d'une dizaine de personnes qui me demandent d'établir un certificat de virginité pour l'une de leurs filles." D'un sourire à peine gêné, et malgré le silence que lui impose le secret médical, Marie* distille les anecdotes qui rythment son quotidien de médecin dans l'un des quartiers les plus sensibles de l'Hexagone. Chanté par Renaud, lieu de naissance du sculpteur César et des fines fleurs du banditisme (Francis le Belge en tête), ce quartier du 3e arrondissement de la cité phocéenne s'est abîmé. Il est désormais à l'image des appartements insalubres aux volets désespérément clos qu'il abrite. Tout juste si les façades colorées témoignent de la douceur d'antan, lorsque les bals populaires rythmaient le quotidien d'une forte communauté italienne qui avait fui la Toscane.
Les temps ont changé, "la Belle" aussi. Les petits primeurs ont cédé la place à quelques magasins de téléphonie et à des bars sans âme. Une importante communauté maghrébine et comorienne s'est implantée ces trente dernières années. Une population d'environ 13 000 âmes, livrée à elle-même et qui tente de redonner vie à un quartier tombé à l'abandon depuis la délocalisation des manufactures de tabac au début des années 1990.
"Dans ce quartier, on n'est plus en République"
Il faut arpenter la rue éponyme de ce quartier pour arriver au cabinet de Marie, à l'avant-dernier étage d'un immeuble à la façade fatiguée. Voilà dix ans que cette quadragénaire insatiable enchaîne ses consultations dans ce quartier présenté comme le plus pauvre d'Europe. Depuis quelques mois, elle a repris le cabinet d'un confrère. "Ce fut un concours de circonstances", explique-t-elle. Et d'ajouter, sourire aux lèvres : "En même temps, ça ne se bousculait pas. De moins en moins de médecins veulent s'installer. Alors ici..."
Dans ce quartier où le silence est d'or, cette mère de trois enfants a choisi de briser l'omerta. Pas de noms, ni de photos ni de détails qui peuvent l'identifier : tel est le prix de sa tranquillité. Cela ne l'empêche pas de vouloir dénoncer la décrépitude d'un lieu autrefois appelé "le petit paradis". Stigmatisé pour son insécurité, la Belle de Mai est d'abord victime d'une misère galopante. "Le plus difficile, c'est de constater chaque jour la précarité dans laquelle les gens vivent, s'emporte-t-elle. Je pense surtout aux plus jeunes, qui évoluent dans des conditions de pauvreté extrême et qui sont victimes de carences éducationnelles majeures." Pointant du doigt une "défaillance manifeste des institutions", elle estime qu'il est urgent de lancer un cri d'alarme.
"Il n'y a pas de projets pour eux aujourd'hui. Que leur propose-t-on ? Rien, on les condamne d'avance. On ne peut pas s'étonner par la suite que certains prennent le mauvais chemin", souligne cette médecin. À plusieurs reprises, elle explique avoir saisi les services sociaux face aux cas les plus graves. Mais parfois, devant la réticence de quelques familles, elle avoue avoir fait machine arrière. "J'ai envie de rester en vie", lâche-t-elle, avouant ressentir quotidiennement de la peur lors de ses consultations. "Vous savez, dans ce quartier, on n'est plus en République."
Des violences protéiformes
Depuis son arrivée à la Belle de Mai, Marie apprend à faire avec la violence, souvent verbale, parfois physique. "Au départ, on vous demande avec insistance des ordonnances et puis un jour cela dérape et on se retrouve face au canon d'une kalachnikov", poursuit-elle. Un épisode d'une rare violence survenu après qu'elle eut refusé de fournir des prescriptions de complaisance. "J'ai arrêté les visites à domicile pour des raisons de sécurité. L'épisode du certificat de virginité m'a convaincue", souffle-t-elle. Elle raconte s'être rendue au domicile d'une famille qui l'avait contactée au prétexte qu'une jeune fille était malade. "Sur place, j'ai compris que les personnes présentes attendaient de moi que je délivre un certificat de virginité pour la future mariée. Sans doute une façon pour eux d'assurer leur honneur", précise-t-elle.
Lorsqu'elle n'en est pas la victime, Marie est témoin de cette violence. "Il m'arrive d'être confrontée à des situations de violences intrafamiliales sordides, touchant des enfants maltraités et des femmes séquestrées", confie-t-elle. Elle révèle ainsi le cas d'épouses venues directement de pays du Maghreb, ne parlant pas le français, transformées en "esclaves" par leurs maris, qui justifient ce traitement par la religion. "La plupart d'entre elles ne se confient pas directement. Parfois, elles viennent me voir à l'insu de leurs époux. J'apprends qu'on leur a confisqué leurs passeports et que certaines sont venues en France contre leur volonté", précise-t-elle. Soulignant de nouveau la précarité du quartier, elle assure : "Une telle pauvreté est le terreau idéal à une montée de la radicalisation et des extrémismes. Je suis confrontée de plus en plus à des femmes voilées, parfois intégralement." Et d'ajouter, dans un éclat de rire : "Enfin, extrémisme, on s'entend. Sous le voile, on voit parfois des dessous en dentelle très sexy."
Face à un tel environnement, Marie ne se voit pas pour autant abdiquer. "J'aime profondément mon métier, et je me sens bien plus utile ici que dans un quartier bourgeois", explique-t-elle. Elle avoue cependant finir ses journées avec soulagement et en commencer certaines avec crainte. "On ne sait jamais ce que l'on va trouver. En venant ici, je ne pensais pas que cela serait si difficile, ni être confrontée à de pareilles souffrances. Mais on ne peut pas résumer ce quartier à sa mauvaise réputation, on garde tous l'espoir que les choses changent et que les envies prennent vie", conclut la médecin. D'ici là, au propre comme au figuré, Marie reste à la Belle de Mai pour y panser les plaies.
* Le prénom a été changé
http://www.lepoint.fr/societe/marseille-une-medecin-brise-l-omerta-16-07-2013-1705322_23.php
Brésil: Un homme tué par une vache tombée du ciel
FAITS DIVERS - L'homme dormait tranquillement dans son lit quand l’animal a traversé sa toiture...
Au Brésil, les poules n’ont pas de dents, mais les vaches tombent du ciel. Ou du moins du plafond. Joao Maria de Souza, 45 ans, est décédé la semaine dernière après avoir reçu une vache d’une tonne sur le corps alors qu’il dormait dans son lit, rapportait samedi la BBC sur son site Internet.
L’animal qui broutait sur une colline derrière sa petite maison située à Caratinga dans le Sud-Est du pays, a voulu marcher sur son toit d’amiante qui s’est effondré sous son poids.
Transporté à l’hôpital, l’homme est décédé le lendemain des suites d’une hémorragie interne
Selon les médias locaux, c’est le troisième accident de ce type survenu en trois ans dans cette région du pays connue pour ses élevages de bétail. Mais c’est la première fois qu’on déplore une victime.
Perso, je l'écoute souvent; Vous devriez aussi l'écouter... ça repose beaucoup la tête!
hum.. peut etre bien que la grand mére n'est pas riche aprés tout
conclusion : la grand mére couche à l'hotel. quoi faire d'autre ? mais, qui paye?
et que peut-elle penser de son pays qui l'a trahie à son âge?
https://www.contrepoints.org/2013/07/14/130673-tu-seras-bienvenu-chez-moi
Tu seras bienvenu chez moi...
Publié le 14/07/2013
Le droit au logement s'étend désormais aux logements occupés. On ouvre votre porte, change la serrure, et on installe chez vous quelqu'un d'autre.
Ce n'est sans doute pas légitime, sans doute pas légal, mais c'est ce que font aujourd'hui les militants du Droit Au Logement. Pleins d'empathie et de compassion pour les mal-logés, un peu moins pleins d'empathie et de compassion pour les octogénaires, ils ont investi un logement non vacant dont la propriétaire avait eu le malheur de s'absenter quelques semaines. Lors de son retour à Bordeaux, son immeuble était occupé par des Bulgares.
Pour son avocat, Odette Lagrenaudie est victime du DAL (Droit au logement), une association indépendante s’occupant des sans-logis et des personnes expulsées. Ce seraient eux qui auraient décidé de « réquisitionner » le logement de la personne âgée pour y installer les deux familles bulgares sans logis ni titres de séjour. L’avocat va même plus loin, et accuse le DAL d’avoir forcé la porte de l’appartement pour y installer les sept personnes, tout en négligeant les preuves de son occupation. « Il restait tous les meubles de ma cliente, ainsi que de la vaisselle dans les placards. »
Une version que le DAL conteste. Selon l’association, l’immeuble présentait tous les signes d’un logement abandonné. « La porte d’entrée du bâtiment était ouverte depuis plusieurs semaines, et il ne restait presque aucun effet personnel à l’intérieur. Il n’y avait pas de vêtements dans les penderies et les pièces à vivre portaient de nombreuses marques de vétusté », explique Raphaëlle Reix, militante du Droit au logement. Suffisant pour décider d’y installer ces familles sans solution d’accueil. Un empressement dont la militante s’excusera tout de même face à Odette Lagrenaudie, lui assurant ne pas l’avoir fait « à son encontre », persuadée que l’immeuble était abandonné.
Logement un peu vide et un peu vétuste : pouf, réquisition !
Inutile de s'attarder sur la bêtise sans nom des militants, qui ne prennent pas le temps de vérifier que le logement est inoccupé. Se renseigner auprès des voisins aurait sans doute pris trop de temps, et l'urgence était grande : les familles bulgares n'avaient pas de solution d'accueil.
C'est maintenant la propriétaire qui est sans solution d'accueil ; elle loge à l'hôtel. La propriété privée n'est pas vraiment sacrée, après tout. Sans doute y a-t-il des millions de mal-logés dans le monde, auxquels le DAL sera ravi d'offrir votre logement pendant que vous partirez en vacances - surtout si vous emportez avec vous vos vêtements et que le logement paraît presque vide.
La récupération politique est presque aussi rapide qu'à la mort d'un antifasciste violent à la sortie d'une vente privée.
Ambiguïté de la préfecture. Pour Fabien Robert, maire-adjoint du quartier, cette histoire ubuesque est une conséquence directe du manque de cohérence de la préfecture, qui a choisi de ne pas accorder de titre de séjour à cette famille sans pour autant l’expulser du territoire français.
Il s'agirait d'une conséquence de la décision de la préfecture, qui aurait le choix seulement entre accorder un titre de séjour et expulser du territoire. Le DAL ne semble même pas envisager de demander à ses nouveaux amis bulgares de quitter les lieux pour rendre son logement à sa propriétaire - ce qui semblerait logique à toute personne censée.
Il semblerait que le bon sens a disparu. On peut expulser le propriétaire d'un logement, mais pas ses occupants aussi illégaux qu'illégitimes. On peut se prendre de compassion pour des mal-logés, mais pas pour une octogénaire expulsée.
Il faut attendre d'être nonagénaire et expulsée d'une maison de retraite privée pour attirer un peu de compassion. Mais quand on est seulement octogénaire, on ne peut pas espérer retrouver son logement en l'état, ou conserver le chauffage l'hiver quand on tente de produire soi-même un peu d'électricité. L'âge n'est pourtant pas le critère qui détermine la compassion ; ce critère, c'est la propriété dans certains cas ou l'obéissance à l’État.
Tout, si on le fait pour des démunis, devient moral. C'est le beau credo de la morale altruiste ; on en vient presque à se demander si les militants du DAL n'ont pas tenté de soutirer une petite larme de pitié de l'octogénaire pour les nouveaux occupants. Comprenez, en plus d'être mal logés, ils n'ont rien à faire là et ont fait un long chemin pour enfin pouvoir loger chez l'habitant, sans l'habitant.
La propriété vous placera donc systématiquement du mauvais côté de l'empathie, du mauvais côté du jugement. Que certains principes moraux et droits inaliénables soient bafoués ne pose plus vraiment problème, et les médias seront sans doute plus sensibles au délogement des nouveaux occupants qu'au sort de la vieille dame.
Le collectivisme nouveau est arrivé, celui de militants pleins de ferveur et convaincus de la justice de leur action qui remettent en cause les droits individuels pour donner la priorité à leur conception de la morale. Tous auront le sentiment d'obéir à une justice supérieure quand ils arrachent des plants de maïs ou réquisitionnent des logements occupés, certains n'hésiteront pas à manifester contre un ennemi fasciste fantasque qu'ils incarnent mieux que quiconque, à affronter la police pour dénoncer la violence.
Ils ont raison : ce qui compte dans la bataille des idées, c'est la cohérence. Les plus collectivistes, les plus violents et les plus actifs, l'emporteront sur les collectivistes modérés qui veulent bien qu'on leur prenne plus de la moitié de ce qu'ils produisent, mais aiment retrouver leur logement dans l'état où ils l'ont laissé.
Espérons tout de même que les vacances des Français seront bonnes, et que la plupart d'entre eux retrouveront leur logement à leur retour.