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Blague envoyé par Alain (merci)
Tante Germaine, qui est âgée de 93 ans, est une femme qui a eu beaucoup de chagrin
après le décès de son mari.
Elle décida donc de quitter la vie pour aller rejoindre son bien-aimé.
Elle songea a différentes façons de mourir mais voulait quelque chose de rapide, sans douleur.
Elle prit le revolver de son mari et voulut se tirer une balle dans le coeur, puisqu'il était déjà brisé.
Pour ne pas manquer son coup en risquant de ne pas frapper l'organe vital et d'être un légume.
Pour le reste de ses jours,elle téléphona à son médecin afin de bien s'informer sur
la situation exacte du coeur sur une femme de son âge.
Le médecin lui répondit : "Votre cœur est juste sous votre sein gauche".
Ce soir-là....Tante Germaine fut admise à l'hôpital avec une blessure par balle au genou gauche...
Envoyé par mon amie Anne (merci)
Trad. plus bas robot google
Man shoots nail into brain and thinks nothing of itDante Autullo believed he was only grazed when nailgun went off and didn't believe doctors when they showed him X-ray
A man has survived firing a nailgun into his own brain – in what surgeons worryingly said was not an unheard-of occurrence.
Dante Autullo of Chicago thought doctors were joking, feeling sure he had only been grazed by the nail when it flew past as he was building a shed. Even when hospital medics produced an X-ray he was sceptical.
Dante Autullo, who thought his skull was only grazed in the nailgun accident, with neurosurgeon Leslie Schaffer. Photograph: M Spencer Green/AP "When they brought in the picture, I said to the doctor 'Is this a joke? Did you get that out of the doctors joke file?'" the 32-year-old said. "The doctor said 'No man, that's in your head.'"
His companion, Gail Glaenzer, bathed what looked like a flesh wound after Autullo misfired the gun. He went on with his work, did some snow plowing and only agreed to go to hospital the next day after waking up feeling nauseated.
Autullo had surgery at Advocate Christ medical centre in Oak Lawn, where doctors removed the 3 1/4-inch (7.62cm) nail. It had come within millimetres of the part of the brain that controls motor function.
As he was rushed by ambulance to another hospital for surgery, he posted a picture of the X-ray on Facebook.
"It really felt like I got punched on the side of the head," he said, adding that he continued working. "I thought it went past my ear."
There are pain-sensitive nerves on the skull but none within the brain itself – so Autello only felt like he had been hit in the head.
"He feels good. He moved all his limbs, he's talking normal, he remembers everything," Glaenzer said. "It's amazing, a miracle."
Autullo's neurosurgeon, Leslie Schaffer, said the case was unusual but not extremely rare.
A nail did not go in like a bullet, which would break into multiple pieces, he said.
"This (the nail) is thinner, with a small trajectory, and pointed at the end," he said. "The bone doesn't fracture much because the nail has a small tip."
Schaffer said Autollo's skull slowed down the nail, which was removed by making holes on either side of its entry point and pulling it out along with a piece of the skull.
The hole was covered with titanium mesh after the two-hour operation, hospital spokesman Mike Maggio said.
L'homme tire clou dans le cerveau et ne pense rien de itDante Autullo croyait qu'il était seulement effleuré lors Nailgun partit et ne croyait pas les médecins quand ils lui montra aux rayons X
Un homme a survécu à un tir d'Nailgun dans son propre cerveau - en ce que les chirurgiens inquiétant dit n'était pas un événement inouï.
Dante Autullo de Chicago pensé médecins plaisantaient, se sentant sûr qu'il avait seulement été effleuré par le clou quand il a volé passé comme il a été la construction d'un hangar. Même lorsque des médecins hospitaliers produit une radiographie, il était sceptique.
Dante Autullo, qui pensait que son crâne était effleuré dans l'accident Nailgun, avec le neurochirurgien Leslie Schaffer. Photographie: M Spencer Green / AP "Quand ils ont apporté dans l'image, j'ai dit au médecin"? Est-ce une blague Avez-vous obtenu que sur le fichier blague médecins "a déclaré le 32 ans. "Le médecin a dit 'Aucun homme, c'est dans votre tête."
Sa compagne, Gail Glaenzer, baignée ce qui ressemblait à une blessure de chair après Autullo raté le pistolet. Il continua son travail, fait quelques déneigement et seulement accepté d'aller à l'hôpital le lendemain après le réveil se sentir nauséeux.
Autullo subi une intervention chirurgicale au centre médical Advocate Christ à Oak Lawn, où les médecins enlevé le 3 1/4-inch (7,62 cm) d'ongle. Il était venu quelques millimètres de la partie du cerveau qui contrôle la fonction motrice.
Comme il a été transporté en ambulance vers un autre hôpital pour une chirurgie, il a posté une photo de la X-ray sur Facebook.
"C'est vraiment senti comme je me suis perforé sur le côté de la tête", at-il dit, ajoutant qu'il a continué à travailler. "Je pensais qu'il allait à mon oreille."
Il ya sensibles à la douleur des nerfs sur le crâne, mais aucun dans le cerveau lui-même - ainsi que Autello se sentait comme s'il avait été frappé à la tête.
"Il se sent bien. Il a déménagé tous ses membres, il parle normalement, il se souvient de tout", a déclaré Glaenzer. "C'est incroyable, un miracle."
Neurochirurgien Autullo, Leslie Schaffer, a déclaré le cas était inhabituel mais pas extrêmement rares.
Un clou ne va pas dans comme une balle, ce qui briserait en plusieurs morceaux, at-il dit.
"Ce (le clou) est plus mince, avec une trajectoire de petites et pointues à la fin", at-il dit. "L'os n'est pas une fracture beaucoup plus parce que l'ongle a une petite astuce."
Schaffer a déclaré le crâne Autollo a ralenti l'ongle, ce qui a été enlevé par des trous de chaque côté de son point d'entrée et en tirant avec un morceau du crâne.
Le trou a été recouvert de grillage de titane après l'opération de deux heures, l'hôpital porte-parole de Mike Maggio dit.
La trad est encore plus rigolotte!
La préparation de ma chronique "Improbablologie", qui est publiée chaque vendredi dans le supplément "Science & Techno" du Monde, me fait explorer les marges étonnantes et parfois saugrenues de la recherche. C'est au cours d'une de ces promenades dans l'univers hétéroclite de la science improbable que je suis tombé par hasard sur une histoire extraordinaire (au sens premier du terme), racontée non sans humour en 2005 par l'urologue canadien Laurence Klotz dans le British Journal of Urology International. En fait, l'histoire en question est encore plus ancienne, puisqu'elle remonte à 1983. Cette année-là se tient à Las Vegas un congrès d'urologie au cours duquel le chercheur britannique Giles Brindley doit décrire dans un exposé le premier traitement médical efficace contre ce que l'on appelle pudiquement la dysfonction érectile (DE). Si l'on se replace dans le contexte de l'époque (sans Viagra et compagnie), il s'agit potentiellement, selon les propres termes de Laurence Klotz, d'une "découverte historique dans la prise en charge de la DE".
L'exposé en question est censé avoir lieu en soirée dans un auditorium de l'hôtel dans lequel M. Klotz est descendu. Celui-ci, en prenant l'ascenseur pour s'y rendre, voit entrer dans la cabine un homme à lunettes d'une cinquantaine d'années, visiblement nerveux et vêtu d'un survêtement bleu, qui se met à vérifier des microphotographies transparentes (à l'époque Powerpoint n'existait pas) sur lesquelles son compagnon de translation verticale peut distinguer des pénis humains en érection. "J'en conclus, se souvient Laurence Klotz, qu'il s'agissait du professeur Brindley, en route pour sa conférence, même si sa tenue semblait trop décontractée pour la circonstance." Etant donné que l'exposé se tient tard, avant la réception qui clôture la journée, il n'y a que quelques dizaines de spectateurs dans la salle, des urologues venus avec leurs conjoints en grande tenue de soirée.
Giles Brindley commence par décrire son hypothèse de travail, à savoir que l'injection dans le pénis de substances agissant sur la circulation sanguine peut provoquer une érection, ce qui serait d'un grand secours pour les hommes frappés d'impuissance. N'ayant pas de modèle animal valable sous la main, le chercheur s'est pris lui-même comme cobaye. Il est en cela fidèle à une longue tradition d'auto-expérimentation dans la recherche médicale. Parmi les exemples les plus connus, citons deux Prix Nobel, l'Allemand Werner Forssman, qui s'inséra un cathéter jusque dans le cœur, et l'Australien Barry Marshall qui, pour prouver que l'ulcère de l'estomac était essentiellement dû à la bactérie Helicobacter pylori, n'hésita pas à avaler une bonne rasade de culture de ce microbe et attendit que les premiers symptômes se développent. Mister Brindley a donc pris son courage à une main et s'est injecté plusieurs substances dans la verge, qu'il a ensuite scrupuleusement photographiée à des stades divers de tumescence, car la pudeur s'efface derrière la science. "Après avoir vu une trentaine de ces clichés, raconte Laurence Klotz, il ne faisait aucun doute dans mon esprit que, au moins dans le cas du professeur Brindley, la thérapie était efficace. Bien sûr, on ne pouvait exclure la possibilité qu'une stimulation érotique ait joué un rôle dans l'obtention de ces érections, et le professeur Brindley le reconnut."
On touchait là du doigt le cœur de la démarche scientifique : quelle validité avait cette preuve photographique ? Pour raconter la suite de l'exposé le plus sexy de toute l'histoire des sciences, mieux vaut laisser la parole au témoin direct qu'est Laurence Klotz : "Le professeur voulait défendre son affaire dans le style le plus convaincant possible. Il indiqua qu'à son avis, aucune personne normale n'estimerait que donner une conférence devant un large public était une expérience érotiquement stimulante ou susceptible d'engendrer une érection. Il annonça donc qu'il s'était injecté de la papavérine dans sa chambre d'hôtel avant de venir faire son exposé et qu'il avait délibérément mis des vêtements souples (d'où le survêtement) afin de montrer le résultat. Il marcha le long de l'estrade en resserrant son pantalon sur ses parties génitales pour essayer de démontrer son érection. A ce moment-là, j'étais stupéfait, et je crois que tous les autres spectateurs l'étaient aussi. Je pouvais à peine croire ce qui était en train de se passer devant moi."
Pourtant, le public n'est pas au bout de ses surprises car Giles Brindley n'est pas satisfait par sa démonstration : "Il baissa les yeux vers son pantalon d'un air sceptique et secoua la tête avec consternation. "Malheureusement, dit-il, cela n'expose pas les résultats de manière assez claire." Il baissa alors son pantalon et son caleçon, dévoilant un long pénis, mince et clairement en érection. Il n'y avait pas un son dans la salle. Tout le monde avait cessé de respirer. Mais le simple fait de montrer son érection en public depuis l'estrade ne suffisait pas." Tel un joueur d'échecs (habillé), le professeur Brindley fit une pause et réfléchit à son coup suivant devant un parterre tétanisé. Puis il dit gravement : "J'aimerais donner à certains membres de l'assistance l'occasion de confirmer le degré de tumescence." Il faut imaginer la scène, ce chercheur priapique, pantalon et caleçon aux chevilles, service trois pièces au vent, descendre les marches et approcher de son public en smoking et robe de soirée. Quelques femmes craquèrent et se mirent à hurler en agitant des bras, car c'était trop de preuves et de résultats scientifiques pour elles. Ayant compris qu'il avait convaincu, Giles Brindley remonta prestement son bas de survêtement, retourna à sa place sur l'estrade et termina son exposé.
Le reste appartient à l'histoire. Le chercheur britannique fit d'autres tests concluants sur des hommes souffrant de troubles de l'érection, dont les résultats furent publiés fin 1983. Dans la conclusion de son article, Laurence Klotz souligne (sans rire ?) "l'énorme contribution" du professeur Brindley au traitement des troubles de l'érection. L'auto-expérimentation spectaculaire du chercheur britannique a en effet ouvert la voie à ce que certains appellent la "seconde révolution sexuelle", l'ère de l'érection médicamenteuse.
Pierre Barthélémy
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/01/15/expose-le-plus-sexy-histoire-des-sciences/#comment-2100
grosse bite insolite
... mot clé du blog parmi d'autres... ce n'est pas de l'humour, d'accord...
qu'il envoie une photo de sa bite... il doit l'a trouver extraordinaire!
faudrait ouvrir une page face bouque pour montrer des zobs étranges.... enfin, si face bouque est d'accord, c'est plus très sûr....
allez, zou, tous à poil avec son portable!
faites-des photos et que quelqu'un m'envoie le lien de la page face bouque sus-dite!