Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mec - Page 67

  • BOYCOTTEZ CARREFOUR!

    Étampes: elle fait ses courses en brassière de sport, l’une des employées lui demande de se couvrir

    Amandine terminait ses achats au Carrefour d’Étampes quand elle a été interpellée par l’une des salariées au sujet de sa tenue vestimentaire, jugée inappropriée.

    À Étampes, le 6 juillet 2019. Des clientes ont proposé à Amandine de la prendre en photo à la sortie du magasin pour montrer que sa tenue vestimentaire n’était pas "indécente".

    Par Pauline Darvey

    Un legging et une brassière de sport bleu ciel. Samedi, en début d'après-midi, Amandine terminait tranquillement ses courses au Carrefour d'Étampes dans cette tenue, quand l'une des employées est venue l'aborder dans un rayon. "Elle m'a dit: La prochaine fois, songez à ne plus venir habiller comme ça", raconte cette coach sportive, installée dans la ville depuis une dizaine d'années. Amandine croit d'abord à une plaisanterie. Interloquée, elle demande plus de précisions à son interlocutrice qui persiste. "Là vous êtes habillée trop court, lui aurait signifié la salariée. Il faut mettre quelque chose de plus long par-dessus. Vous avez dû passer entre les mailles du filet à l'entrée. Mais la prochaine fois que vous venez, veillez à mettre une tenue autre que celle-ci“.

    "Je lui ai répondu que ça ne risquait pas d'arriver, reprend la trentenaire. Car je ne mettrai plus les pieds dans ce magasin, alors que je suis cliente depuis super longtemps. "Car Amandine est une habituée des lieux. "Il y a 5 ou 6 ans, avec le précédent directeur, j'y ai même organisé un flash-mob et d'autres prestations de fitness", témoigne la cliente, qui assure être venue à de très nombreuses reprises faire ses courses en tenue de sport. "C'est mon métier, insiste-t-elle. Là, je sortais d'un cours. Ça veut dire quoi? Que ma tenue de travail est indécente. Je me suis sentie humiliée“.

    "Abasourdie", Amandine erre quelques minutes dans les rayons avec son chariot "bien rempli". "Je faisais mes courses pour un repas d'anniversaire que j'organisais le lendemain pour fêter mes 39 ans", précise-t-elle. La prof de fitness finit par se présenter à la caisse du magasin. "Je me suis dit que j'allais quand même demander aux gens qui m'entouraient ce qu'ils pensaient de ma tenue", reprend-elle.

    Les clients présents la rassurent tous. "Tout le monde m'a dit : Elle est belle votre tenue, Il n'y a rien de choquant, assure-t-elle. Même le caissier m'a soutenue“. "Quand elle m'a raconté ce qui s'était passé, j'ai trouvé ça choquant et inapproprié, témoigne-t-il. Cette dame était habillée tout à fait correctement. "Quand Amandine lui demande si elle peut rencontrer la directrice du magasin, le caissier se renseigne auprès de ses responsables et lui conseille d'aller directement au poste de sécurité.

    En s'y rendant, la coach découvre que l'une des responsables de ce service n'est autre… que l'employée qui lui a fait des remarques. "C'est là qu'elle m'a dit qu'un client était venu la voir pour lui dire que je portais une tenue incorrecte, rapporte-t-elle. Un autre salarié a pris ma défense. Mais elle est restée campée sur ses positions! "Furieuse, Amandine quitte l'hypermarché en lui lançant un "Vous entendrez parler de moi!"

    Des commentaires racistes

    "À la sortie, des clientes m'ont proposé de me prendre en photo devant le magasin", poursuit-elle. Quelques minutes plus tard, elle publie le cliché sur Facebook accompagné d'un petit texte qui explique sa péripétie.

    Plus de 8 000 partages plus tard, Amandine a réussi à "faire parler d'elle". Son seul regret: les nombreuses remarques racistes qui se sont glissées parmi les quelque 3 500 commentaires suscités par son post. "Je ne cautionne pas ces propos anti-musulmans ou juifs", tranche-t-elle. Il faut dire qu'Amandine était loin de se douter que sa publication serait autant relayée et commentée. "J'ai fait ça pour que ça ne se reproduise plus, souligne-t-elle. Les femmes doivent pouvoir avoir la liberté de s'habiller comme elles le souhaitent, tant que ça reste correct“.

    Une position également partagée par son compagnon. "Un homme qui se balade en débardeur ça ne pose pas de problème, mais une femme qui fait du sport en débardeur, ça ne passe pas, peste ce directeur d'un magasin de décoration. Cela veut dire que Carrefour soutient l'idée que les femmes n'ont pas le droit de s'habiller légèrement. "Du côté de l'enseigne, on assure que la directrice du magasin a d'ores et déjà tenté de joindre la cliente pour lui présenter ses excuses. "Et elle a également re-sensibilisé tous ses collaborateurs pour que cela ne se reproduise pas", affirme l'une des porte-parole du siège.

    BOYCOTTEZ CARREFOUR!

     

  • Vous avez dit faignant?

    Je dis: il a la peau du ventre trop bien tendue par les zavantageszacquis

    Considérant avoir fait ses heures, un conducteur a décidé d'abandonner son train dans une gare, avant de rentrer chez lui.

    La semaine dernière, un conducteur d’une compagnie privée a tout bonnement abandonné le train qu’il conduisait, en plein milieu du trajet, estimant avoir fini sa journée de travail.

    Les faits se sont déroulés dans la soirée du jeudi 4 juillet, en gare de Libourne (Gironde). Surpris de voir un train de fret stationné depuis un moment sur la voie numéro 5, les cheminots en service se mettent alors à la recherche de son conducteur, en vain.

    Ce dernier semble en effet avoir pris la poudre d’escampette abandonnant ainsi ce convoi assez exceptionnel, qui transporte des blindés et des véhicules militaires appartenant au 31e régiment du génie de Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne).

    Tout ce matériel devait être acheminé vers Paris pour participer au traditionnel défilé du 14 juillet, qui aura lieu dimanche prochain.

    Na sachant que faire, les agents de la SNCF appellent donc la gendarmerie qui va très rapidement mener son enquête afin de comprendre pourquoi le train a été abandonné de la sorte.

    Après avoir compris qu’il s’agissait d’un convoi militaire en provenance de la garnison de Castelsarasin, les gendarmes apprennent que le chargement des engins a été réalisé le jour-même en gare de Vayres (Gironde), comme il est de coutume pour ces opérations, qui sont toujours effectuées par le 3e régiment du Matériel de l’armée de terre.

    Mais la manœuvre, somme toute ordinaire, a semble-t-il pris beaucoup plus de temps que prévu. Un retard qui a manifestement irrité le conducteur du train, lequel a tout simplement estimé qu’il en avait terminé avec sa journée de travail.

    Arrivé en gare de Libourne, il a donc stoppé son train – cet arrêt n’était pourtant pas inscrit dans l’itinéraire – et a décidé de rentrer chez lui.

    Après tout, l’heure, c’est l’heure mon zamisyndiqué

    Quant au train abandonné, il a finalement pu repartir 4 heures plus tard - non sans que l'on ait fait appel à un nouveau conducteur - pour d’abord rallier sa destination initiale, la gare de Bègles, avant de repartir le lendemain pour la capitale.

    Les voies empruntées ayant probablement été privatisées en amont par le transporteur, cet incident n'a heureusement pas perturbé le trafic.

     

  • Chiche: copions les Tunisiens!

    Tunisie: interdiction du niqab dans les administrations et institutions publiques

    La Tunisie a décidé vendredi d’interdire d’accès aux institutions publiques toute personne portant le niqab, le voile intégral, "pour des raisons de sécurité". La disposition intervient après le double attentat suicide perpétré le 27 juin à Tunis.

     

     

     

  • En 1911, Paris suffoquait déjà sous la canicule

    À la Belle époque, on ne parlait pas encore de réchauffement climatique. Mais pendant 70 jours de juillet à septembre 1911, la capitale ploie sous le soleil cuisant. Et perd des milliers de bébés.

    Par Charles de Saint Sauveur

    Au début du XXe siècle, on n'avait pas encore coutume de dire que tout ce qui faisait fureur aux Etats-Unis franchirait tôt ou tard l'Atlantique. Et pourtant… Juste après avoir semé la mort en Amérique, une vague de chaleur écrasante déferle à son tour sur l'Europe de l'Ouest. En France, elle va prendre ses quartiers d'été en 1911: 70 jours de canicule presque sans discontinuer pour une longue saison de cuisson.

    Le mercure commence son ascension le 4 juillet, s'octroie un petit break entre les 16 et 18, avant de se remettre dans le rouge jusqu'au 31. Sous les toits en zinc de la capitale, la fournaise est devenue si insupportable que beaucoup préfèrent dormir dans la rue. Sur les boulevards brûlants, les Parisiens en canotiers ne s'attardent pas. Certains s'abritent à l'ombre des marronniers, où ils essuient leurs moustaches perlées de sueur.

    Et que dire de ces pauvres dames en lourde robe, qui agitent frénétiquement leurs éventails. On en voit même se glisser furtivement dans les couloirs du nouveau métropolitain, en quête de fraîcheur salvatrice, quand les gamins préfèrent, eux, se jeter dans l'eau douteuse de la Seine. Paris brûle, mais la situation n'est pas plus réjouissante en province - 40 °C à Lyon et Bordeaux les 22 et 23 juillet - ou même à Londres.

    Les journaux s'échauffent contre les " météorologistes "

    "Lorsque le mois de juillet est chaud, le mois d'août est frais", se rassure-t-on en misant, faute de mieux, sur les poncifs. Août sera pire encore… Pendant quinze jours d'affilée, le thermomètre parisien refuse de descendre sous la barre des 30°C! "La chaleur bat nos murs, se répand sur le pavé de Paris ses éclaboussures de feu, dessèche les gosiers, brûle les crânes, et donne aux plus joyeux comme une envie de pleurer", décrit avec emphase le Figaro du 29 juillet.

    Les journaux commencent à s'échauffer contre les "météorologistes officiels", qui avaient annoncé un peu vite la fin du cauchemar: "Et v'lan, nous sommes bons pour une nouvelle vague de chaleur puisque ces messieurs - qui ne se sont jamais trompés, à condition qu'on prenne le contre-pied de leurs prédictions - nous font espérer de la fraîcheur", s'agace le 10 août une plume du Gil Blas (cité par le site Rétronews)

    Le lendemain, "Les Annales politiques et littéraires" cherchent un peu plus haut le responsable. Après tout, pourquoi ne pas convoquer le ciel au tribunal?

    "Faisons comparaître ce mois de juillet coupable d'excès de température, et interrogeons-le sévèrement", s'amuse la revue dominicale. Il n'y a bien que les viticulteurs pour se réjouir des raisins moins nombreux mais gorgés de soleil. Le Guide Hachette des vins accordera 19/20 aux crus de Bourgogne, de Côtes-Du-Rhône et d'Alsace.

    Plus de 40 000 morts, surtout des bébés

    Mais il y a beaucoup plus préoccupant : certains quartiers de la capitale n'ont plus d'eau. Les gazettes égrènent chaque jour la liste des victimes, fauchées par la chaleur ou ses conséquences. Le Dr Jacques Bertillon, chef de la statistique municipale, par ailleurs frère aîné d'Alphonse, le célèbre criminologue, tient les comptes morbides dans son "Bulletin hebdomadaire". Du 23 au 29 juillet, puis du 13 au 19 août, la mortalité atteint des sommets, note le démographe. L'ennemi mortel, c'est la diarrhée, qui fait des ravages dans toute la France. Les plus savants parlent de "toxicoses caniculaires".

    Au total, la canicule de 1911, qui s'étire jusqu'à la mi-septembre, fera 41 072 décès dans l'Hexagone (surcroît de mortalité observée en regard de la moyenne des trois dernières années).

    Une véritable hécatombe qui frappe pour un quart les personnes âgées. Quasiment toutes les autres victimes sont des bébés de moins de deux ans. Parmi eux, les plus vulnérables sont les enfants abandonnés, et, de l'autre côté de l'échelle sociale, les petits placés en nourrice. Ils boivent en effet leur lait en biberon et cet été-là, une épidémie de fièvre aphteuse fait des ravages dans les cheptels bovins. "Il faudra marquer cette année d'une croix noire", consigne, dans son journal, un médecin de la Semaine inférieure.

    Note de la rédactrice

    Alphonse Bertillon a inventé le système des empreintes digitales.

    C'est bien connu: la météo est l'art de dire le temps QU'IL AURAIT DU FAIRE!

     

  • Où est mon pognon?

    Monde: des chercheurs ont " perdu " 17.000 portefeuilles pour tester l’honnêteté des gens

    Si vous trouviez un portefeuille dans la rue, essayeriez-vous de le rendre à son propriétaire? Une équipe de chercheurs a réalisé ce test dans 40 pays à la fois, afin de tester le civisme de milliers de personnes. Les résultats, publiés jeudi, révèlent des différences flagrantes entre les pays, la Suisse et les nations scandinaves étant les plus honnêtes, tandis que Chine, Maroc, Pérou et Kazakhstan ferment le classement. […]

    Science

  • 62 antécédents judiciaires! dehors de France, la vermine

    Lyon (69) : un braqueur multi-récidiviste arrêté et frappé par les clients d’un fast-food

    Quinze jours d’ITT avec le visage bien tuméfié et des blessures importantes. Un homme de 27 ans, connu des services de police, a été passé à tabac par des clients d’un fast-food de Lyon qu’il venait de braquer. Les faits se sont déroulés, samedi soir, dans le McDonald’s, situé avenue des Frères Lumières.

    Armé, le suspect, qui aurait attaqué un autre restaurant juste avant, a fait irruption dans l’établissement, menaçant le personne pour se faire remettre au final 60 euros, indique la police lyonnaise. […] Le suspect, qui compte 62 antécédents judiciaires, a indiqué que l’arme utilisée était factice. Elle n’a toutefois pas été retrouvée sur place. […]

    donc, c'est un mensonge! 1 de plus pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes

    20 Minutes

  • Johnny, Johnny de France!

    Voilà-ti pas qu'hier, en regardant l'inauguration de l'esplanade Johnny Halliday à la télé, j'entends Leaticia dire que NOTRE JOHNNY national adorait le cassoulet!

    Peut-être que des tas de media pipole en avait parlé, mais moi, même chez la coiffeuse, la pipolerie me fatigue!

    Donc, je ne savais pas cela. Donc, je le sais désormais et j'en suis bien aise.

    SAUF QUE

    Si Johnny ne consommait que du cassoulet mis en boîte et fait par un chef toulousain, un toqué de la toque, j'ai bien peur que notre chanteur adoré n'aie jamais goûte le vrai cassoulet!

    Il y a des tas de restaurateurs à Toulouse qui ont ce plat à la carte et ne sont pas foutus de connaître la vraie de vraie de recette, celle des femmes du Lauragais... que je suis, bien sûr!

    "Ho, Jacotte, je vati attacher les bœufs à la carriole pour aller chercher des zaricots à Tarbes pour le cassoulet. Fait chauffer la cassole et attends moi, je reviens dans six semaines!

    Si je reviens pas, ben, c'est qu'on m'aura occis sur le chemin.... t'aura qu'a épouser le Valentin de Bram, on agrandira la ferme!"...

    .....

    "Holà, le tavernier de mes deux! où tu va avec mon cabriolet? voleur!

    -Pardon, mon Lord, je dois faire du cassoulet et il faut que j'aille à Tarbes chercher des haricots! j'ai pensé emprunter votre calèche pour aller plus vite! Ne vous inquiétez pas, Monsieur, ma femme s'occupe de tout et vous aurez même pas visité tous les monuments de Toulouse, que je serai revenu... dans trois semaines, à peu près!"

    Voila, vous savez tout!

     

    Plus d'infos sur le VRAI cassoulet des femmes du Lauragais?

    www.cuisine-toulousaine.com