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Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? A putain con!

Il appelle le 17 " au minimum 80 fois ". Des appels qui restent sans réponse…

" Il est 19h35, vendredi 13 novembre. Christophe est à la terrasse du restaurant Cellar, 9 rue Crussol dans le 11e arrondissement, lorsqu’une Polo noire immatriculée en Belgique se gare devant lui. Le jeune observe ses deux occupants, qui tapotent sur leurs smartphones.

À 21h40, après avoir appris les attentats au Stade de France, Christophe veut alerter la police sur ces individus qui lui avaient semblé louches. Il appelle le 17 ‘au minimum 80 fois’. Des appels qui restent sans réponse… La salle du Bataclan est à 300 m de là. Moins de 10 minutes plus tard, les hommes de la Polo font irruption dans la salle de spectacle et ouvrent le feu sur la foule, faisant au moins 89 morts". — L’Obs

" On l’appellera Christophe. À l’autre bout du fil, la voix est lasse, fatiguée. (…) Il y a encore quelques heures, il se trouvait au 36 quai des Orfèvres pour raconter son incroyable histoire. Vendredi soir, donc, Christophe se trouve au restaurant Cellar, au 9 rue Crussol, dans le 11e arrondissement de Paris à seulement 3 minutes du Bataclan. C’est un habitué des lieux.

Le patron est un de ses amis. À 19h35, alors qu’il boit un verre à l’extérieur du restaurant, Christophe voit arriver une Polo noire immatriculée en Belgique : " Ils se sont garés juste devant moi alors qu’il n’y avait pas beaucoup de place. J’ai trouvé ça bizarre. Le conducteur avait du mal à tourner le volant comme s’il savait à peine conduire. Je suis allé les voir pour leur dire qu’ils étaient mal garés. Ils n’ont pas ouvert la fenêtre et m’ont regardé méchamment. On aurait cru des morts-vivants, comme s’ils étaient drogués".

Christophe retourne boire son verre mais observe néanmoins les hommes dans la voiture qui a les feux éteints mais le moteur toujours allumé". J’ai bien vu le visage du conducteur et celui du passager car ils ont commencé à tapoter sur leur smartphone, ce qui a fait que cela éclairait leur visage". (…).

Vers 20h15, Christophe voit passer une voiture de police devant le restaurant qui ne semble pas remarquer la Polo noire mal garée. À 21h30, Christophe quitte le restaurant tandis que les quatre hommes de la Polo sont toujours là.

Il a appris que des bombes ont explosé au Stade de France. À 21h40, il tente à plusieurs reprises de joindre la police par téléphone ’80 fois au minimum’ mais sans réponse. Quelques minutes plus tard, la nuit cauchemardesque débutait au Bataclan". — Le Figaro

Des lois liberticides passent comme une lettre à la poste. Des bombes sont larguées à l’étranger. On dépense sans frein et sans compter l’argent du contribuable qui n’en peut plus. Mais il n’y a personne au 17 !

Cela ne dérange pas nos chers élus et ministres qui s’auto-congratulent facilement. M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, n’ira pas pointer chez Pôle emploi, rassurez-vous. C’est tout simplement écœurant.

Ensemble, soyons vigilants ! Mais ne perdez pas de temps à appeler le 17.

 CQFD

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